Les responsables de l’agression homophobe du XIXe arrondissement vivent dans une cité et sont connus des services de police pour des faits de violence

41 Comments

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  Sully , 21 septembre 2013 @ 12 h 44 min

  Doséquelcon fait dans l’ironie …
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  Sully , 21 septembre 2013 @ 12 h 46 min

  Oui , oui , je sais , Marie . On intervient aussi pour le lecteur en passant
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  Daniel , 21 septembre 2013 @ 13 h 02 min

  NDF les laisse intervenir en raison de leur pauvreté intellectuelle ils discréditent les positions politiques pro PS et leur propagande de merde

  Tu sais qu’il y a en même parmi eux qui sont rémunérés par le PS, des gens formés aux techniques de communication, pour essayer de filtrer ce qui se dit sur le web ?

  Leur job n’est pas de participer le débat, mais de l’empoisonner ( le poisonning est une méthode en réseau pour empêcher que les émetteurs échangent des informations )
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  Libre , 21 septembre 2013 @ 13 h 39 min

  Qu’on envie ces petites frappes quelques années en centre de redressement militaire,cela leur apprendra les bonnes manières!
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  JOUNO , 21 septembre 2013 @ 13 h 40 min

  Il faut s’en prendre aux “élites” dégénérés qui ont imposé un texte de loi qui a divisé les français et surtout provoqué une homophobie qui n’existait pas ou très peu avant en France !!!!!!!!!!!! qu’ils ne viennent pas pleurer ces hypocrites…
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  JSG , 21 septembre 2013 @ 16 h 34 min

  “…Qu’on envoie ces petites frappes quelques années en centre de redressement militaire,cela leur apprendra les bonnes manières!…”
  Manque de pot, depuis que JC (enfin pas le Vrai, l’amateur de tête de veau), a supprimé le service militaire, y-a-pu tout ça, c’est fini n ni ni !
  A la fin des années cinquante, tous ceux qui déconnaient voyaient leur sursis supprimé et direction l’Algérie, et si ça ne suffisait pas on savait s’occuper des violents.
  restaient les autres, les non sursitaires : pas de problème ils étaient alpagués, dressés en cas de besoin et quand ils revenaient ils se cherchaient du travail et ne basculaient pas dans la voyoucratie.
  Certes, il y avait du travail, mais arrêtons-là, pauvreté n’est pas une excuse, sauf pour ceux qui se complaisent dans la politique des pleurnichards et les faignants qui se complaisent à ne rien foutre.
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  Sully , 21 septembre 2013 @ 17 h 57 min

  C’est l’évidence même ! Merci Chirac !

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