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APRÈS DES ANNÉES DE MILITANTISME POLITIQUE, PASCALE CLARK A ANNONCÉ, SUR TWITTER, SON DÉPART DE FRANCE INTER.
« Quand un cycle est terminé, il faut s’en rendre compte. La fin de l’histoire a eu lieu l’an dernier, et cette année-ci a été une année de transition, à tous points de vue. C’était un peu spécial, honnêtement », a-t-elle expliqué à Télérama. De 2011 à 2013, elle assurait sur les ondes de France Inter l’interview de la matinale, à 7h50.
Elle avait ensuite présentée « A’live » jusqu’en 2015, une émission dont on ne retiendra que la polémique entourant le non-renouvellement de sa carte de presse. En effet, à cette époque, la CCIJP avait considéré que cette émission « n’était pas de nature journalistique, contrairement à “Comme on nous parle” [la précédente] ». Depuis, Clark présentait « Making of » le samedi à 22 heures, un programme réalisé « sans moyens ».
La journaliste se prépare désormais à « de nouvelles aventures ». Avec Candice Marchal et d’autres journalistes radio, elle mijote un projet numérique, BoxSons, dont le but est de « traiter l’actualité par le son ».
« Nous voulons écouter ce pays, qui n’est pas comme on nous dit qu’il est. Nous voulons donner la parole aux gens autrement que dans des moments hystériques, où ils s’expriment, peut-être, mais ne parlent pas vraiment d’eux », a-t-elle annoncé. Un comble pour une journaliste qui a toujours fait preuve au pire d’hystérie, au mieux de mépris envers toute personnalité de droite ou d’« extrême-droite » qu’elle interrogeait.
Marine Le Pen, Louis Alliot ou encore Robert Ménard en ont d’ailleurs sans doute gardé un souvenir amer. Henri Guaino également, qui avait déclaré, le 24 avril 2012 : « Je me suis déjà farci madame Clark avec son interview… La façon dont elle fait ses interviews … elle dit qu’elle est journaliste, non, elle est militante politique, elle devrait s’inscrire dans un parti et aller faire des meetings. »
Malheureusement pour le journalisme et la déontologie, Madame Clark n’est pas prête d’arrêter le métier…