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Par Jean-Baptiste Le Roux
La scène de ménage de Valérie Trierweiler aurait coûté 3 millions d’euros à l’Elysée…
A moins que ce ne soit le contribuable qui ne paye.
Alors que Valérie Trierweiler se remet de ses émotions au pavillon de la Lanterne, dans le château de Versailles, après une semaine de repos à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, une folle rumeur court sur le Net et revient sur la rixe qui aurait opposé François Hollande et son ex-compagne, quand celle-ci aurait appris la liaison du chef de l’Etat avec Julie Gayet.
Les couloirs semblent résonner dans le palais de l’Elysée. Une rumeur court depuis ce mardi sur Internet, et revient sur la scène de ménage qui aurait eu lieu entre le président de la République, et la journaliste Valérie Trierweiler. Une dispute qui ne se serait pas déroulée sans casse. Ainsi, le site lecolonel.net relate donc, à partir d’un témoignage, anonyme, évidemment, la dispute entre le couple présidentiel..
Valérie Trierweiler, dans une colère folle, aurait saccagé le bureau présidentiel
D’après ce site, qui rapport les propos “d’un haut fonctionnaire du Mobilier National-condisciple d’un ami”, le Mobilier National aurait été appelé en urgence dans la matinée du 10 janvier dernier, afin de procéder à quelques aménagements de la déco présidentielle, qui aurait subi, quelques dégradations. Des dégradations, qui selon le fonctionnaire dont on rapporte les propos, auraient été causées par Valérie Trierweiler, qui, emportée dans une colère folle en apprenant la liaison de François Hollande avec l’actrice Julie Gayet – on peut la comprendre – aurait fait volé en éclat quelques vases de la manufacture de Sèvres, des pendules précieuses, ainsi quelques “objets d’arts de très grande valeur artistique et historique”.
Des dégâts estimés à trois millions d’euros
L’ex-concubine du président aurait même cherché à se jeter sur le président de la République, avant d’être écartée par le service de sécurité de François Hollande, et aurait terminé sa crise de nerf dans le Boudoir d’Argent, la pièce adjacente au bureau présidentiel, où elle aurait continué “son oeuvre destructrice”. L’Elysée n’étant pas équipé de meubles à monter soi-même, achetés chez Ikea, et ne faisant pas appel à Valérie Damidot pour changer la décoration, le Mobilier National, aurait estimé le coût des dégâts à trois millions d’euros, meubles précieux et oeuvres d’art obligent…
Et le site Internet lecolonel.net de se poser la question : qui paie ? Il y a fort à parier qu’une telle information ne soit sans doute jamais confirmée, et reléguée à l’histoire cachée des secrets d’alcôve. Cependant le récit de la dispute présidentielle commence à courir sur Internet. On attend avec impatience de savoir si l’opposition se saisira d’un tel sujet.