Mission impossible ! Vous pensiez connaître les Pingouins de Madagascar ? Vous pensiez qu’ils n’étaient que de mignons et trognons pingouins aux neurones détartrés au Canard WC et juste là pour faire craquer les visiteurs du zoo de Manhattan ? Eh bien, vous vous mettiez le doigt dans l’œil jusqu’au coude. Et pour cause : pas manchots du caberlot, ils sont en fait des… agents secrets. Un taf qui remonte à leur jeunesse. Du temps où ils jouaient la marche de l’empereur quelque part sur la banquise…
Leurs noms sont Pingouin, Kowalski Pingouin (le cerveau), Commandant Pingouin (le leader), Rico Pingouin (la tête brûlée) et Soldat Pingouin (un bleusaille qu’ils ont pris dans leur équipe).
Un jour, lassés de la routine qui caractérise leur colonie, ils ont décidé de briser la glace et de se lancer dans l’aventure. Ensemble, ils sont devenus espions.
Leur première mission, qu’ils ont acceptée, a été d’unir leurs forces à celle d’un commando d’élite pointu du genre « les sentinelles de l’univers ». Une agence tous risques du nom « Vent du nord ».
Une première mission de tous les dangers pour mettre fin au terrible projet du Docteur Octavius, pieuvre gigantesque autrefois attraction numéro 1 du zoo de Manhattan, qui fut détrônée de son statut de célébrité par les congénères trop mignons de nos héros. D’où son désir de vengeance. A l’aide d’un sérum à base de méduse, il projette de transformer tous les animaux les plus trognons en terribles créatures. C’est dire si les Pingouins vont avoir du pain (de glace) sur la planche. Comme on dit chez Danone, ils vont y aller plein pot…
Les pingouins à la rescousse ! Après leurs premiers pas en guise de fil rouge dans les dessins animés Madagascar 1 et 2, les pingouins dingos et complètement barrés sont désormais des stars à part entière dans ce dessin animé rien qu’à eux. Plus allumés qu’une lanterne de geisha dans une ruelle malfamée de Tokyo, ils s’en donnent à cœur joie devant les caméras de Simon J. Smith et Eric Darnell et nous entraînent dans leur folie gaguesque et pétage de plombs à 100 km/h, du moins dans la première partie. La 2e, malgré son final délirant façon Gremlins, s’essouffle un chouïa. Reste que ces pingouins en folie vous rendront plus guillerets qu’un coucou suisse claustrophobe.
Lu dans Présent