Ne stigmatisons pas les déséquilibrés !

Les événements tragiques qui ont eu lieu à Dijon et à Tours ne doivent pas aboutir à des généralisations vis-à-vis des déséquilibrés.

La grande majorité des déséquilibrés sont des Français comme les autres et ne doivent pas être montrés du doigt ni stigmatisés en raison de leur appartenance à des catégories psychiatriques bien particulières alors qu’ils souffrent déjà de discriminations au quotidien liées à leur état psychique.

Souffler sur les braises de ces faits divers, attiser la haine envers ces minorités ne ferait que renforcer le risque que d’autres déséquilibrés légers deviennent des sujets cliniques préoccupants.

Mais surtout, cela menacerait l’équilibre décidément bien fragile sur lequel repose notre société.

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49 Comments

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  • 0 / 10
  • magellan , 23 décembre 2014 @ 8 h 00 min

    Ce serait l’extrême droite qui serait automatiquement dans impliquée sans aucun doute

  • trahi , 23 décembre 2014 @ 9 h 10 min

    Je me demande chaque jour en écoutant nos responsables politiques, qui sont en rélaité les véritables “déséquilibrés” A bien y regarder, je m’aperçois que non seulement les politiques, mais également beaucoup de journalistes sont : déséquilibés!!!

  • rorol , 23 décembre 2014 @ 9 h 20 min

    oui deux poids deux mesures, ce que l’un fait l’autre ne peut pas le faire pourquoi,? on veut des explications, au suivant de ces messieurs,

  • fleurdenavet , 23 décembre 2014 @ 9 h 22 min

    Il faudrait arrêter de nous prendre pour des imbéciles. Des déséquilibrés dites-vous, c’est bien commode, sauf pour les victime. Par ailleurs, avec une pseudo justice comme la nôtre, beaucoup de déséquilibrés vont voir le jour.

  • trahi , 23 décembre 2014 @ 9 h 25 min

    C’est quand que l’on change les vielles cases pour en remettre des neuves au ministre de l’intérieur? Ce n’est pas possible qu’il ai des caseneuves, j’y vois plutot des casevides!!!!

  • Vautrin , 23 décembre 2014 @ 10 h 34 min

    Pas de surprise : les « autorités », craignant « l’amalgame », s’efforcent de déminer le terrain : les auteurs de ces attentats seraient simplement des « déséquilibrés ». Donc ils ne seraient pas responsables, n’ayant pas de discernement. Quelle hypocrisie, qui, au demeurant, ne doit plus berner grand monde, tant le nombre de déséquilibrés islamistes tend à croître en ce moment.
    Le fanatisme islamique et ses effets meurtriers interrogent cependant le psychiatre sur les rapports entre le politique et le religieux – qui sont en indivision dans l’islam- d’une part, et la tendance psychopathique au meurtre d’autre part. Je crois avoir déjà signalé une étude sur la psychopathie des terroristes incarcérés (in Clinique des perversions sous la direction d Claude de Tichey, éditions Érès). Il y a chez eux une indifférence totale à la souffrance des victimes, et, selon ce que j’ai pu observer des abominables documents d’assassinats publiés par les islamistes, une véritable jouissance à tuer – le « koufar » ou le musulman d’une chapelle adverse.
    L’islam provoque un phénomène psychique curieux : par les interdits qu’il introjecte, il détermine un comportement quasi-névrotique chez les musulmans, et par le commandement au djihad il détermine un comportement psychopathologique : un permis de tuer et une jouissance du meurtre. C’est contradictoire, et cela constitue une énigme en psychiatrie.
    Cependant, même s’ils n’éprouvent aucune culpabilité, ils n’en sont pas moins légalement responsables de leurs actes et doivent donc être sanctionnés. Durement.Comme doit être durement combattue et amendée la religion qui provoque de tels troubles.

  • marie , 23 décembre 2014 @ 11 h 11 min

    M. Martin qu’on nous prennent pas pour des billes, comme c’est bizarre, ce sont tous des malades, tous ces djihadistes sont malades.

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