La Manif pour Tous condamne l’incarcération de Nicolas et appelle à accueillir François Hollande à Sciences Po vendredi à 18h

56 Comments

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  monhugo , 21 juin 2013 @ 15 h 02 min

  Dernière minute : Pépère n’ira pas à “Sciences Po” ce soir. La manif’ de ce soir pour soutenir Nicolas Bernard-Buss qui croupit à Fleury se tiendra place du Panthéon, à 18 h 00 toujours.
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  monhugo , 21 juin 2013 @ 15 h 03 min

  C’est quoi cette logorrhée en petit-nègre ? ?
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  Delaye , 21 juin 2013 @ 15 h 23 min

  Bien sûr, mais çà, c’est pour les vrais délinquants, et spécialement pour les descendants d’immigrés!
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  monhugo , 21 juin 2013 @ 15 h 27 min

  Nathalie Dutartre s’est “occupé” de NBB parce qu’elle est l’actuelle présidente de la 16ème Chambre correctionnelle au TGI de Paris. En 2010 Younes Latifi, alias “Mister You”, est déclaré coupable, après une “cavale” de 2 ans (pendant laquelle il a sorti un disque intitulé : “Attrape You Si Tu Peux” – sic – et ne se cachait même pas !), de trafic de stupéfiants et écope de trois ans de prison, dont un an avec sursis et obligation de soins, ainsi que d’une amende de 5.000 euros. Le tribunal explique ne pas avoir appliqué la peine-plancher demandée par le procureur, “compte tenu de la personnalité” du rappeur. Son activité “artistique” avait été reconnue comme un gage de réinsertion par Nathalie Dutartre. Un étudiant blanc (en double cursus), rangé donc, mais opposant résolu au “mariage” unisexe, qui n’avait rien fait, si ce n’est vouloir se protéger dans une pizzeria, car “coursé” par plusieurs flics en civil (BAC) qui l’avaient identifié comme tel, alors qu’il usait de sa liberté fondamentale d’aller et venir (sur les Champs-Elysées, dimanche soir dernier) : une “personnalité” pas du tout du goût de Mme Dutartre, assurément. Le rappeur portait un t-shirt “Jacques Mesrine” à la barre, à propos….
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  Delaye , 21 juin 2013 @ 15 h 32 min

  C’est devant le domicile de cette Nathalie dutartre qu’il faudrait manifester. Vieille fille complexée ou gouine? Mon commentaire précédent faisait suite aux propos de CRIL 17
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  centurion , 21 juin 2013 @ 15 h 44 min

  Dimanche avant d’aller manifester envoyez des messages de soutiens a partir de 17h sur Radio notre dame le téléphone du dimanche 0156564400 vous appelez la radio , vous donnez votre N° de téléphone et la radio vous rappelle pour que vous laissiez votre message!
  n’hésitez pas a diffuser cet appel;
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  alain , 21 juin 2013 @ 16 h 07 min

  Le lycéen à la tronçonneuse était un élève modèle
  Anne-Cécile Juillet | Publié le 20.05.2005

  DEMAIN, cela fera une
  semaine que Pierre*, 16 ans, se terre dans un mutisme total. Samedi dernier, en fin d’après-midi,
  il est pourtant devenu, malgré lui peut-être, le centre d’une tragédie familiale d’une rare
  violence : il s’est acharné sur Hervé, son frère aîné de 18 ans, à coups de tronçonneuse et
  de batte de base-ball. Depuis, silence. Hervé est toujours maintenu en coma artificiel au centre
  hospitalier d’Orléans, dans un état critique, avec un oeil gravement abîmé et un bras sectionné.
  Pierre a quant à lui été placé en hôpital psychiatrique sous contrôle judiciaire par la juge
  d’instruction orléanaise Nathalie Dutarte, contre l’avis du parquet qui réclamait sa mise en
  détention.

  « Aucune faiblesse psychologique chez lui
  »

  Si Pierre
  a reconnu son geste et donné des détails assez précis du déroulement des faits lors de sa garde
  à vue, les raisons en demeurent toujours obscures. S’agit-il d’un accès de folie ou avait-il
  prémédité l’agression de son aîné ? C’est cette dernière thèse qu’a pourtant retenue la juge
  d’instruction, en le mettant en examen pour « tentative d’assassinat ».
  En apparence, rien ne
  semblait prédestiner ce cadet d’une fratrie de trois enfants à une telle folie. Partout dans
  son entourage, Pierre fait figure d’adolescent modèle, épanoui au sein d’un milieu privilégié
  : parents tous deux médecins, grande demeure en meulière plantée au milieu d’un vaste jardin
  en lisière de la ville, brillant élève, avec un an d’avance, en première scientifique dans un
  des lycées privés les plus cotés d’Orléans, Sainte-Croix-Sainte-Euverte. Une tradition familiale
  : tous les enfants de la famille sont « passés par Sainte-Croix » : Valérie, l’aînée de la famille,
  désormais étudiante à l’école supérieure de commerce d’Angers, y avait été élève et Hervé, qui
  s’apprêtait à passer le concours de sciences-po, y est inscrit en terminale économique. « Nous
  n’avons jamais décelé une quelconque faiblesse psychologique chez cet enfant, ni aucune animosité
  sourde à l’encontre de son grand frère », explique Philippe Gougeon, le proviseur du lycée.
  Même
  son de cloche dans son club de tennis où, tous les samedis matin depuis deux ans, il allait
  suivre une heure de cours et commençait à participer à des petits tournois internes. « C’est
  vraiment l’ado sans problème, un peu trop peut-être, tellement il m’a toujours paru docile,
  obéissant et bien élevé. En tout cas, clairement pas un rebelle, décrit Xavier, son prof de
  tennis. Il voulait d’ailleurs tellement bien faire qu’il avait assez mal vécu ses deux dernières
  défaites en tournoi. Sa mère était venue nous dire qu’il se décourageait un peu. Je l’avais
  convaincu de persévérer. » Depuis peu, Pierre s’était trouvé, dans le militantisme politique,
  une nouvelle passion : « Depuis le début de l’année, il s’est beaucoup politisé, mais de façon
  rationnelle et argumentée, raconte un de ses camarades de lycée. Il était à fond UMP. » Un engouement
  récent mais déjà affirmé puisque Pierre participait régulièrement aux réunions des Jeunes populaires
  d’Orléans. Deux jours avant le drame, il s’était rendu à Paris au meeting de l’UMP.
  * Le prénom a été changé.
  Le Parisien

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