La France au péril du djihadisme!

 Par Alain Sanders

Quand on ne parle pas des turpitudes des socialistes (et c’est sûr qu’il y a de quoi faire…), nous sommes submergés par une actualité musulmane qui occupe, dans une France qui fut la fille aînée de l’Eglise, tout notre espace public.

Un des derniers exemples en date, c’est cette famille de Villefontaine (Isère) qui serait partie « djihader » en Syrie. Un couple, quatre enfants (dont trois issus d’unions précédentes) âgés de 6 semaines à 5 ans. Le père, Eddy, est un converti qui se fait désormais appeler Zayed. Il déclarait sans se cacher qu’il voulait quitter la France, « ce pays de mécréants ». La mère, Jihane, portait le niqab.

Ce qui n’a pas empêché le procureur de Vienne, sans doute adepte frileux du « surtout pas d’amalgame », de déclarer sans rire que « les premières investigations ne permettent pas d’établir que le couple était fondamentaliste ou prosélyte ». Ah, bon ? Comment se fait-il, dans ce cas, que ce couple ait été surveillé par les services de renseignements français (ce qui ne l’a d’ailleurs pas empêché de prendre l’avion comme qui rigole) ?

Il n’y aurait pas ces malheureuses gamines embarquées dans la folie djihadiste de Zayed et Jihane, on dirait : « Bon vent ! Et surtout qu’ils restent en Syrie… »

Autre cas, les « révélations » sur le tueur du Musée juif de Bruxelles, le « Français » (comme continuent de le dire les médias dhimmitisés) Medhi Nemmouche. Il y a d’abord eu le témoignage de l’ex-otage, le journaliste Nicolas Hénin, expliquant que Nemmouche avait été son geôlier. Un geôlier particulièrement violent.

Pour l’occasion, ce pauvre Hénin (journaliste au Point, c’est tout dire) a joué les psychologues du Café du Commerce, tendant à faire du monstre un « paumé », un « aventurier », pour qui le djihad n’aurait été qu’un prétexte. Tout et n’importe quoi plutôt que de se rendre à l’évidence : Nemmouche est un musulman qui se revendique comme tel, un islamiste, un égorgeur, un violeur, un bourreau.

S’en est suivie une polémique surréaliste après les « révélations » de Libération selon qui ledit Nemmouche voulait commettre à Paris, le 14 juillet dernier, une attaque « à la Merah puissance 5 ». « Ce n’est pas vrai » a bafouillé Cazeneuve, qui est fait pour être ministre de l’Intérieur comme moi petit rat de l’Opéra… « Nous confirmons », a dit Libération.

Entre nous : qu’est-ce qu’on en a à foutre ? On n’en pas assez avec le massacre de Bruxelles et les déclarations de Nemmouche (1) ? La seule chose que l’on puisse regretter, c’est qu’il n’ait pas été éradiqué en Syrie et qu’il ait pu, sans problème, revenir en Europe pour passer à l’acte.

On nous donne aussi, au petit bonheur la chance (à la babAllah, disions-nous outre méditerranée), le nombre supposé de « Français » partis faire le djihad en Syrie et en Irak. Ce qui serait plus intéressant, c’est : 1) de savoir combien sont revenus (et ce qu’on fait d’eux) ; 2) de savoir combien d’islamo-terroristes en puissance et encore en sommeil se terrent dans nos banlieues ethniques. Ceux qui, comme le dit un autre converti interrogé par Le Parisien, sont sans équivoque : « Mon Code pénal, c’est le Coran. »

Pendant ce temps-là, les dhimmis de service continuent de claironner que l’islam est « une religion de paix et d’amour ». Il y a des coups de pied au cul qui se perdent, non ?

(1) Déclaration de Nemmouche aux otages : « Merah, c’est le plus grand Français (sic) que la France ait jamais produit. (…) Les petites juives, je les tirerais bien par les nattes avant de les buter. » Et encore : « Après, je vois la femme. Là, ça commence à devenir plus marrant. D’abord, je la viole et ensuite je lui coupe la gorge. (…) Après, je tombe sur le bébé. Ah, un bébé ! Tu peux pas savoir, c’est un tel plaisir de couper la tête d’un bébé. »

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