VIDÉO | Ces Français qui quittent la France pour réussir

24 Comments

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  la Mésange , 25 janvier 2014 @ 9 h 18 min

  Goupille, faut pas vous emballer comme ça, vous réagissez avec passion, sans réfléchir à fond !

  Papa est décédé il y a bien longtemps, mais il disait que notre seul espoir était dans un coup d’état. Il n’a jamais cru non plus aux “urnes” démocrasses.

  Ce n’est pas à moi, femme et civile, de faire un coup d’état, non ? Donc si nos armées ne se lèvent pas (et cela ne me semble pas être le cas) , il faut se préparer au pire, comme je le disais, c’est à dire au basculement de notre ex-France dans le communisme totalitaire.
  (Je prépare un petit article sur mon site recensant tous les pas vers le totalitarisme qu’a fait ce gouvernement depuis son arrivée. Je mettrai un lien ici.)

  Dès lors, vous trouvez que c’est de la lâcheté de fuir ?
  Les réfugiés qui au péril de leur vie avait fui l’URSS étaient des lâches ? Ils auraient dû rester chez eux tranquillement à attendre le peloton d’exécution ou le goulag ? Pareil pour les Chinois ?
  Vous avez une conception bizarre de la désertion !

  Que des hommes prêts à se battre, entraînés, armés, restent : c’est très bien, c’est méritoire et tout à leur honneur.
  Mais pour les civils, et en particulier femmes et enfants, dans ces cas-là, eh bien on les évacue. Vous ne croyez pas ?
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  la Mésange , 25 janvier 2014 @ 9 h 24 min

  J’ai oublié un “détail” important : mon père était d’origine ukrainienne. Ses grands parents avaient fui l’invasion communiste en leur temps, pour passer en Pologne, puis en Belgique, puis en France.
  Fuir le communisme, on connaît bien dans la famille, et je ne pense pas qu’on puisse traiter ces gens de lâches. Ou alors on confond le courage et la stupidité.
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  charles martel , 26 janvier 2014 @ 9 h 14 min

  goupille, mais quel guerrier en carton vous faites, pauvre type va!

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