En France le pouvoir est aux associations communautaires. Elles ont l’argent généreusement donné par les gouvernants qui sous-prétexte d’une culpabilité qui n’a pas lieu d’être les abreuves par millions de l’argent des français. Elles ont l’accès médiatique et le soutien des courroies de transmissions artistiques et peuvent abreuver les masses de leurs idéologies néfastes. Elles ne sont pas critiquables, n’ont pas de défaut et sont le summum du bien, contrevenir à cette règle est risqué d’être voué aux gémonies comme étant le mal absolu.
Voilà que maintenant ces associations auront accès aux entreprises ainsi « nous découvrons le bulletin Flashcom de la direction de la sûreté de la SNCF daté du 2 décembre nous apprenant la signature d’une convention par le président de SOS Racisme Dominique Sopo et le secrétaire général de la SNCF, Stéphane Volant. »
« Selon les termes de cette convention, SOS Racisme, chantre de la « république métissée », interviendra dorénavant dans les journées-formation des agents de la SNCF afin d’aborder les questions de « déconstruction des préjugés » et le traitement des actes de racisme ou de discrimination. »
A quoi sert de former des contrôleurs de trains sur la « déconstruction des préjugés » ? On peut se poser la question. Un contrôleur de train, son métier est de contrôler tous les billets de trains quelque soit l’origine de la personne. Ou alors la SNCF sous la pression de SOS Racisme a décidé de changer les règles. Forcément toutes ces formations ne seront pas gratuites. Elles seront payées par la SNCF mais surtout par l’ensemble de ses clients. Ainsi, une partie du billet de train servira à enrichir encore plus une association qui a fait tant de mal à notre pays. Mais pour nos dirigeants quand on aime on ne compte pas.