Le rappeur Nick Conrad, auteur du scandaleux « Pendez les Blancs », avait curieusement bénéficié d’une large indulgence de la part des juges puisque, le 19 mars 2019, il n’avait été condamné qu’à une amende de 5000 €, mais avec sursis !
Son clip (violence des images et des paroles) diffusé en fin d’année 2018 affichait pourtant sans ambiguïté le caractère raciste du message formulé. Conforté dans sa haine de l’homme blanc et de la France par cette impunité coupable dont il jouit, il récidive aujourd’hui dans le même registre. En effet, dans un nouveau clip « Doux pays », il tient des propos obscènes contre le pays dans lequel il vit et déclare qu’il « baise et brûle la France » tout en étranglant une femme blanche.
Voilà où ont mené plus de 30 ans de communautarisme facilité par nos élites politiques inconscientes. Combien de temps encore nos dirigeants politiques vont-ils laisser faire cette ignominie ? Le temps n’est-il pas à présent venu pour dire : ça suffit ! ?
Rappelons que cet « artiste » possède la double nationalité. Il est, en effet, français et camerounais.
Au-delà du fait qu’il n’y a aucune excuse pour ses propos ignobles et qu’une tolérance zéro doit dorénavant s’appliquer à ce qui n’est rien d’autre qu’une incitation à la haine, de surcroît une haine raciste à l’égard des Blancs, et qu’une sanction lourde doit cette fois-ci lui être infligée, il serait temps d’envisager, parallèlement à la sanction pénale, une autre sanction, la déchéance de la nationalité française. Car « la déchéance de la nationalité française est la sanction qui consiste à retirer à un individu qui l’avait acquise, la nationalité française, en raison de son indignité ou de son manque de loyalisme » (Paul Lagarde, juriste). Indignité et manque de loyalisme sont bien des accusations qui peuvent être portées contre Nick Conrad.
Par ailleurs, l’article 23-7 du code civil français prévoit que « le Français qui se comporte en fait comme le national d’un pays étranger peut, s’il a la nationalité de ce pays, être déclaré par décret, après avis conforme du Conseil d’Etat, avoir perdu la qualité de Français. Cet article peut s’appliquer à ce contempteur haineux et hostile à la France, au moins pour défaut de loyauté. Au besoin, il appartient aux représentants de la nation d’amender la loi pour faciliter cette déchéance de la nationalité française qui devrait d’ailleurs s’accompagner d’une décision d’expulsion du territoire français.
Il serait temps d’engager ce processus pour tous ceux qui crachent, impunément jusqu’à aujourd’hui, sur la France.