En vue d’une réconciliation nationale, l’actuel président de l’Assemblée nationale ivoirienne et ex-chef de la rébellion, Guillaume Soro, a publiquement demandé, mercredi 20 juillet, “pardon aux Ivoiriens” ainsi qu’à son principal adversaire du passé, l’ex-président Laurent Gbagbo, écroué depuis 2011 à La Haye où il est jugé par la Cour pénale internationale (CPI) :