M.MACRON AYEZ LE COURAGE DE NOUS LIBERER !

Au risque de dérailler ou de passer pour un complotiste, je persiste et signe : ce gouvernement est incapable de faire face correctement à cette épidémie qui pousse l’humanité à s’isoler dans la peur.
Emmanuel Macron doit décider entre deux stratégies : sauver la France d’une catastrophe sociale, économique, mentale, ou céder à un bataillon de médecins dont le combat est de sauvegarder la santé au détriment de tout ce qui fait de l’homme un être vivant différent des autres. Son Premier Ministre vient de nous infliger un nouveau pensum, sans réfléchir aux conséquences de plus en plus dramatiques.

Aura-t-il le courage d’être le premier dirigeant de la planète à déclarer la guerre au virus en le laissant progresser et permettre en même temps à ses citoyens à retrouver la vie ? Prendra-til enfin en compte que le virus est toujours actif malgré un an de restrictions, malgré de multiples essais de confinement, de couvre feu, de week-ends emprisonnés, de masques, de vaccinations etc…

Je me doute qu’Emmanuel Macron possède les vrais chiffres de la mortalité et des cas avérés, pas des milliers de tests positifs qui aboutissent très rarement à de vraies séquelles. Combien de nos disparus ne sont morts que du Covid ? Combien sont -ils à être décédés suite à une morbidité conséquente ? 90.000 morts en un an, c’est énorme sur les 667.000 décès constatés en 2020. 1 Français sur 8 serait mort du Sars-Cov 2 ? Pourtant,selon Santé Publique France, les deux principales causes de décès sont les maladies cardio-vasculaires et le suicide. Le suicide qui a très fortement augmenté au cours de l’année Covid. Une constatation qui devrait faire réfléchir notre Président sur les conséquences dramatiques des décision gouvernementales qui ont isolé les Français, perturbé leur vie, changé le visage de nos villes, détruit une grande partie de notre économie, assassiné nos restaurateurs, nos cafetiers, tué la vie nocturne et culturelle, détruit l’avenir de nos étudiants, de nos lycéens. Le tout avec des décisions prises à l’emporte pièce comme en témoignent les revirement pour les coiffeurs, les fleuristes etc..

Si le couple Castex-Véran avait choisi, il y a un an de ré-ouvrir les milliers de lits d’hôpital misérablement fermés par les gouvernements précédents et celui de M. Macron, si dès mars dernier, des infirmiers avaient été formés à la ré-éducation respiratoire des malades les moins atteints, la France n’aurait pas été sous la menace d’un manque de lits de réanimation. Le professeur Michael Peyromaure de l’hôpital Cochin a été formel. Il a même déclaré ce 12 mars, sur le plateau de Pascal Praud que certains patients qui n’avaient besoin que d’oxygène n”avaient pas à aller encombrer les services de réanimation un fait qui lui avait été rapporté et qu’il venait dénoncer sur Cnews.

Le courage politique manque. Sans doute à cause d’une surmédiatisation de la pandémie par des médias qui s’en régalent et nous en lavent le cerveau. Un exemple, celui des masques qui défigurent nos visages afin de nous rappeler que nous sommes tributaires d’un virus mortel. Il est prouvé par des savants que d’aucuns désignent, sans doute par une sordide jalousie, comme des charlatans que le masque à l’extérieur ne sert à rien. Eh bien, préfets et maires des régions les moins atteintes persistent et signent et vous condamnent à payer 135 euros même si vous êtes seul dans la rue. Que penser de ces personnes qui se baladent masquées sur le quai d’un port ou sur une plage si ce n’est que leur intelligence a été fortement perturbée par une campagne médiatique criminelle.

Il serait temps de reprendre, à l’échelle mondiale, goût à la vie en redonnant la liberté aux peuples qui n’en peuvent plus. Comme en Suède. Mais, hélas, nous sommes entre les mains de dirigeants qui ne savent pas comment naviguer dans la tempête.

Dans leur livre « Vie et mort des épidémies », Patrice Debré et Jean-Paul Gonzalès rappellent que chaque année, avant la Covid 19, les maladies infectieuses tuaient dans le monde 14 millions de personnes et que 350 de ces maladies sont apparues depuis 1940 et que nombre d’entre elles disparaissent d’elle mêmes…

Floris de Bonneville





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