Les événements tragiques qui ont eu lieu à Dijon et à Tours ne doivent pas aboutir à des généralisations vis-à-vis des déséquilibrés.
La grande majorité des déséquilibrés sont des Français comme les autres et ne doivent pas être montrés du doigt ni stigmatisés en raison de leur appartenance à des catégories psychiatriques bien particulières alors qu’ils souffrent déjà de discriminations au quotidien liées à leur état psychique.
Souffler sur les braises de ces faits divers, attiser la haine envers ces minorités ne ferait que renforcer le risque que d’autres déséquilibrés légers deviennent des sujets cliniques préoccupants.
Mais surtout, cela menacerait l’équilibre décidément bien fragile sur lequel repose notre société.
49 Comments
Comments are closed.