Suite aux récents attentats qui ont frappé l’Europe, et l’Espagne en particulier mais également la Finlande et la Russie, des manifestations « anti-islamistes » se multiplient un peu partout.
Les Arabes, inutile de le cacher, sont de plus en plus détestés dans toute l’Europe.
Et ce geste « V comme victoire » juste après l’attentat de Barcelone (notre photo) n’est-il pas davantage apprécié par la communauté musulmane que certains rassemblements solidaires de femmes voilées ?
En Allemagne c’est à l’intérieur même de l’armée qu’a été démantelé (pour le moment) un groupe de militaires décidé à rendre coup pour coup aux islamistes.
À Barcelone qui, rappelons-le, avait vu des milliers de manifestants du parti « Podemos » défiler dans les rues aux cris de « Laissez entrer les migrants ». Ils souhaitaient un accueil plus large, plus bienveillant.
Après les attentats de ces dernières quarante-huit heures, le parti « Podemos » s’est fait bien discret depuis quelques heures et nous pensons qu’il le restera durant quelque temps.
Mais c’est en Corse, et ce ne sont pas les médias ni la télé française qui vous en informeront, que les manifestations anti-Arabes, dans les cités habitées en majorité par les musulmans, deviennent quotidiennes aux cris de « Arabes dehors ! ».
La première exigence des « indépendantistes » Corse n’est plus le départ des « colonialistes français » mais à présent, celui des Arabes.
Leur priorité est « qu’ils quittent l’île ».
Après les graves incidents qui se sont déroulés, l’an dernier, sur une plage de Sisco, suite à une provocation musulmane (attaque de lieu de prières, des voitures et des « Coran » brûlés, etc.).
Le mot d’ordre en Corse est devenu :
- Plus de burka
- plus de halal
- plus de prières dans les rues
- plus de gangs arabes distributeurs de stupéfiants.
- Pas d’attentats.
S’il existe des cellules dormantes sur l’île, elles doivent dormir profondément et elles n’ont pas intérêt à se réveiller.
Les Corses, qui s’estiment déjà sous occupation française refusent de subir la terreur islamiste et ils le font savoir avec force.
Les « Pieds Noirs » savent quelles peuvent être les réactions des Corses, quand ils supposent qu’on veut leur imposer une présence « étrangère ».
Ce fut le cas notamment dans la région d’Aléria, après 1962. Ils ont subi la colère corse avant que les insulaires comprennent que « ces nouveaux arrivants » défendaient les valeurs de l’île avant celles des métropolitains.
Ils sont devenus corses, comme ils sont devenus espagnols en Espagne.
Ils se sont assimilés parfaitement dans ces provinces où ils ont été compris et bien accueillis.
Ce qui n’a pas été le cas dans certaines régions métropolitaines, même jusqu’à l’heure présente.
Les Corses affirment avec force qu’ils ne sont pas racistes et qu’ils sont même particulièrement hospitaliers mais uniquement envers les étrangers qui respectent l’ordre public et n’imposent pas leur mœurs et leurs coutumes.
S’ils exigent le départ des Arabes c’est justement à cause de leur racisme envers les Corses, en tentant de semer la haine et la peur dans l’île.
Jusqu’à aujourd’hui ils ont su préserver leur identité et s’il est un lieu en France où les islamistes hésiteront à provoquer des réactions incontrôlées et dangereuses, c’est bien en Corse !
Sur l’île de beauté ils ne peuvent pas s’enfuir et ils ont peur à leur tour, ce qui est loin d’être le cas en métropole !
Manuel Gomez – Riposte laïque
(Source : Tamurt-Kabylie du 16 août 2017)