C’est en France qu’il faut mener la guerre!

 

Dans son numéro daté du 20 juillet, l’hebdomadaire Minute appelle Hollande à mener la guerre contre l’islamisme en France, car c’est là qu’elle se gagnera, et non en Syrie ou en Irak. Extraits de cet article qui s’inscrit dans un numéro spécial sur l’islamisme en France, et qui comporte notamment un stupéfiant article sur la satisfaction des 64 djihadistes incarcérés dans des « unités dédiées » au sein des prisons françaises : ils ont été les premiers surpris de découvrir… qu’ils y étaient traités avec les plus grands égards et que leurs conditions de vie étaient les plus enviables du monde carcéral !

« “Nous continuerons à frapper ceux qui justement nous attaquent sur notre propre sol dans leurs repaires“, a dit François Hollande, citant la Syrie et l’Irak, plus déterminé que jamais à ne pas affronter l’ennemi là où il se trouve réellement : sur le territoire français, là où la folle politique d’immigration les a fait venir – puis en a fait naître d’autres en vertu de l’absurde droit du sol –, là où l’islamisme aussi s’est implanté à proportion que s’érigeaient des mosquées et centres culturels salafistes, qui seraient une centaine à propager des discours « radicaux » mais dont aucun n’a été fermé.

« Mais pour cela, encore faut-il, comme disait un célèbre présentateur de télévision, “avoir des coucougnettes“. “Taper“» la Syrie, en y envoyant les Rafale, ça coûte cher mais c’est facile. “Taper“ la banlieue, c’est autre chose. C’est pourtant bien là, au regard de notre histoire future, que l’avenir se joue. Comme l’a dit Marion Maréchal-Le Pen : “Il n’est plus l’heure des bougies, des marches blanches, des “Je suis Nice“. L’histoire dorénavant s’écrira en ces termes : si nous ne tuons pas l’islamisme, c’est l’islamisme qui nous tuera.“ […]

« Or cet islamisme n’est pas une lointaine menace qu’un corps expéditionnaire pourrait anéantir. Il est là, ici, et là encore, comme le savent très bien nos gouvernants qui cherchent à se rassurer avec des formules convenues mais sont à deux doigts du lapsus qui aurait au moins le mérite de rendre la confrontation avec les islamistes inéluctable, afin d’en purger le pays une bonne fois pour toutes – du moins pour quelques siècles – et d’obliger chacun à choisir son camp. […]

« Ce n’est qu’en coupant les “branches pourries“, comme disait le général Imbot, au sein de l’islam, en coupant tout financement en provenance de l’Arabie saoudite et du Qatar, en fermant toutes les structures liées aux Frères musulmans comme à l’Union des organisations islamiques de France, ainsi que le réclame Marine Le Pen, en expulsant tous les prédicateurs salafistes étrangers, en internant, sur le modèle churchillien (voir page 7), tous les étrangers (ou binationaux) qui présentent une menace pour la sécurité nationale, le temps que la guerre soit menée et gagnée, et utilisant réellement les moyens procurés par l’état d’urgence pour nettoyer des quartiers entiers, que, d’une part, l’islamisme pourra être éradiqué, et que, d’autre part, l’islam pourra être distingué de l’islamisme. »

Et Minute d’adjurer Hollande « d’enfin affronter la réalité, celle d’un islam gangrené par l’islamisme – et non par un “islamisme radical“ comme on l’entend encore en une formule redondante qui n’a aucun sens ».

Lu sur Novopress

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