Ce sont les arrières petit-fils de Bernanos qui voulaient cramer du flic!

 

Horresco referens: un Noir recevant des coups de fouet donnés par un Blanc. Ce Noir aurait pu brûler vif dans la voiture incendiée par des Blancs masqués. Mais l’horreur est atténuée par le fait que le Noir porte un uniforme de policier et le Blanc est un antifa. Les médias mainstream étaient embarrassés. Comment présenter l’information?

Impossible de se lancer dans «une lâche agression raciste contre un policier noir et une jeune femme terrorisée par la violence des antifas». Ils ont alors choisi le mot tellement apolitique de «casseurs». Et avec un peu de chance, ces «poulets rôtis» -comme le proclamait le texte sur le morceau de carton posé devant la voiture en flamme- étaient peut-être d’extrême droite.

Quelques heures plus tard, quelques-uns des agresseurs étaient interpellés. Un nom sortait: Antonin Bernanos. Un ami de Clément Méric, ce jeune presque gentil que d’affreux extrémistes de droite auraient assassiné un soir de juin 2013. Comme lui, Antonin est membre du collectif Action antifasciste Paris-Banlieue.

Une ombre passe. Les antifas ne seraient donc pas tous des anges?

Le JDD le décrit comme un «fils de bonne famille, domicilié dans le quartier de Montparnasse et travaillant à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine)». Un exemplaire normé de l’extrême-gauche. Comme Méric.

L’expression «fils de bonne famille» laisse supposer que le jeune français d’un milieu ouvrier qui vote Front national est de « mauvaise famille ».

Bernanos. Le nom titille la mémoire. Bernanos comme l’auteur de Sous le soleil de Satan et d’un Journal d’un curé de campagne? Comme le militant de l’Action française, le fervent catholique, l’admirateur du Général de Gaulle?

Antonin en serait l’arrière-petit-fils.

Une autre ombre passe.

Voilà où nous en sommes. Les prétendus prolétaires en révolte contre le système vivent dans les beaux quartiers, dans des familles bourgeoises et sont éduqués à gauche par des parents bobos qui préfèrent l’immigré clandestin au Français de souche.

Antonin Bernanos et son frangin, arrêté en même temps que lui, étaient connus des services de police pour leur violence. Ils auraient dû être interdits de manifestation, mais notre justice toujours aussi «mur des cons» en a décidé autrement. «Va mon cher Antonin, va réduire du flic en bouillie», lui a susurré à l’oreille le tribunal administratif en considérant le préfet de police ne produisait «aucun élément permettant de retenir que le suspect a personnellement participé à ces dégradations et violences »..

Une troisième ombre s’esquive.

Les médias ne sont bien gardés de faire le point sur la situation. Ils se sont toujours rangés du côté des antifas, ces fascistes rouges cogneurs d’identitaires, massacreurs de partisans de la droite nationale.

N’est-ce pas eux qui, il a quelques jours, à Paris, ont agressé le chanteur de droite Goldofaf à coups de marteau et de matraque?

Une armée d’ombres claudique: Mélenchon soutien indéfectible des antifas, Valls qui pleurait la mort de Méric, Nathalie Kosciusko-Morize qui s’était rendue à l’hommage rendu à ce merveilleux garçon nervi de la gauche contre les familles de la Manif pour tous.

Quant à l’admirateur des fessées érotiques, Cazeneuve, il n’a pas un instant songé à demander la dissolution de la milice antifa.

Marcus Graven – Riposte laïque

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