De retour de sa villégiature à Soissons où il était allé rendre visite à des enfants maltraités,
il n’y a plus que des enfants pour ne pas le huer…
Le Macronix s’arrrêta par hasard dans un restaurant Courtepaille.
Sachant que le moindre déplacement présidentiel est « millimétré », vous aurez compris qu’une fois de plus, il se fout de la gueule des Français.
Oui! Vous avez bien lu: j’ai écrit il se fout de la gueule des Français!
Comme il agit ainsi depuis que je le connais: quand Hollandes était allé rechercher chez Rothschild ce petit coq arrogant pour le promouvoir ministre et traître en chef.
Donc, le Macron, je le connais par coeur. Je n’ai raté aucune de ses interventions et Délit d’images se flatte de posséder un extraordinaire florilège de ses « bon mots » et autres déliriums pas très minces.
Retournons à Mareuil les Meaux. Il n’y était bien sûr pas allé tout seul, le petit monarque républicain ne se déplaçant qu’avec son cortège de sbires diversifiés.
Et comme par hasard… la photographe officielle du palais, Soazig de la Moissonnière, était du périple, laquelle, Manu aussitôt assis et souriantissime, s’empressa de poster sur les réseaux sociaux le cliché du héros, ravi d’enfin ne plus subir la cuisine du chef de l’Elysée, servie dans des assiettes à 500 euros chacune.
A-t-il commandé le menu Paillou ou le Grillardin? BFMTV, qui reprit immédiatement cette information probablement majeure, ne le précisa point.
Et omit le seul commentaire qui s’imposait quant au mépris du Manu.
Si pour l’heure, il n’insulte plus le peuple, se contentant de le balader…
Désormais, il la joue peuple pour faire croire en sa proximité inopinée avec les « ceux qui ne sont rien », ces analphabètes qui picolent, ne travaillent pas sufisamment pour s’acheter un costard, n’ont même pas l’idée de traverser la rue du faubourg Saint-Honoré pour trouver un job de plongeur…
Manu ne fait pas peuple, il n’en vient pas et ne tient pas du tout à le fréquenter: ses amis milliardaires et ses habitudes de luxe le prouvent.
En tous cas, il fait très malappris, outre ses insultes intolérables et à répétition, l’on ne peut oublier ses multiples comportements indécents et très malvenus, surtout lorsqu’on joue au chef d’état.
Il a l’arrogance du fric pour le fric, du fric ostentatoire et l’inconscience ridicule de ceux qui se croient tout permis.
Nous ne savons si sa virée au Courtepaille de Mareuil les Meaux propulsera ce restaurant en lieu de pèlerinage…
Faudrait-il encore que la France qui souffre, peinant à remplir son réfrigérateur, ait les moyens de diner à quatre ou six un soir de fête, même dans un Courtepaille.
Manu s’en moque: vous l’entretenez totalement et somptueusement.
Au détriment des Français, il a déjà rendu tant de services à d’autres puissants que, même en retraite de l’Elysée, il retrouvera aussitôt des émoluments plus fastueux encore.
Et pour l’anecdote… le réseau Courtepaille appartient au groupe Accor et qui est directeur de la stratégie internationale du goupe? Nicolas Sarkozy… celui qui subitement se met à soutenir Manu, alors qu’en juillet, il avait dit que ça finirait très mal…
En ce 21 décembre, 2018, Manu aura 41 ans. Pour célébrer cet événement, le bon populo de France pourrait lui offrir un déjeuner au Class’Croute près du château de Versailles,
il paraît que le 22 plein de Gilets jaunes devraient l’y rejoindre.
Mitrophane Crapoussin
