Selon Boulevard Voltaire, les médias français n’ont pas tout dit à propos du décès de Gilles Le Blanc, directeur adjoint du ministre de la Culture, Aurélie Filippetti (exemple avec Rue89). Citant le quotidien italien Corriere Veneto, notre confrère affirme que “dans la poche de sa veste, les carabiniers ont trouvé un sachet de cocaïne d’un demi-gramme. Une quantité qui s’inscrit dans les limites de la consommation personnelle autorisée par la loi italienne.” “Les carabiniers cherchent maintenant à savoir où Gilles Le Blanc s’était procuré cette drogue et si sa mort est due à une overdose ou si la drogue est pour quelque chose dans son décès. Hypothèse des plus vraisemblables si la cocaïne était coupée d’autres substances toxiques”, continue Boulevard Voltaire qui s’étonne du silence des médias de masse francophones. Un peu comme pour la mort franchement misérable de Richard Descoing, le Président de Sciences Po. Il ne faudrait surtout pas ouvrir les yeux de nos contemporains sur le mode de vie et les pratiques courantes de l’oligarchie, cela en dirait beaucoup plus sur leurs idées que leurs déclarations publiques…
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