Socialistes espagnols : à gauche toute

Coup de barre à gauche chez les socialistes espagnols. Dimanche, l’ex-secrétaire général du PSOE a retrouvé son poste, selon des résultats partiels à l’issue d’un vote interne.
Pedro Sanchez, aurait obtenu 49,7% des voix. Le député madrilène avait été évincé de la direction du parti en 2016 : en pleine crise politique espagnole, il s’était opposé aux caciques du parti qui avaient permis au conservateur Mariano Rajoy de “continuer à diriger le pays”.

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  • Chevalier- de Moncaire , 22 mai 2017 @ 18 h 32 min

    Du à un complexe d’antifranquisme qui traine depuis la mort du “caudillo” en 1975 le populisme de la gauche et de l’extrême gauche a grande audience au sud des Pyrénnées. La victoire du Pedro Sanchez aux primaires du Parti Socialiste Ouvrier Espagnol avale cr populisme. Il est nullememt un bon point pour la survie de la Démocratie parlementaire en Espagne. Sa victoire est tout simplement un retour à l’Espagne de la vengeance, à celle de la guerre civile

  • Jean NOGUES , 23 mai 2017 @ 19 h 23 min

    Je ne suis pas tellement surpris. Je dis toujours à mes amis brûlant d’envie de partir de notre pauvre France de se méfier de l’Espagne, ce n’est pas un pays sûr.

    Qu’ils se renseignent de façon approfondie, la gauche espagnole extrême est l’une des plus venimeuses du monde ; les atrocités de la Guerre d’Espagne qui a porté Franco au pouvoir sont hallucinantes, on peut sans risque les placer en tête de toutes les atrocités commises au nom des idéologies de gauche. Les anarchistes espagnols, entre autres, ont inventé des tortures apocalyptiques, dont personne sur le présent site n’a idée !

    Il a été rapporté par ailleurs que durant cette terrible guerre civile espagnole (à laquelle Blum, prudemment, n’a pas voulu apporter d’aide officielle, car il était fort bien informé sur les réalités que je rappelle ici), de nombreuses scènes de cannibalisme non imputables à de la famine se sont produites, par pure cruauté, par sadisme extrême. Les morceaux de prédilection étaient les fesses.

    Moi qui aime beaucoup l’Espagne, notamment son pays basque, ses montagnes Cantabriques, ses Asturies, sa magnifique langue que je parle et j’écris couramment, son pays de Vénasque, sa prodigieuse vallée de Nerin, son envers du Mont Perdu et sa Maladettta qui culmine au pic d’Aneto, je connais trop bien son histoire récente pour prendre le risque de m’y exiler si ma pauvre France se désagrège.

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