Un village basque regrette ses clandestins…

Ils en redemandent ! A l’initiative de la mairie, le village de Saint-Etienne-de-Baïgorry en plein Pays Basque a accueilli une quarantaine de clandestins venus de Calais en novembre dernier. Ils étaient accueillis dans les locaux d’un village vacances du VVF. La structure touristique et la préfecture avaient donné leur accord pour une durée de trois mois. Ils ont donc dû quitter l’endroit mardi dernier. Depuis, le village se plaint du vide laissé par le départ de ces clandestins…

Related Articles

13 Comments

Avarage Rating:
  • 0 / 10
  • Emotion , 22 février 2016 @ 16 h 30 min

    Superbe votre réponse sauf qu’il s’agit d’une fausse information, d’une désinformation comme les merdias de gauche savent si bien le faire depuis 2012. Donc des migrants de Calais ils ne les veulent pas et personne ne les veut. Normal

  • Troy , 22 février 2016 @ 16 h 59 min

    Moi j’attends de voir ce qui se passera lorsqu’un de ces “réfugiés” qui seront répartis dans les petits villages de France, va violer une gamine, voler les commerçants, brûler des voitures, tuer des animaux, etc. J’espère que les victimes seront parmi ceux qui regrettent cette racaille.

  • KAMISAN , 22 février 2016 @ 18 h 28 min

    Ils ne regretteraient pas surtout les 25 premiers cm ?

  • moimoi , 23 février 2016 @ 7 h 43 min

    Propagande! Les mass medias sont contrôlées par 5 ou 6 bonshommes. Non, on n’a pas besoin de ces gens qui pour la plupart ont un accoutrement bizarre.
    Prenons des Chrétiens, mais pas ces allogènes qui nous détestent avant même de nous connaître. Et qui ne respectent pas les femmes.

  • vikinglenormand , 23 février 2016 @ 10 h 49 min

    A regarder le village on ne voit que 4 personnes on sont les autres peut ètre enfermé ou alors il n’y à que 4 personnes au village donc un enfumage complet,comme ils ne sont que 4 pourquoi ne pas les avoir suivi.

  • C.B. , 23 février 2016 @ 14 h 41 min

    Dans l’article en lien:
    “La veille de son départ, comme une piqûre de rappel, un réfugié kurde a appris la mort dans un bombardement de son frère, de sa mère et de son fils. ”
    Réfugié? pourquoi pas “demandeur d’asile”, pendant qu’on y est…
    Réfugié tout seul, en laissant “au pays”, je cite l’article “son frère, sa mère et son fils”, désormais morts. Tiens, il a un fils … donc probablement que ce fils a une mère, elle aussi sagement laissée “au pays”.
    Il ne lui serait pas venu à l’idée, plutôt que de fuir, de retrousser ses manches et de se battre?

Comments are closed.