Nicolas Bedos aurait reçu des centaines de menaces après sa sortie contre Dieudonné

L’humoriste Nicolas Bedos affirme mardi matin sur Europe 1 qu’il aurait reçu des centaines de menaces, dont certaines de mort et prises au sérieux par la police, suite à sa chronique la semaine dernière dans “On n’est pas couché”. Il explique à Thomas Sotto qu’il ne vit plus chez lui mais chez un ami :

Voici la chronique qui a mécontenté les fans de Dieudonné :

Nicolas Bedos a été violemment attaqué par Dieudonné dans une vidéo publiée dimanche et doit l’être de nouveau dans une sortie programmée le 23 janvier par l’humoriste.

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51 Comments

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  • ranguin , 23 janvier 2014 @ 6 h 37 min

    L’histoire revue et corrigée par les gaucho-bobos.
    Heureusement nous n’avons pas encore assisté à l’autodafé des oeuvres détenues par les bibliothèques. On pourra toujours y emmener nos enfants.
    Le nihilisme affiché de nos gouvernants devrait nous faire réfléchir )pour les prochaines élections.
    La gauche nous a prouvé son inefficacité à redresser la France. C’est bien fait pour nous. La prochaine fois on ne votera pas contre un homme mais pour un homme.
    Le Président normal n’est même pas capable de gérer convenablement sa propre maison, alors !!
    Ne soyons pas plus cons que lui.

  • Yves Tarantik , 23 janvier 2014 @ 13 h 59 min

    “La gauche nous a prouvé son inefficacité à redresser la France”.
    Certes mais elle à su efficacement prouver sa compétence à la détruire !

    A chacun selon ses moyens !

  • Goupille , 23 janvier 2014 @ 14 h 35 min

    Nous ne parlons pas de traite négrière, mais de traite des Slaves à destination des pays arabes et autres turqueries, via Venise…

  • Goupille , 23 janvier 2014 @ 14 h 49 min

    Tiens, justement, parlons livres, manuscrits, incunables, bref notre mémoire.

    Un socialiste bâtisseur, Mitterrand, a décidé de laisser au monde ébloui sa bibliothèque d’Alexandrie, destinée à faire reluire sa mémoire, éternellement.

    Construite à la va-vite, elle vient de subir une nième inondation, par rupture de canalisation cette fois. Des milliers de volumes sont endommagés pour avoir été retrouvés flottant dans le flotte propre.
    Or, cet édifice, trop proche de la Seine, flotte sur la vase et les sédiments meubles : ils ont eu beau creuser, ils n’ont jamais réussi à trouver la roche pour asseoir les fondations.

    Autrement dit, à la prochaine crue centennale de la Seine, nous retrouverons nos bouquins flottant au milieu de la Manche, dans de l’eau sale et salée. Et cela en sera une bien autre paire. De manches.

    Dès que j’arrive au pouvoir, je mets notre mémoire en lieu sûr.

  • monhugo , 23 janvier 2014 @ 15 h 32 min

    Et pourtant, c’est à porter à son crédit, Mitterrand était un fin lettré, et aimait littérature et livres (sa bibliothèque personnelle, léguée à Mazarine, au prénom évocateur, en témoignait) !
    Si Chirac était un connaisseur des civilisations extrême-orientales, et un collectionneur affuté d’objets des “Arts premiers”, ses 2 successeurs brillent par leur inculture.
    Le Fantoche ne lit même plus les tabloïds, depuis que c’est lui qui en fait les frais.

  • Observateur , 23 janvier 2014 @ 16 h 26 min

    Je me permets un petit commentaire sur le sujet, bien que cela revient un peu à tirer sur l’ambulance de ce petit fonctionnaire du rire tellement pathétique dans ses pleurs publiques à la radio…

    Fiston n’a fait rire avec son sketch que les bobos et les antidieudonné pathologiques, et les médias de nous le présenter comme un “artiste” (sic !) “subversif” (sic !!) ! Alors qu’avec sa fausse dégaine de Fred façon Scoobidoo version brune, ce personnage n’a jamais rien risqué de plus dangereux qu’une condamnation pour racisme et trois taloches féminines pour sa signature du manifeste des 343.

    En résumé je dirais que Bedos fils c’est la subversion à l’endroit des pauvres avec injures sur chaîne nationale et sans droit de réponse, naturellement. Seulement on a pas du lui apprendre, à l’école du rire (quoi que son nom soit son principal diplôme), que la subversion ne vaut que si elle porte contre des puissants voire un système bien établi. Autrement c’est de l'”aplatventrisme” pour se refaire une virginité auprès d’un pouvoir, alors que l’intéressé traîne plusieurs casseroles juridiques très similaires à celles de l’humoriste visé.

    Il faut voir comment les invités se sont forcés dans la vidéo pour sourire voir pour rire à cet étalage de suffisance, de grossièreté voire de racisme qui pour le coup n’est pas implicite mais avéré, sans compter le salut nazi le tout sur une chaîne publique financée par les deniers publics.

    Le personnage n’assumant pas la réaction de son public qu’il a le culot de comparer à des imbéciles incultes voire à une secte, vous savez c’est un peu l’image de ce petit crétin que nous avons tous plus ou moins connu du temps du collège, qui commençait par vous insulter puis par conclure “C’est une blââââgue” avec un sourire commercial de parfait faux-jeton empreint de cette sorte de lâcheté si coutumière des individus qui n’assument pas leurs propos.

    Merci d’en avoir parlé en tous cas, même si ce comique (=/= humoriste) ne méritait pas l’aumône d’un article, le traitement médiatique dont il fait l’objet avec son histoire est d’autant plus intéressant à commenter que de l’appel au meurtre de P.Tesson à l’endroit de Dieudonné, on entend rien en comparaison, très étrangement vous en conviendrez.

  • feeloo , 24 janvier 2014 @ 20 h 46 min

    “CPF”? Eclairez-moi…

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