Manuel Valls évoque “le combat de sa vie” (!) contre l’extrême droite

Nos brèves

Eric Martin
22 novembre 2016
Latest Update: 22 novembre 2016 10 h 18 min
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Présent à Alfortville à l’occasion de l’inauguration de l’Hôtel de Police municipale, Manuel Valls a évoqué son combat contre l’extrême droite. “Et moi, comme républicain d’abord, je ne me résigne pas à voir l’extrême droite présente au second tour de l’élection présidentielle. C’est le combat d’une vie, c’est le combat de beaucoup d’entre nous, c’est le combat de ma vie “, a déclaré le Premier ministre. Il a également évoqué la nécessité de “rassembler la gauche parce que demain il faudra rassembler les Français” :

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jpr , 22 novembre 2016 @ 12 h 30 min
Moi, je sais ce que le socialisme représente “pour les petites gens, … pour les ouvriers, pour les employés, pour les personnes âgées, pour la jeunesse” : misère pour les premières, chômage de masse pour les seconds, pauvreté pour les troisièmes, euthanasie et illettrisme pour les suivants.
La France n’a pas besoin de Valls-le-Führer, ni des mondialistes de son espèce, issus de la franc-maçonnerie, à la solde du mondialisme apatride.
Du balai !
Droal , 22 novembre 2016 @ 13 h 36 min
Pourquoi au second tour?
Droal , 22 novembre 2016 @ 13 h 39 min
Je veux dire qu’il n’y aura peut-être pas de second tour.

Laden 2 tours, Lepen 2 tours?

Pas sùr.
Olivier84 , 23 novembre 2016 @ 8 h 40 min
Dommage, on aurait bien aimé que le combat de sa vie fut la lutte contre le chômage …..
vikinglenormand , 23 novembre 2016 @ 9 h 14 min
Pour valls le combat de sa vie ce n’est pas le chomage,la pauvreté,les attentats,état islamiste,mais c’est le FN,avec un raisonnement pareil cela en dit long de sont intelligence politique ce franco-espagnol.
Boutté , 23 novembre 2016 @ 9 h 47 min
Encore un qui veut “tuer le père”, comme son maître Hollande .
Chevalier- de Moncaire , 23 novembre 2016 @ 22 h 39 min
L’extreme deoite? Le gros croquemitaine qui vas nous faire retourner aux temps des boches et du Maréchal. Sans y avoir pratiquement vécu le premmier ministre français a ce sujet parle exactement comme beaucoup des habitants de son pays natale et de ses origines paternelles qui parlent de Franco en mauvais termes sans avoir connu ni le Caudillo et ni son régime dictatorial.