La justice de Munich, via le procureur, prend la défense de l’islam contre la présentation des faits historiques, refuse d’écouter (le principe du contradictoire ) les faits présentés par l’accusé ! Il a fait fouiller les témoins lors de l’audience à deux reprises, confisquer leurs pièces d’identité pour en faire des photocopies ! Pas un mot dans la presse officielle ! Michael Stürzenberg, ancien membre de la CSU, célèbre activiste politique notamment durant Pegida et journaliste de la presse de réinformation avec ses collaborations pour le célèbre site Pi-News http://www.pi-news.net/ après avoir été journaliste durant 35 ans, anti-islam depuis la mort d’un ami et collègue de la CSU dans un attentat islamiste à Bombay en 2008, se donnant la mission d’informer les lecteurs sur l’islam, vient d’être condamné par un tribunal de Munich à 6 mois de prison avec mise à l’épreuve pour… apologie du nazisme alors que ce dernier ne faisait que reprendre une photo historique en la publiant sur Facebook pour dénoncer la désinformation du Süddeutsche Zeitung. Michael Stürzenberg, qui est pourtant très à droite, déclare que son pays est une dictature comme à l’époque des Nazis ! Michael Stürzenberg aurait donc mis le doigt sur la reprise de la collaboration entre la nouvelle Allemagne et le Nazisme ! Et cela dérange !
Le tribunal de Munich statuait ce 18 août. Le déni total du droit est une réalité dans ce pays présenté comme un modèle civilisationnel de manière constante depuis la propagande du couple franco-allemand. L’Allemagne est de nouveau un pays dangereux, psychiatriquement malade (il faut y vivre pour comprendre en ayant les yeux ouverts sur la situation de la société). L’Allemagne connaît depuis des années la fin de la liberté d’expression et une répression violente. Les média officiels, bien payés par l’Etat, se taisent sur l’évolution catastrophique pour la condition humaine de ce pays. Le peuple allemand, lui même, souffre et vit dans une prison psychiatrique qui laisse l’humain et la raison sur le bas côté de la route. Des armées de psychologues font des expertises sur les citoyens avec l’aide de la justice. En juin 2016 le Süddeutsche Zeitung, journal estampillé par Udo Ulfkotte (journaliste d’investigation décédé https://ripostelaique.com/deces-du-celebre-journaliste-dinvestigation-udo-ulfkotte.html ) comme étant un média infiltré et payé par les services secrets (comme les autres média officiels) -un média pas sérieux et aux ordres du pouvoir politique comme le Frankfurter Allgemeine Zeitung pour lequel il travaillait-, a publié un article sur les liens entre l’islam et le nazisme mais pour dénoncer ceux qui font un lien entre islam et nazisme en citant dans l’article Michael Stürzenberg et en prenant, donc, la défense de l’islam.
Article du Süddeutsche Zeitung. En juin 2016, le Süddeutsche Zeitung publiait un article « Hakenkreuz und Halbmond » (La croix gammée et le croissant) avec une photo historique montrant le religieux Mohammed Amin al-Husseini en train de saluer en 1944 un contingent de soldats musulmans bosniaques de la SS. On voit sur cette photo publiée par le Süddeutsche Zeitung ces soldats porter la « Totenkopf de la SS » sur leur Fez qui était rouge foncé (description faite dans le texte). Sous la photo on peut lire, « Die Nazis waren voll des Lobes für den Islam. Ihre Sympathie für Muslime war allerdings taktisch – Hitler selbst hatte ein unerquickliches Treffen mit dem Großmufti von Jerusalem » (Les nazis étaient pleins d’éloges pour l’islam. Leur sympathie pour les musulmans était cependant une tactique – Hitler lui-même a eu une réunion peu réjouissante avec le Grand Mufti de Jérusalem). « La SS a entretenu une identité musulmane », lit-on encore dans l’article du Süddeutsche Zeitung, comme la volonté de Himmler de distinguer les troupes marocaines des Bosniaques… en réclamant de revoir le design du Fez avec son rouge foncé pour ne pas les confondre avec les Marocains. La SS va cultiver la tradition des prières musulmanes dans ce contingent. « L’imam du contingent tient des prêches sur Hitler « qui se bat pour Dieu, la foi, la morale et pour un ordre plus juste dans le monde » (Feld-Imame predigen zu ihnen über Hitler, « der für Gott, Glauben, Sittlichkeit und eine schönere und gerechtere Ordnung in der Welt kämpft »), lit-on toujours dans l’article du Süddeutsche Zeitung. Michael Stürzenberg a simplement repris les preuves historiques publiées par le Süddeutsche Zeitung qui attestent de la collaboration de contingents musulmans et de l’idéologie musulmane avec le Troisième Reich mais a reformulé l’information du journal en la recadrant par des preuves historiques car ce dernier faisait un amalgame entre les positions de Michael Stürzenberg et l’islam et tentait de dédouaner le rôle de l’islam avec le nazisme. Le Süddeutsche Zeitung disait que l’islam n’avait pas collaboré avec le nazisme mais qu’une « déviance » d’un islam l’avait fait. Le journal accusait Michael Stürzenberg d’inciter en général les lecteurs à la haine envers l’islam en sortant les éléments historiques de cette collaboration dans cette époque historique. Le Süddeutsche Zeitung n’avait, lui, pas été mis devant un tribunal après la publication de son article et de ses photos historiques montrant des nazis avec Mohammed Amin al-Husseini.
