“Les bonnes intentions affichées par l’ONU nous promettent l’enfer”!

Le 18 décembre 2016, le compte Twitter officiel de l’ONU en France relayait un message collectif : « La migration profite à tous. Les migrants sont porteurs de compétences et de cultures nouvelles. #Ensemble #PourLaMigration @UNmigration. » La phrase était accompagnée d’un tract célébrant la « Journée internationale des migrants » sur lequel on pouvait admirer quatre photos, dont l’une représentant un homme affublé d’un nez rouge de clown. Nous parlons bien de l’ONU, qui a placé le Saoudien Faisal Trad, ambassadeur de Riyad au sein de cette vénérable institution, à la présidence d’un groupe consultatif du Conseil des droits de l’homme pour les Nations unies…

Le groupe chargé des « migrations » au sein de l’ONU est une officine qui ne fait pas mystère de sa volonté de subversion.

Représentants officiels du mouvement No Borders, les membres de l’ONU sont des mondialistes patentés qui encouragent à l’invasion de l’Occident par les populations venues du sud du monde, planchant même le plus sérieusement du monde sur les « migrations de remplacement ». L’an passé, ils se plaçaient dans l’illégalité en demandant aux « migrants » clandestins de franchir la frontière hongroise par la force, c’est-à-dire de commettre un acte de guerre contre un pays souverain.
La littérature que l’on peut trouver sur leur site Internet est édifiante : lesdites « migrations » y sont perçues comme autant d’enrichissements pour les peuples nouvellement colonisés. Sorte d’eschatologie universaliste, les déplacements de populations du siècle à venir semblent devoir créer un monde nouveau pour un homme nouveau, débarrassés des entraves pesantes du passé, de l’Histoire, de l’identité, des cultures spécifiques et des ethnies… Un monde qui sera bâti sur les cendres du nôtre.

Nous ne devons plus prendre au sérieux les commandements de l’ONU, organisme supranational dépassé sans autre valeur juridique que celle que les nations qui le composent ont bien voulu lui confier. Sans le soutien des pays légaux, l’ONU ne serait rien d’autre qu’une coquille vide, une baudruche insignifiante sur le plan politique. Issu d’une époque traumatisée par la guerre civile européenne, le concept de « nations unies » est inopérant aujourd’hui.

À l’identique, la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948, confondue par Emmanuel Macron dans son discours de lancement de campagne avec la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, laquelle distinguait très justement les droits fondamentaux accordés à tous les hommes des droits particuliers qu’offre la citoyenneté, a été adoptée lors d’une période où la colonisation était encore une réalité…

Menacés dans notre chair, nous devons faire confiance à nos instincts de survie qui nous avertissent que les bonnes intentions affichées par l’ONU nous promettent l’enfer…

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Gabriel Robin – Boulevard Voltaire

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