C’était en juin 2016…
Dégénéré, indécent, horrible, démoniaque, pornographique… tels sont les qualificatifs qui se précipitent sous la plume après vingt minutes de visionnage de cette “cérémonie” où étaient conviés nombre d’officiels et trois mille invités… De quel cerveau très malade a pu sortir cette affrosité cacophonique est la première question qui vient? Gottardo 2016 est “l’oeuvre” de Volker Hesse, directeur artistique allemand, lequel n’a pu réaliser cette “prouesse” qu’avec l’assentiment et l’argent des autorité helvétiques, plus exactement celui des contribuables suisses.
Revêtus de combinaisons oranges, symbolisant les ouvriers du chantier, des danseurs s’agitent comme des robots-pantins désarticulés: quel bel hommage au travail accompli! Puis déboulent des monstres velus et polychromes, pendant que des danseurs en sous-vêtements se trémoussent sur une remorque tel des possédés… “anges” hideux, “animaux” satano-cornus, ectoplasmes inquiétants, des êtres effrayants miment des copulations… Les scènes incompréhensibles et malsaines se succèdent sur fond de hurlements, pendant que l’orchestres de l’armée suisse, impassible, joue sa partition. A noter, la présence d’humanoïdes au front ceint de ce qui ressemble étrangement à une couronne d’épines… Outre qu’il est inadmissible que la christianophobie s’immisce dans l’inauguration d’un tunnel que l’on a fait bénir par les représentants de toutes les religions, islam inclus… l’intérêt en ces lieux d’une telle attaque ne s’explique que par une grave pathologie mentale ou une possession avérée.
Si très majoritairement la presse fut laudative, Gottardo 2016 fut la risée de rares médias dont la BBC.
Verdun avait offert à la France les délires indécents de l’Allemand Schlöndorff, la Suisse et l’Italie ont bénéficié de ceux de Hesse: à chacun son Volker!