Leçon de politique

En Grèce, le premier ministre Alexis Tsipras est mis en minorité, et il démissionne. Normal.

En France, un homme politique mis en minorité ne démissionne pas. Il s’accroche au pouvoir comme une moule à son rocher. Le dernier à avoir eu le courage de démissionner est Charles de Gaulle. C’était en 1969. Il y a 46 ans…

Rafik Smati
Président du mouvement Objectif France

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29 Comments

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  • marie france , 22 août 2015 @ 15 h 24 min

    ,c’est reculé pour mieux sauter ,tout çà pour ne pas avouer que l’euro est un échec

  • brndenburg , 22 août 2015 @ 16 h 14 min

    Désolé,Madame,d’être brutal mais vous ne savez pas ce que vous dites et parlez d’un homme et de son action pendant 60 ans sans rien y connaître ou,pire rien y comprendre!Je peux vous donner bénevolement des cours ayant lu plusieurs fois toute son oeuvre et plus de cent ouvrages sur lui et vécut en son temps qu’il domina,mais oui,de toute sa hauteur,même Churchill ne lui arrivant pas à la cheville ,ses discours sentant un peu trop quand même le cognac-whisky,sa boisson préférée plus les psycho-stimulants que lui donnait tous les jours son médecin Lord Morand d’où sa phrase que vous devez ignorer comme le reste:”N’oubliez pas qu’à Londres ,nous étions sur un bateau ivre” et,de fait,dès qu’il put il alla à Alger.Quant à l’autre il fit de l’orgueilleuse et perfide albion le caniche des amerlocs:à de Gaulle toujours:”n’oubliez qu’entre vous et le grand large,je choisirai toujours le grand large” et voila comment les anglais sont devenus les chi huas huas des amerlocs,ces sales petits clébards qui vous mordent par derrière!erlande.wordpress.com,un site PRO-VIE tous azimuts-et gaulliste en connaissance de cause!Allez les archaïques de ce site,bavez!

  • jean-jacques , 22 août 2015 @ 16 h 54 min

    “Partir en claquant la porte tout en gardant la tête haute” fut un peu la spécialité de De Gaulle, sa martingale politique. En sus, ça lui permettait de fuir le sale boulot, à savoir purger le gauchisme qui empoisonne notre société.

  • Marino , 22 août 2015 @ 17 h 38 min

    Le mensonge de la légende gaulliste

    Il est bon de rappeler qui fut en réalité Charles De Gaulle.

    C’est à partir de 1916 que l’on commence à parler d’un certain De Gaulle.

    Légèrement blessé au genou au début de la guerre, “cela lui évitera de participer à la bataille de la Marne (…) une chance, car celle-ci s’est traduite par une hécatombe d’officiers subalternes dont il eût fort risqué d’être victime » .
    « De même restera-t-il étranger à la bataille du Nord.
    « Les fonctions qu’il occupe dans l’État major régimentaire vont le tenir à l’arrière des premières lignes ».

    Derrière la prudence d’Yves Amiot (1), se dessine déjà le jeune De Gaulle : Éviter les coups et rester près de l’autorité supérieure.

    Tel est l’homme qui arrivera finalement en première ligne le 1er mars 1916, son 33ème régiment prenant la position défendue victorieusement par le 92ème, puis par le 110ème régiment d’infanterie en dépit du pilonnage des Allemands.

    Or, dès le lendemain de son arrivée, suite à un nouveau pilonnage, le capitaine De Gaulle fait hisser le drapeau blanc…

    Contrairement aux autres officiers français, les Allemands ne lui rendirent pas son épée et De Gaulle qui s’en étonnait, s’entendit répondre froidement, « c’est parce que vous vous êtes rendu sans combattre » … !

    Tel était le personnage dont les lobbies antinationaux allaient faire un héros.

    Sans la protection du général Pétain, parrain de son fils Philippe, la carrière du jeune De Gaulle se serait arrêtée là.

    L’ambition maladive de De Gaulle allait l’amener à s’approprier une étude d’État-major sur l’avenir de l’arme blindée en le publiant sous son seul nom.

    Réprimandé par Pétain, De Gaulle allait lui vouer une haine tenace comme à l’ensemble de l’armée française qui le méprisait.

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, la prétendue victoire de Montcornet le 17 mai 1940 attribuée après la guerre à De Gaulle, ne fut qu’une nouvelle reculade de sa part.
    Dès les premiers engagements il fit reculer la 4e division cuirassée qu’il commandait.
    « Charles de Gaulle ne semble pas avoir montré sur le terrain les qualités de coup d’oeil et d’invention« …, commentait Jean Lacouture dans son – De Gaulle -, Édition Le Seuil.

    Ce fut pourtant la guerre de 40 qui allait lui donner la chance dont il rêvait.

    Les Anglais qui avaient besoin d’un képi à opposer au prestige et l’action du Maréchal, envoyèrent le général Spears de l’Intelligence service, débaucher le vaniteux De Gaulle ulcéré de ne pas avoir été pris dans le gouvernement Pétain.