Le Süddeutsche Zeitung, dans une explication perverse, accuse Michael Stürzenberg d’être un type d’extrême droite, pratiquement nazi, qui fait un lien rapide entre islam et nazisme en reprenant la phrase de Himmler, « l’islam est très semblable à notre vision du monde ». Le Süddeutsche Zeitung explique que l’islam des nazis n’est pas l’islam… mais apporte, par ailleurs, dans son article la preuve du soutien d’Hitler à l’islam et de l’islam via Mohammed Amin al-Husseini au nazisme. Le Süddeutsche Zeitung, incite, par ailleurs, à la haine raciale en laissant dire que les musulmans sont des êtres inférieurs, en expliquant, en outre, qu’Hitler voulait prendre le pouvoir sur le monde musulman, les considérant comme des sous-hommes: «Infolge ihrer rassischen Unterlegenheit (….) en raison de leur infériorité raciale »http://www.sueddeutsche.de/politik/muslimische-ns-helfer-hakenkreuz-und-halbmond-1.3015455-2 .
Volonté nouvelle de pouvoir absolu de cette nouvelle Allemagne. Michael Stürzenberg reprend la démonstration historique du Süddeutsche Zeitung. « L’islam était aux yeux des nazis un outil efficace pour soumettre le monde ». Michael Stürzenberg aurait donc mis le doigt sur un sujet sensible et actuel ? : la collaboration de la nouvelle Allemagne avec l’islam, pour soumettre le monde aux ordres de Berlin ? Tout prouve la volonté nouvelle de pouvoir absolu de cette nouvelle Allemagne en Europe ! Berlin porte l’initiative de cet import en masse de migrants en violant les accords internationaux ! sur d’autres terrains, Berlin montre sa volonté de pouvoir en Europe, par exemple, en colonisant les pays baltes, en usant de la guerre en Ukraine pour élargir sa zone d’influence. D’ailleurs, l’AfD recrute des Russlanddeutsche actuellement, ces Allemands, qui viennent des territoires russes de la Volga où la culture allemande est soutenue par Berlin. Mais ça, c’est un autre sujet qui reste, cependant, lié à la nouvelle collaboration de cette nouvelle Allemagne à islam : la volonté d’une Allemagne forte.
Politicaly incorrect, média où écrit Michael Stürzenberg. Politicaly incorrect, qui affirme être « News gegen den Mainstream · Proamerikanisch · Proisraelisch · Gegen die Islamisierung Europas · Für Grundgesetz und Menschenrechte » un site de News contre le mainstream, proaméricain, pro-israëlien, contre l’islamisation de l’Europe, pour la loi fondamentale et les droits fondamentaux », est le nom du site où Michael Stürzenberg est actif http://www.pi-news.net/. Michael Stürzenberg dérange depuis des années le pouvoir allemand car Michael Stürzenberg est devenu une voix connue et charismatique du Net et de la rue durant les manifestations Pegida. Pour la justice de Munich Michael Stürzenberg serait donc un apôtre du nazisme tout en collaborant pour un média pro-israëlien !
Michael Stürzenberg est traité comme un criminel, comme un terroriste. Dès 2011 Michael Stürzenberg a été condamné à plusieurs reprises par la justice de son pays. Le cas de Michael Stürzenberg montre à quel point il est risqué de s’exprimer librement en Allemagne sur l’islam même par l’emploi de faits historiques. Au delà de la question de l’islam, le jugement contre Michael Stürzenberg montre la disparition de l’Etat de droit en Allemagne. Imaginez donc ce que vivent les simples citoyens, par exemple, aussi dans le domaine du droit familial quand des parents refusent les cours sur le Gender…. ou sur les fausses accusations du Jugendamt pour arracher les enfants aux familles ! Les récits de Kafka à côté de la réalité sont du petit lait. La justice use de fausses accusations pour faire condamner les gens.
