L’écrivain Gauz, auteur de “Camarade papa” aux éditions du Nouvel Attila, rejette la négritude chère à Aimé Césaire, accusant ce concept d’entretenir “le regard exotique sur les nombreuses cultures africaines”. Il appelle à créer “de nouveaux canons esthétiques et politiques” et met en avant sa double identité, européenne et africaine.