    Tel fut le début de la légende du « glorieux résistant« , De Gaulle et là encore l’Histoire officielle est menteuse, car De Gaulle n’a jamais été nommé général.

    La saga résistantialiste occulte que ce fut Albert Lebrun, président de la République, qui signa le 23 juin 1940, le décret de mise à pied de De Gaulle pour cause de désertion : Au Journal Officiel, 24 juin 1940, paraissait ce texte du Ministère de la Défense : – « Par décision ministérielle du 22 juin 1940, la promotion au grade de général de brigade à titre temporaire, de M. le colonel d’infanterie breveté De Gaulle (Charles-André-Joseph-Marie) est annulée ».

    De même, De Gaulle était amené à proclamer Philippe Pétain «traitre», pour que lui De Gaulle et ses alliés ne le soient pas !

    il faut rappeler comment De Gaulle s’est vanté dans ses Mémoires d’Espoir, d’avoir trompé les Français d’Algérie,:

    “Si de but en blanc j’affichais mes intentions, une vague de stupeur(s) et de fureur(s) eut fait chavirer le navire« .

    « Sans jamais changer de cap, il me faudrait donc manoeuvrer », p. 60-61.

    Ayant réussi à amener l’armée à capituler, l’autre ignominie, avec le mitraillage des Français par le général Katz , sera de livrer les harkis.

    Voilà pourquoi, il urge de faire le ménage de la légende de De Gaulle, faux patriote, militaire lâche, capitulant aux étapes clés de notre histoire, n’ayant réussi à s’imposer que par la politique aux ordres des lobbies.

    Chacune de ses fuites, de ses désertions, explique l’homme et son action contre la France.

    Il est important de signaler que le 16 juin 1940 l’armistice n’est pas encore signé, que donc la France est toujours en guerre et que la fuite de De Gaulle est une « désertion face à l’ennemi en temps de guerre », acte pour lequel des dizaines de soldats ont été fusillés.

    NB : lire aussi “J’accuse De Gaulle” par Manuel Gomez

  • marie france , 22 août 2015 @ 19 h 45 min

    @ MERCI Marino,tout est dit ,l’Histoire la vraie avec un grand H sortira un jour ,pour rétablir la VRAIE ,pas celle des petits barons ,que l’on nous a fait gober pendant plus de 60 ans

  • centurion41 , 23 août 2015 @ 8 h 25 min

    ne nous ramenez pas encore De Gaulle , ce personnage qui se “voulait légendaire” (ce qu’il dit dans ses mémoires!) et qui était mégalomane et pétri d’orgueil!

  • champar , 23 août 2015 @ 8 h 51 min

    @Marino

    Vous n’êtes pas gaulliste c’est sûr, vous ne faîtes pas vraiment dans la nuance.

    – Vous m’avez appris le détail de son comportement pendant la guerre de 1914, je savais qu’il avait été fait prisonnier dans des conditions contestables mais je n’en connaissais pas la totalité des circonstances.

    – Pour l’utilisation de l’arme blindée, il a certainement utilisé des informations produites par d’autres mais il n’étaient pas nombreux ceux qui pensaient comme lui, le maréchal Pétain l’a désavoué car il n’y croyait pas, cela a été la mort de l’armée française en 1940. La bataille de Montcornet aurait pu être un succès mais de Gaulle n’a pas su transformer l’essai : Un théoricien ne fait pas forcément un bon praticien.
    La brouille avec le maréchal Pétain vient surtout du fait que de Gaulle était furieux que ses écrits ne soient pas publiés sous son nom mais sous celui du Maréchal (pratique existant toujours actuellement dans de nombreux organismes, la publication étant effectuée sous le nom du patron alors qu’il ne l’a pas rédigé …)

    – De Gaulle a été nommé général de brigade à titre temporaire comme vous l’indiquez, il ne s’est pas attribué de grade supérieur lui-même, c’était un politique pas un militaire (il avait un poste ministériel quand il est parti en Angleterre et était parfaitement au courant de la volonté de capituler, il a été aidé par le patriote Georges Mandel ministre de l’intérieur). Quant à Albert Lebrun sil vaut mieux oublier cette lopette qui ne savait que pleurnicher (un président de la république du niveau de ce que nous avons actuellement …).

    – En 1944, le politique qu’il était nous a évité d’être sous tutelle américaine en maintenant l’administration française et en limitant la casse avec le mythe de “tous résistants”. Il a certes remis en selle les communistes et Thorez mais pouvait-il faire autrement ?

    – Pour sa façon d’agir au moment de l’indépendance de l’Algérie c’est un acte politique, la France ne pouvait probablement pas garder ce territoire, les amerlocks (déjà) cherchaient la destruction de la France, finançaient et armaient les rebelles. En revanche ce qui est ignoble c’est la manière dont il a fait traiter les pieds noirs et les harkis, c’est là le déshonneur de de Gaulle et de Pierre Joxe, ce dernier point justifie votre hostilité mais je pense que l’erreur est de croire qu’il était militaire alors qu’il était politique.

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