C’est bien simple, on a l’impression que lorsqu’on se mêle de commenter le contenu et la cruauté des jeux après 50 ans, non seulement on s’entend répondre qu’on n’y connaît rien par définition ,mais quand on a prouvé le contraire, on n’a pas voix au chapitre non plus. La violence est une addiction et les “gamers” réagissent comme n’importe quel drogué qui défend son approvisionnement.