Brexit : le président de la Commission européenne menace la Grande-Bretagne

Nos brèves

Eric Martin
23 juin 2016
Latest Update: 23 juin 2016 12 h 56 min
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Le référendum sur une sortie ou non de la Grande-Bretagne de l’UE se tient ce jeudi et au Parlement européen, la plupart des 73 députés britanniques est aux abonnés absents, partie faire campagne Outre-Manche. Du côté des pro-UE, les quelques-uns qui défilaient dans les couloirs se sont montrés inquiets, disant “croiser les doigts” pour le maintien. Chez les eurosceptiques, Nigel Farage le chef de file de Ukip, continuait de militer activement pour le Brexit. Martin Schulz, le président du Parlement européen a quant à lui adressé un message d’avertissement, appelant à “ne pas sous-estimer la puissance économique de l’UE, si on veut en sortir, on n’en fait plus partie” :

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daubrege jean-marie , 23 juin 2016 @ 13 h 27 min
On appelle cela une menace, tout simplement..
Maintenant, qui empêchera un pays resté européen de commercer avec l’angleterre? Encore des menaces de la part de cette europe censée le protéger, au contraire?
Quelle escroquerie!
Wagner , 23 juin 2016 @ 14 h 43 min
Le président de la commission européenne a peur que d’autres pays suivent l’Angleterre dans cette décision. Je ne serai pas contre le Brexit, en effet qu’a fait l’Union européenne pour
les travailleurs? Rien. Eh oui, que de la casse sociale sinon rien, tout a été fait pour les capitalistes , car cette Europe est à la botte de ces derniers.
jacky4546 , 23 juin 2016 @ 16 h 09 min
Tout à fait d’accord avec vous, Wagner.
Personnellement je suis tout à fait POUR le Brexit, car j’espère qu’il provoquera l’explosion de cette hérésie qu’est l’UE tel qu’elle fonctionne actuellement.
De surcroît, je suis d’accord avec les Anglais qui souhaitent que les dirigeant soient élus et non des technocrates décérébrés à la botte des USA et de l’Arabie Saoudite.
En tout état de cause, je souhaite surtout que chaque pays et en particulier la France, retrouve sa souveraineté.
Que Shulz aille se faire pendre ! Sa menace reflète bien la dictature qui s’installe sournoisement mais sûrement.
Chevalier-de-Moncaire , 23 juin 2016 @ 18 h 00 min
Le méssage de la crainte. Avec un tel méssage on va nulle part.
trahi , 24 juin 2016 @ 8 h 29 min
Cet homme ne fait pas pression sur les peuples, il les MANIPULE.

De quel droit menace t’il les souverainetés des pays Européens? Pour qui se prend t’il cet adepte de la bête?

Comment des gens non élus se donnent-ils le droit de menacer? Quand va t’on virer ces profiteurs et voleurs qui ont pourri nos pays en laissant les frontières libres d’accès à n’importe qui?
zazie , 24 juin 2016 @ 8 h 45 min
Si nous prenons la suite, il nous faudra parler de FRexit ; le brexit, c’est fait! Le néologisme brexit étant construit à partir de l’Anglais, j’aimerais bien qu’on en fabrique un à partir du Français.
Jean NOGUES , 24 juin 2016 @ 9 h 03 min
Ces policiciens professionnels, chacun n’est que la voix de son maître. EN réalité, ils ne peuvent rien contre une lame de fond, ils ne sont que des bouchons qui dansent au sommet des puissantes vagues géantes. Ils sont ballotés comme tout le monde. Avec ce vote d’une netteté implacable, les voilà secoués comme un prunier. Ils aurony beau tempêter, menacer, dénigrer, tout ça ne sera que gesticulations. Ils ont intérêt à ne plus commmettre d’erreur majeure, sous peine d’être balayés par un tsunami qui les anéantira. Ils sont dans de beaux draps, ça faisait tout de même 45 ans que l’Angleterre s’était attelée à ce char européen plus ou moins désarticulé. La leçon, c’est qu’on ne peut absolument rien contre les lames de fond populaires. L’arrogance franco-allemande vient de recevoir la gifle du siècle. Marine va s’en trouve confortée, nos centristes ultra-européistes vont encaisser le gros de l’échec, le camp immigrationniste a intérêt à ne plus trop la ramener, tous ces gens-là vont à la moindre erreur se voir accusés haut et fort de gouverner contre les peuples. Digérer cette claque va leur prendre des mois et des mois.