ARELATE, UNE FICTION RÉALISTE
Le parti pris des auteurs est simple : créer une véritable fiction tout en travaillant au mieux l’arrière-plan au regard des dernières découvertes archéologiques. Le résultat de ce savant mélange donne une véritable histoire, sans propos pédagogique, mais le fond et la forme amènent le lecteur à découvrir, sans qu’il s’en rende compte, un monde romain plus réaliste, à mille lieues des poncifs du genre péplum.
Dans tous les albums, un dossier pédagogique placé en fin d’ouvrage éclaire certains aspects de l’Antiquité romaine, sans que la consultation de ce dernier ne soit nécessaire à la lecture de l’histoire.
UN PARTENARIAT AVEC L’INRAP
Comme le précédent, ce sixième tome est réalisé en partenariat avec l’Inrap, qui a mis à disposition des auteurs les savoirs de ses chercheurs. Ce nouvel album est doté d’un dossier pédagogique rédigé par Julien Boislève et Philippe Mellinand, archéologues à l’Inrap. Les thèmes abordés sont « Décorer sa maison à l’époque romaine, une histoire de styles » et « Du diagnostic archéologique au scénario d’Arelate ».
CARMILIA, LE TOME 6
Tandis que la cité d’Arelate panse ses plaies suite au terrible incendie qui a ravagé le quartier portuaire, les commanditaires de ces destructions peaufinent leur plan d’action, faisant place nette pour que rien ni personne n’interfère avec leur objectif. Vitalis, grâce au sacrifice de son ami Tillius, est en route pour Lyon où il espère retrouver sa douce Carmilia. Quand à Hortensis, il n’a pas d’autre choix que de trouver une solution au conflit qui l’oppose à son ennemi intime Crassus.
