“Le Daim”, avec Jean Dujardin, est-il un bijou surréaliste… ou un pur nanar? (Vidéo)

C’est l’histoire d’un homme à la dérive qui tombe amoureux fou de son blouson en daim, parce qu’il lui donne “un style de malade”. L’homme, c’est Jean Dujardin. Dans le huitième long-métrage de Quentin Dupieux (1h17), il filme les montagnes des Pyrénées avec un Camescope numérique, dialogue avec son blouson, et, dans un village perdu, fait la connaissance d’une serveuse jouée par Adèle Haenel, qui rêve d’être monteuse pour le cinéma.
Faut-il voir dans ce film singulier une version montagnarde de “C’est arrivé près de chez vous” ? Son humour et grinçant, mais aussi son inquiétante étrangeté font-ils mouche ? Est-ce un bijou surréaliste… ou un nanar qui n’a rien à dire sur rien ?
Grégoire Leménager, de “l’Obs”, et Jean-Christophe Buisson, du “Figaro-Magazine”, ne sont pas du tout d’accord.

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