Attentat sur les Champs-Élysées… quelques mystères nous sont dévoilés par le quotidien argentin Infobae-Información.
Le terroriste aurait lancé sa voiture contre le car de gendarmerie.
Telle que la voiture nous est montrée sur ces photos, il semble qu’il n’y a eu aucun impact sur ce véhicule. L’avant est parfaitement « entier ». Et l’arrière du véhicule ainsi que les portières ne recèlent aucune marque de choc.
A aucun moment nous n’avons vu, sur les écrans, le car de police qui a été accidenté qui prouverait que le choc a bien eu lieu.
A moins que ce ne fût qu’une tentative de la part du terroriste, déjouée par le conducteur du car en voyant ce véhicule foncer sur eux, on ne sait pas très bien comment s’est produit cet accident.
Néanmoins, la réactivité des gendarmes a été efficace.
Comme le feu avait pris dans l’habitacle du véhicule du terroriste (que vraisemblablement, il a déclenché), laissant dégager cette fumée jaunâtre que l’on nous a montrée, ils se sont empressés de sortir le terroriste-conducteur de la voiture.
Mais le terroriste était déjà mort quand ils l’ont laissé sur le trottoir.
Restait à savoir si le bonhomme ne portait pas une bombe sur lui qui aurait pu encore exploser.
Alors, un gendarme a dû être désigné pour le déshabiller, à même le trottoir, et c’est sans ménagement qu’il lui a arraché ses vêtements, le laissant en slip, comme on peut le voir sur la vidéo du site d’Infobae.
Toujours selon la même source, la zone de l’accident se situe à proximité du Palais de l’Élysée où le président devait recevoir, dans les heures suivantes, le roi Abdallah de Jordanie.
L’attentat était-il réellement dirigé contre les forces de police ? Était-ce la visite du roi de Jordanie qui était le but du terroriste ? On ne le saura pas puisqu’il est mort.
Une chose est certaine, ces musulmans religieux agissent au nom de leur dieu comme le prône le Coran. Cela n’a rien à voir avec la Syrie, le Mali ou l’Irak mais bien parce qu’ils entendent faire la guerre à tous les infidèles.
Dès lors que nous savons quel est le but de ces gens-là, de quel droit les autorités françaises les laissent-elles en liberté sachant qu’ils bénéficient d’une multitude de complices et qu’ils ne pourront pas être surveillés efficacement ?
Tant que la France continuera d’user de ses règles, de ses lois, de sa justice pour répondre aux terroristes, nous n’en verrons jamais la fin.
A ennemi d’exception, appliquons des lois d’exception.
Ne dit-on pas que les lois sont faites pour être contournées ?
Eh bien, qu’ils commencent par tous ces fichés S, suspectés d’appartenir au terrorisme musulman. Et si les bien-pensants trouvent que c’est une mesure indigne d’une démocratie, faites-les vivre un petit mois seulement à leur contact, sans aller bien loin, dans une cité de France, quelle que soit la ville, il y en a partout.
Toujours est-il que celui-là de terroriste n’arrivera pas habillé devant ses vierges. Il a loupé son rendez-vous.
Rotrude Martel – Riposte laïque