La liste des condamnations de Michael Stürzenberg :
En 2011, Michael Stürzenberg a montré une affiche avec une photo de Himmler accompagnée d’une citation de Himmler – qui était favorable à l’islam-, pour dénoncer, comme cela est expliqué sur Wikipédia https://de.wikipedia.org/wiki/Michael_St%C3%BCrzenberger , les similitudes entre l’islam et le nazisme « eine Nähe von Nationalsozialismus und Islam belegen sollten ». La justice de Munich avait déjà accusé Michael Stürzenberg d’employer un symbole interdit en Allemagne qui incite à la haine raciale : l’emploi de la photo de Himmler… En 2013, Michael Stürzenberg a été relaxé par la même tribunal de Munich.
Au mois d’octobre 2014 Michael Stürzenberg a été condamné à une amende de 2 5000 euros pour, selon le tribunal de Munich, avoir proféré des insultes à l’encontre de la religion musulmane. Michael Stürzenberg avait comparé l’islam aux métastases du cancer dans un article publié sur le site Pi-News. Au mois de février 2017 Michael Stürzenberg a été relaxé par le tribunal de Munich.
Au printemps 2015 Michael Stürzenberg, qui a déclaré durant une manifestation Pegida « tout musulman est un potentiel terroriste », a été condamné à une amende de 960 euros et à une peine de probation de 4 mois par le tribunal de Graz en novembre 2015 pour apologie à la haine raciale et pour dénigrement d’enseignements religieux.
La raison de la nouvelle condamnation. Au mois d’août 2017 Michael Stürzenberger a été de nouveau condamné par le tribunal de Munich pour « diffusion sur Facebook de la propagande d’organisations anticonstitutionnelles » : la croix gammée présente sur une photo historique quand un SS serre la main de Mohammed Amin al-Husseini. Le tribunal de Munich a requis une peine de 6 mois de prison (mise à l’épreuve) contre Michael Stürzenberger. Michael Stürzenberg avait écrit un article sur Pi-News pour répondre au Süddeutsche Zeitung en employant une quantité de preuves historiques dont de nombreuses photos. Pour présenter son article sur Facebook Michael Stürzenberg a mis la photo de la rencontre entre un fonctionnaire nazi avec brassard à la croix gammée bien visible et Mohammed Amin al-Husseini en expliquant bien qu’il s’agit d’une analyse sur la période de la Seconde Guerre mondiale suite à l’article du Süddeutsche Zeitung. A souligné que la loi allemande n’interdit pas l’emploi des signes nazis pour des explications journalistiques et historiques… Dans son article et sa parution sur Facebook Michael Stürzenberger voulait mettre en garde les lecteurs sur les nombreux éléments similaires entre l’islam et le nazisme pour défendre la démocratie -comme Michael Stürzenberger le dit dans une vidéo http://www.pi-news.net/justiz-willkuer-in-muenchen-gegen-islamkritischen-journalisten/ .
Michael Stürzenberger explique dans une vidéo parue sur Pi-News http://www.pi-news.net/justiz-willkuer-in-muenchen-gegen-islamkritischen-journalisten/ , qu’en raison de son travail, il est obligé d’aller contre la condamnation du tribunal de Munich. « Si je ne fais rien contre cette condamnation, cela correspond à une interdiction de travailler », explique-t-il. Ce dernier s’indigne du fait que le tribunal de Munich n’ait pas voulu prendre pour éléments de preuves les divers explications d’experts sur l’islam : le principe du contradictoire. Michael Stürzenberger cite les travaux du politologue d’origine égyptienne Hamed Abdel-Samad qui a reconnu il y a deux ans l’islam comme une idéologie fasciste dans son livre « Le facisme islamique » ; Wiston Churchill qui avait aussi noté « Le Coran est le Mein Kampf du prophète Mohammed » ; mentionne le Zeit qui a parlé du fascisme islamiste dans un article « Die Offensive des Islamo-Faschismus » en mars 2004 où l’auteur écrit « nous ne le nommons pas islamisme ou djihadisme mais fascisme sans Duce ou Führer », « les Européens ont du mal à regarder dans le miroir de l’islam fasciste » ; « il manque le regard sur l’évidence : le retour du totalitaire sous le manteau d’une croyance qui s’est soumise à la islamo-terreur pour atteindre son objectif » lit-on dans l’article du Zeit. Michael Stürzenberger aurait bien pu citer Akif Pirinçci, auteur célèbre et d’origine turque, qui passe au crible l’islam en Allemagne et met en garde le peuple allemand.
Le monde à l’envers, les valeurs inversées. Pour le procureur de Munich la publication de Michael Stürzenberger incite la population à douter de l’Etat de droit et à inciter « à la haine » leur sensibilité psychique. « Il faut pour protéger notre démocratie réaliser des reportages utilisant les faits », dit Michael Stürzenberg après son procès ; « mes critiques envers l’islam doivent être criminalisées » ; « Selon le procureur j’aurais insulté une religion qui se trouve dans le pays ! ».
Olivier Renault – Ripostelaïque