Le 17 juin 2016, le SIEL, Riposte laïque et Résistance républicaine ont organisé une manifestation d’hommage aux policiers assassinés – et de protestation contre l’islamisation de la France. Nous reproduisons ci-dessous l’intervention de Jean-Yves Le Gallou.
Ecoutons Péguy : « Il est difficile de dire ce que l’on voit mais il est encore plus difficile de voir ce que l’on voit. »
Eh bien, voyons ce que l’on voit : de même qu’il y des pommes sous les pommiers, les Africains africanisent et les musulmans islamisent.
Et entre le musulman modéré (ce qui est un oxymore) et le terroriste islamique il n’y a pas de solution de continuité. Le vivier des terroristes islamiques se trouve dans les banlieues de l’immigration et les prisons de la République.
Alors que faut-il faire ? Nommer les choses, tarir le problème à la source, permettre aux nôtres de se défendre. Voici 10 points pour notre survie en tant que peuple et en tant que civilisation.
Dire les choses, nommer l’ennemi. L’ennemi ce n’est pas le terrorisme, l’ennemi c’est le terrorisme islamiste ; le danger c’est l’islam conquérant.
Appliquons le principe de précaution : arrêtons toute immigration nouvelle, sous quelque prétexte que ce soit, en provenance des pays musulmans
Expulsons les étrangers délinquants à l’issue de leur peine.
Appliquons la déchéance de la nationalité aux binationaux délinquants et aux binationaux radicalisés manifestant leur hostilité aux règles françaises et à la civilisation européenne et expulsons-les.
Et en attendant que ces mesures prennent effet, réarmons les nôtres : moralement, juridiquement et pratiquement.
Réarmons-nous moralement. Retrouvons la fierté de notre héritage et abrogeons les lois liberticides, dites « antiracistes », responsables de l’arrogance conquérante des minorités.
Réarmons-nous judiciairement en rendant à nouveau possible la légitime défense aujourd’hui rendue impraticable par des jurisprudences irresponsables.
Réarmons-nous pratiquement en libéralisant la détention et le port d’armes pour nos compatriotes – en commençant par ceux qui exercent les professions les plus menacées : policiers et gendarmes mais aussi membres de leur famille, les agents de la pénitentiaire et demain les enseignants et les soignants.
Francisons les compagnies privées de sécurité. Il y a quarante ans, il y avait 100.000 policiers et 100.000 gendarmes. L’immigration massive a débouché sur une explosion de la délinquance. Mais il y a toujours 100.000 policiers et 100.000 gendarmes mais, en plus, 200 à 300.000 agents de sécurité privée. Or dans les aéroports, les musées, les centres commerciaux des grandes métropoles, ces agents sont à 80 ou 90% issus des minorités le plus souvent musulmanes. Arrêtons cette folie ! Rétablissons un minimum d’équilibre en francisant et en européanisant leur recrutement.
Adoptons ces mesures par référendum pour contourner la dictature des médias et des juges.
L’empire romain est mort d’avoir confié la défense de ses frontières extérieures aux Barbares : reprenons le contrôle de notre sécurité et de nos frontières intérieures avant qu’il ne soit trop tard.