Est-il possible d’arrêter le raz-de-marée migratoire extra-européen, qui sonne le glas de notre patrie et de notre civilisation ? Oui ! Comment ? En faisant exécuter par des « sous-traitants » les passeurs, trafiquants de misère humaine, et en détruisant les bateaux qu’ils utilisent (pendant la guerre d’Algérie, de nombreux fournisseurs d’armes au FLN perdirent la vie au cours d’« accidents » étranges, alors que leurs bateaux furent victimes d’explosions « inexplicables »…).
Il faudrait aussi :
– Assigner à résidence dans notre département de Guyane, vaste territoire sous-peuplé, tous les demandeurs d’asile, dont la majorité sont des migrants économiques attirés par « la bonne soupe », ou des « taupes » de l’État Islamique, en mission d’infiltration !
– Couper toute aide économique et humanitaire aux pays d’origine des migrants et à ceux d’où ils embarquent.
– Ignorer les « initiatives intelligentes » américaines, type Irak, Libye ou Syrie, qui ont causé ces flots migratoires dévastateurs. Nous ne sommes responsables ni de la bêtise des Américains, ni des drames causés par leur naïveté.
Serait-il possible de prendre ces mesures ? Non !
Pourquoi ? Parce que l’UE, impotente, vacillante, craintive vassale des USA, refuserait une telle décision.
L’UE, frappée de folie suicidaire, considère qu’il est « normal » que toute la misère humaine, s’abatte sur notre malheureuse Europe, qui en crève.
Ces « réfugiés » ne vont pas en Russie, en Albanie, en Algérie, ou au Qatar… Ils ne sont pas fous ! Ils choisissent avec soin le pays « riche » (et naïf) qui leur offrira la meilleure protection sociale aux frais des contribuables et où ils pourront progressivement imposer leurs valeurs…
Tant pis si notre peuple subit passivement cette véritable invasion et s’enfonce chaque jour davantage dans le chômage et la misère, face à une insécurité grandissante, digne d’une république bananière !
Pourrait-on passer outre au carcan de l’UE et imposer ces mesures ? Oui !
Comment ? En acceptant un bouleversement géostratégique :
– Retrait de l’OTAN (que le général de Gaulle considérait, avec raison, comme une machine à déguiser la mainmise de l’Amérique) et de l’UE !
– Alliance avec la Russie, la Chine, et tous les pays qui refusent de se plier à la domination des USA.
Notre malheureux peuple pourrait-il accepter cette mesure de salut public ? Non !
Pourquoi ? Parce qu’il a subi, dès l’enfance, un lavage de cerveau intensif par des générations d’enseignants rouges et tiers-mondistes, nourris au lait vénéneux de la pensée de Jean-Jacques Rousseau, un parasite social immoral.
Il se soumet à son funeste sort avec résignation et perdra sa patrie sans tirer un seul coup de fusil. On ne lui a jamais appris que Thomas Hobbes, philosophe anglais, disait que « l’homme est, à l’état de nature, un loup pour l’homme ».
Certains de ces « migrants-nature » n’ont-ils pas jeté par-dessus bord leurs infortunés camarades chrétiens au cours de leur traversée ? Ne font-ils pas régner la « loi de la jungle » dans leurs zones de non-droit ?
Arrêter ce flot ininterrompu servirait-il à quelque chose ? Non, hélas !
Pourquoi ? Parce que, comme disent les Anglais, « il ne sert à rien de fermer la porte de l’écurie, lorsque le cheval s’est sauvé » !
C’est-à-dire ? Il suffit de regarder le trombinoscope de ceux qui gouvernent la France (ou de voyager dans le métro parisien) pour réaliser qu’aucun Français « normal » ne peut plus s’y sentir « chez lui » !
L’effondrement démographique des « souchiens » et la progression géométrique des « nouveaux Français » annoncent la couleur. C’est ce qui explique la fuite éperdue des « cerveaux » et des « sales » riches (créateurs d’emplois).
Devant un tel avenir radieux, même si, dans ma jeunesse, j’ai versé par deux fois mon sang pour la patrie, je n’ai aucune vocation au martyr. J’ai choisi, moi aussi, de devenir un « migrant » et de faire souche chez un grand peuple pacifique, intelligent, travailleur, et civilisé. Un peuple compatible avec le nôtre, accueillant envers celui qui l’aime et le respecte.
Cela m’a semblé préférable à rester dans un pays naufragé qui perdu son âme, où mes descendants n’auraient probablement eu, comme naguère les pieds-noirs, qu’un choix cornélien entre « la valise ou le cercueil » ?