Un musulman radical se fait remettre en place par un musulman modéré

Extrait du reportage “À la Barbe du Paradis” de l’émission “Tout ça ne nous rendra pas le Congo !” diffusée mardi 4 décembre 2012 sur la chaîne belge La Une. Le musulman radical a beau rejeter le système, il est le premier à en profiter, lui rappelle le musulman modéré. Un échange savoureux !

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42 Comments

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  • Alverma , 24 août 2013 @ 11 h 35 min

    Qui peut m’expliquer pourquoi les islamistes anti-Assad sont des saints, et les islamistes tunisiens, marocains, algériens, des démons aux pieds fourchus?
    Les américains étaient intervenus en Afghanistan en aidant Ben Laden, lequel les en a remercié comme on sait. Al Qaeda c’est pas de la tarte!
    On aide les rebelles en pensant qu’une fois qu’ils auront gagné ils ne seront plus rebelles, mais voilà: ils ont la rébellion dans l’âme et continuent à se rebeller, mordant la main qui les a nourris.
    Est-ce que l’Occident est devenu stupide dans ses croisades, ou est-ce qu’il y a des raisons d’une telle subtilité que le commun des mortels, comme moi, n’y comprend rien.

  • Alverma , 24 août 2013 @ 11 h 36 min

    Le diable aussi est astucieux.

  • monhugo , 24 août 2013 @ 13 h 43 min

    A propos du Qatar. Voici l’histoire édifiante d’un chef d’entreprise français, Jean-Pierre Marongiu. Escroqué et emprisonné (après avoir été trahi au passage par les autorités diplomatiques françaises) !
    A lire, et à diffuser. Surtout quand par ailleurs le Qatar “achète” la France, patrimoine culturel (voir l’hôtel Lambert, monument historique, “réhabilité” par son actuel propriétaire, frère de l’émir du Qatar, et en partie détruit sans remèdes en juillet dernier), club de foot (PSG, avec “fête” remarquable en mai dernier) et très récemment “Printemps”. Simples exemples. Tout en finançant l’islamisation de notre pays, et “remotivant” les ghettos musulmans, d’obédience sunnite.
    Comme plusieurs milliers de nos compatriotes, cet homme de 53 ans, habitué des missions professionnelles à l’étranger, avait choisi en 2005 de venir profiter de l’économie florissante de l’émirat. Il y crée une société de formation au management, “Pro & Sys”, où, comme le veut la loi locale, son sponsor qatari devient majoritaire, à hauteur de 51% du capital.
    Pendant plus de quatre années, l’affaire prospère. « Mais en 2009, j’ai reçu la visite du frère de mon sponsor, Abdallah bin Nasser bin Jassim al-Thani, qui m’a félicité pour les résultats de ma société, avant de m’annoncer qu’il souhaitait la récupérer, raconte Jean-Pierre Marongiu. Je me voyais déjà négocier la vente juteuse de l’entreprise que j’avais créée! » Mais la discussion prend une toute autre tournure : son interlocuteur lui aurait expliqué que son sponsor voulait en fait tout simplement mettre la main sur la société et « remercier » l’entrepreneur français. « J’étais estomaqué, en acceptant cela je perdais tout, mon capital – 2,5 M€ investis – ma société, mes employés… Une escroquerie pure et simple ! Je ne savais pas à l’époque que mon associé ne faisait que ça, devenir sponsor de sociétés et, dès qu’elles marchent bien, se les approprier. »
    Le Français refuse le “deal”.
    A partir de ce moment, il y a un peu plus de deux ans, tout dérape. « D’un seul coup, mon business s’est tari, j’ai perdu mes clients, je me suis retrouvé à taper à toutes les portes pour survivre. Dès que j’ai pu envoyer ma famille en France, je l’ai fait. Et j’ai commencé à envisager tous les moyens de quitter le Qatar. » Jean-Pierre Marongiu se trouve alors confronté à une des règles les plus contraignantes de l’émirat : pour les travailleurs étrangers, pas question de quitter le pays sans un « exit visa » délivré par… le sponsor. Le Français affirme avoir été escroqué par le sien. Ce dernier aurait vidé les comptes de la société. Jean-Pierre se retrouve accusé d’émission de chèques en bois, un délit très grave là-bas, passible de dix ans de prison. Aucune chance d’obtenir dans cette situation le « bon de sortie ».
    Seule solution pour lui : quitter l’émirat clandestinement. Et c’est l’incroyable aventure. « Je suis entré en contact avec des pseudo-mercenaires, ils devaient venir avec un yacht au large du Sheraton de Doha et je m’apprêtais à les rejoindre à la nage… Ils ne sont jamais venus. Et puis un jour j’ai trouvé quelqu’un qui m’a conseillé d’essayer le kayak. »
    En pleine nuit, accompagné d’un « ami » pour l’aider à ramer, Jean-Pierre Marongiu embarque sur le canoë. « Nous espérions rejoindre une île de l’émirat voisin de Bahreïn qui n’est qu’à 5 kms des côtes du Qatar. Mais il y avait plein de garde-côtes, et nous avons décidé de continuer vers Bahreïn, cinquante kilomètres plus loin. »
    D’après le récit du Français, l’évasion tourne à la déroute. « Nos réserves d’eau se sont taries, les vagues ont fracassé le kayak, nous étions à la dérive, nous avons cru mourir vingt fois. » Finalement, un bateau de pêcheurs les recueille et les débarque à Bahreïn.
    Sur place, Jean-Pierre Marongiu compte sur la protection de la France. Mais l’ambassade lui refuse les documents nécessaires pour rentrer en France. Et il se retrouve aux mains de la police de Bahreïn qui le remet aux Qataris. Retour à Doha où il est immédiatement emprisonné, condamné à six mois pour avoir « quitté illégalement le pays ». Libéré après une grève de la faim, il attend maintenant l’autre jugement lié à l’affaire d’escroquerie (la victime étant considérée comme le coupable) et risque dix ans de prison.

  • monhugo , 24 août 2013 @ 13 h 56 min

    “Fafa” n’a jamais travaillé de sa vie, même pas dans le négoce familial (plusieurs générations de grands antiquaires – mais plus aucun Fabius concerné en 2013). C’est un “politique”, issu de l’énarchie, à belle et précoce carrière : au Budget en 1981 (il a 35 ans), plus jeune Premier ministre de la Vème, en 1984 (et jusqu’en 1986).

  • monhugo , 24 août 2013 @ 15 h 28 min

    Aucune “subtilité” ! Juste de la géopolitique et des “gros sous”. Ici, pétrole et oléoducs.

  • patrhaut , 24 août 2013 @ 16 h 26 min

    la preuve en est que Yaki est toujours vivant, comme le canard de Robert Lamoureux. A ceci près qu’avec le canard, on rigolait bien.

  • Gisèle , 24 août 2013 @ 17 h 58 min

    Et d’autres vont se faire très peur en se voyant dans la * glace * ……tels qu’ils sont !

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