Cloud, cela veut dire « nuage » en anglais. Comme si nos données se baladaient dans le ciel, à côté des oiseaux et des avions… C’est peut-être pour cela qu’on a souvent l’impression que le cloud est écolo. Pourtant, pour fonctionner, il nécessite du matériel informatique terrestre et bien réel, qui prend la forme de milliers de serveurs, réunis dans d’immenses hangars appelés data centers. Or, ces temples dédiés aux données consomment des quantités astronomiques d’électricité, ce qui engendre de la pollution.