J’ai un malaise quand je vois dans la rue tous ces individus masqués, le visage indéfinissable. Et lorsque je croise, sur la plage, quelques exemplaires de ces hommes, de ces femmes et pire encore, de ces enfants qui ont conservé leur masque, je ne peux m’empêcher de leur jeter une regard de pitié. Regard qu’ils me rendent bien en considérant que je suis un danger public.
Telle est l’œuvre de la propagande, digne de l’Union Soviétique, du Ministère de la Santé et … des Solidarités ( lesquelles svp ?), et des médias. Dans certaines émissions qui se déroulent dans des studios parfaitement aérés, on devine des invités fantômes. A se demander si demain, lorsque ce virus ne sera plus qu’un mauvais souvenir, ces masqués ne le resteront pas, ayant pris goût à la respiration de leur propre haleine.
Respirer l’air de la mer ou des bois est il donc devenu dangereux ? Une fois de plus, c ‘est de la bouche du Professeur Raoult, le charlatan, l’ennemi numéro un d’Olivier Véran, que m’est venu le réconfort. Il l’a dit lors d’un entretien avec l’excellent média qu’est devenu le France-Soir en ligne.
Je vous cite, in extenso, ce qu’il a déclaré sur le port du masque réputé obligatoire partout en France ! Y compris dans les villages les plus reculés. Sur les effets psychologiques et physiologiques du masque, voici la pensée scientifique de ce savant.
« La seule évidence que l’on puisse avoir sur l’efficacité du masque, c ‘est, à l’inverse de ce que l’on fait, de le porter chez soi, dans les maisons lorsqu’il y a quelqu’un qui est suspect ou qui est positif. Cela va beaucoup simplifier la vie parce que, moi, je crois à la différence de ce qui a été mis en place. Je crois beaucoup à la technologie. Avec les tests PCR qui donnent leur résultat en 2 minutes, on sait qui est infecté. Et dans ce cas, il faut le sortir de sa famille, le sortir de l’endroit où il se trouve pour le mettre, masqué, dans un endroit où il ne pourra pas contaminer les autres. C’est aussi simple que ça. De telles précautions ne sont pas encore bien prises. On ne va pas changer les choses en mettant un masque partout. Il est plus important de se laver les mains, de porter des gants que l’on désinfectera à l’alcool avant de les enlever. On n’attrape pas le virus dans la rue, dans le vent, à l’air livre. Il est prouvé que ce sont dans les familles où sont contaminés les malades ».
Voilà qui est clair. Alors, Français, Françaises sentez vous vous plus libre après ce verdict ? Quand recevrons nous l’ordre de laisser nos masques à la maison mais n’oubliez pas, par contre, de le mettre dans les magasins.
Cela peut peut être venir d’une décision judiciaire, tel que ce fut le cas lundi dernier , du Tribunal Administratif de Toulouse qui a laissé deux jours à la préfète de l’Aveyron pour modifier son arrêté contesté, avant qu’il ne soit suspendu. Reproche lui a été fait d’avoir généralisé le port du masque sur les voies et lieux publics de tout le département sans nécessité sanitaire.. La fonctionnaire après avoir assoupli son arrêté de masque obligatoire a ainsi déclaré qu’il serait finalement rendu obligatoire seulement dans les lieux publics jusqu’au 10 mars dans certaines communes, et non sur tout le territoire, précise Centre Presse Aveyron.
Alors, Préfets de France et maires, pourquoi ne pas suivre cette territorialisation selon l’activité de ce virus?
Floris de Bonneville