Scoop/ Brigitte Macron dit “non à la violence!” (Vidéo)

Humour ou provocation? Coiffée de son sempiternel chapeau doré, Macronella assistait au Grand débat des enfants car elle “a envie d’écouter”  et souhaitait faire passer “un message de non-violence”. “Il est temps de dire non à cette violence, à ce monde dont on ne veut pas”, a-t-elle déclaré. Ce message d’une extrême originalité marquera les mémoires et devrait apaiser les Black blocs, bien davantage encore que les mesures téméraires inventées par Cricri l’Arsouille pour les empêcher d’agir.

Elle a précisé que son mari était “très ouvert au dialogue”… avec lui-même certainement, ce qui s’appelle un monologue, comme nous l’avons remarqué depuis longtemps.

Quelques heures  après ces déclarations fracassantes, elle était au stade Reims pour donner le coup d’envoi d’un match caritatif. Quand le public a reconnu son visage sur les écrans géants, elle a été copieusement huée et sifflée et a dû fuir…

Cela s’appelle de la violence boomrang!

Puisque Macronella  est contre la violence, elle devrait communiquer sa nouvelle passion au stagiaire en chef de l’Elysée afin que dès à présent, Sa Suffisance cesse les violences diverses qu’il multiplie à l’endroit de la France et des Français, lesquels s’en offusquent: un récent sondage annonce  que 30% d’entre eux pensent que seule une révolution pourra achever cette crise.

L’arrogant Manu a le don de se mettre tout le monde à dos. Il a même réussi à exaspérer les chercheurs intellos-courtisans récemment invités à L’Elysée. Ils sont ressortis furibards tant Macron, huit heures durant, n’a cessé de pérorer, s’écoutant aligner les platitudes,

mélangeant termes savants et anglais de marketing. Il « n’a pas pris la mesure de la colère sociale et du désir de justice qui traverse le pays, il n’a pas compris qu’à force de ne pas y répondre, le ressentiment s’accumule et que peu à peu, ceux qui jusqu’à maintenant se sont tus, les habitants des quartiers relégués, les allocataires de minima sociaux et les chômeurs menacés de sanctions, risquent de rejoindre la masse des premiers Gilets jaunes qui se sont exprimés »a dénoncé l’une des convives.

Il  faudrait donc que Macronella ramène son petit à la raison, lui expliquant que seules des législatives pourraient sauver la situation. Il y perdrait probablement sa majorité mais point son job.

Lui qui aime tant les challenges, ce serait sportif une cohabitation avec Jean-Luc ou Marine. Et pourquoi pas avec son ennemi Ruffin?

A défaut…

Les ors du palais offrent bien des agréments et il serait dommage qu’à l’âge de la retraite, Macronella connaisse  les violences de l’exil.

 

Sybilline Bavastro

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