1/ L’immigration de masse est une atteinte grave à la liberté des citoyens.
Les sondages montrent que 70% des Français trouvent qu’il y a trop d’immigrés. Ils n’ont jamais été consultés sur l’accueil de millions d’étrangers (à la différence de la Suisse où les citoyens peuvent déclencher des référendums sur l’immigration). L’économiste Hans Hermann Hoppe explique que si un étranger n’est pas invité dans le pays par un contrat de travail signé par un citoyen, l’immigré est un installé de force : personne n’a demandé sa venue et il s’impose. L’Etat est complice de ce fait en laissant les immigrés envahir le domaine public. Comme l’a montré le prix Nobel Gary Becker, l’immigré qui s’installe bénéficie immédiatement de tout le capital social du pays sans avoir contribué à le créer. Il profite du métro, des hôpitaux, des monuments culturels qui ont été financés par des générations de Français. C’est pourquoi Gary Becker n’accepte que les immigrés qui payeraient une taxe pour rétablir l’égalité et supprimer le privilège accordé aux immigrés.
La plupart du temps, on est en présence d’une immigration imposée contre la volonté de la majorité démocratique. L’immigration est ainsi une atteinte aux libertés du citoyen qui va voir son cadre de vie changer alors qu’il n’a rien demandé. Les sociologues appellent cette situation « l’insécurité culturelle » (se sentir menacé par une invasion de personnes de culture différente qui imposent leur culture). La moindre des choses serait de consulter les Français par référendum pour savoir s’ils acceptent l’immigration ou non et gouverner en conséquence, démocratiquement.
2/ Il n’y a pas d’égalité des citoyens devant l’immigration.
Les bénéficiaires de la mondialisation se réclament des droits de l’homme pour accueillir une immigration illimitée. Mais ils se gardent bien de la côtoyer : ce sont des hypocrites et des tartuffes. Les sociologues ont démasqué le comportement d’évitement des bourgeois mondialistes : le prix du foncier fait que les immigrés ne peuvent pas vivre là où les bourgeois cosmopolites habitent, car c’est beaucoup trop cher : cette ségrégation ne profite qu’aux riches. Ce sont les pauvres, jeunes, chômeurs ou personnes âgées à qui on impose la cohabitation avec les immigrés. De plus, les bourgeois bénéficiaires de la mondialisation envoient leurs enfants dans des écoles privées où l’immigration n’est pas un problème. Les écoles publiques dont le niveau baisse à cause du trop grand nombre d’étrangers parlant mal français sont réservées aux « sans dents » comme disait le président Hollande. Les cosmopolites riches échappent donc à la cohabitation avec les immigrés pour eux et leurs enfants et imposent celles-ci aux Français les plus modestes. L’hypocrisie est totale !
3/ La fraternité est incompatible avec la « diversité » migratoire.
Le sociologue américain Robert Putnam a montré par des études scientifiques sur les quartiers de villes américaines que la confiance envers les autres était plus forte lorsque la culture est commune. Plus il y a de diversité ethnique, plus le degré de confiance entre voisins diminue. Il faut donc choisir entre diversité et fraternité. Dans les pays très homogènes, comme l’Islande ou le Japon, la confiance est très forte entre concitoyens. On laisse les portes des maisons et des voitures ouvertes ! Ce n’est pas le cas dans les quartiers où cohabitent des peuples différents. On sait très bien en France que les chinois se méfient des maghrébins ou des gens du voyage. Ces derniers n’ont pas les mêmes mœurs et le même goût du travail à part des exceptions individuelles. La fraternité n’existe qu’entre les frères d’une même culture et de mêmes mœurs. Peut-il y avoir fraternité dans un quartier où les femmes doivent mettre une burka et sont interdites d’aller au café parmi les hommes ? Les bénéficiaires du système, la bourgeoisie mondialiste, vivent dans leurs quartiers riches réservés et leurs écoles privées et ont moins ce genre de difficulté : la délinquance les atteint assez peu. Ils prônent la fraternité mais celle-ci n’existe que dans leurs milieux choisis avec soin où ils peuvent diner, faire du sport avec ceux qui leur ressemblent. Car toutes les discriminations sont interdites sauf la discrimination par l’argent.
On a donc deux classes sociales qui s’affrontent. Les bourgeois cosmopolites acceptent une immigration dont ils se protègent à titre privé et donnent des leçons de générosité antiraciste au petit peuple. L’autre classe, celle des pauvres, des jeunes d’origine modeste ou des personnes âgées doit subir l’immigration contre son gré (viol de la liberté), doit se résigner à accepter la cohabitation dont les plus riches sont exempts (viol de l’égalité) et doit subir l’insécurité dans son environnement immédiat (pas de fraternité). L’idéologie médiatique condamne ceux qui souffrent accusés d’être fermés, archaïques et xénophobes et approuvent les classes privilégiées censées être ouvertes et modernes. On est en pleine hypocrisie. Les privilégiés imposent leur vision du monde cosmopolite car elle les favorise, évitent les inconvénients de l’immigration par leurs privilèges financiers de classe et maintiennent un minimum de fraternité dans des cercles fermés loin des zones de non droit.
4/ La paix civile menacée.
La paix n’est pas une valeur citée dans la devise de la République car elle allait de soi et était un préalable à tout le reste. Mais le système de l’immigration de masse crée des menaces réelles sur le maintien de la paix républicaine. Un pays où l’immigration s’impose aux citoyens sans qu’ils aient la possibilité de dire non est un pays qui méprise les libertés citoyennes. Un pays où ceux qui prônent l’immigration vivent loin de celle-ci grâce aux privilèges de l’argent qui protègent leur logement, leurs écoles et leurs clubs de loisirs est un pays où le discours officiel est hypocrite et cherche à masquer les inégalités réelles. Un pays où l’immigration crée une insécurité culturelle, physique et sociale, doit renoncer à toute fraternité quotidienne. Il faut des milices privées, des codes aux portes d’entrée et verrouiller les voitures alors que les frontières sont ouvertes contre tout bon sens.
Donc, l’immigration de masse qui nous est imposée par l’idéologie des oligarques au pouvoir détruit peu à peu les valeurs républicaines du pays : la liberté, l’égalité et la fraternité sont bafouées et ce fait social est caché par l’information officielle qui est aux mains des tartuffes. Seule la démocratie directe à la Suisse peut permettre au peuple de défendre sa vie quotidienne et de retrouver les valeurs historiques de la France.
Ivan Blot- Polémia