Voiture de police incendiée : deux frères Bernanos dans le collimateur de la justice

Parmi les cinq personnes gardées à vue, deux frères de 21 et 32 ans appartiennent au groupe action Anti-Fasciste Paris Banlieue. Le plus jeune, Antonin Bernanos, descendant de l’illustre Georges, avait fait un recours devant le Tribunal administratif contre l’interdiction de manifester mardi dernier émise par le préfet. Le TA avait annulé cette interdiction :

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35 Comments

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  • frannot , 21 mai 2016 @ 10 h 55 min

    Je serais pour rouvrir Cayenne (le pays de Taubira) pour les terroristes de tout poil : les “anti-fa”, les anarchistes, les casseurs, les djihadistes “français”…

  • Jean NOGUES , 21 mai 2016 @ 11 h 38 min

    Votre liste est incomplète

  • Jean NOGUES , 21 mai 2016 @ 11 h 40 min

    Votre liste est incomplète

  • frannot , 21 mai 2016 @ 13 h 03 min

    Ayant mis des points de suspension, à vous de compléter!

  • Creuxduloup , 21 mai 2016 @ 14 h 33 min

    Je sais que le grand. Georges Bernanos n’était pas un thuriféraire de la République, mais quand même ….

  • starets , 21 mai 2016 @ 17 h 23 min

    Ils ont de la chance d’être en France, sous d’autres cieux ils auraient prix une balle dans la tête.

  • Marino , 21 mai 2016 @ 20 h 01 min

    * Un policier lynché à Nantes

    * Pendant les manifestations contre la Loi Travail un policier c’est un peut trop rapprocher des manifestants et casseurs, il s’est fait frapper par plusieurs personnes qui l’ont littéralement lynché. La France apaisée de François Hollande…

    Cette vidéo n’a pas été très diffusée mais elle symbolise la situation. C’était à Nantes. Le flic a eu le tort de s’avancer tout seul. La règle de base, pour les forces de l’ordre comme pour des manifestants, c’est de faire en sorte de ne jamais être isolé. Toujours s’avancer groupé. Normalement un gouvernement qui ne défend pas sa police contre les hooligans et asociaux devrait être foutu. Les forces de l’ordre devraient en tirer la conclusion et se retourner contre leur direction…

    * Se retrouvant isolé de son unité, un commandant de police a été pris pour cible par cinq jeunes. Ces derniers l’ont fait chuter, lui ont enlevé son casque et l’ont roué de coups, au moyen notamment d’une barre de fer. « Sans intervention de renforts, ils allaient le tuer », a déclaré un témoin aux policiers. La procureure parle de « véritable lynchage », et note : « Il y a eu une intention claire d’acharnement, le crâne était visé. » Le policier a eu le nez fracturé et quinze points de suture.

    Identifié après exploitation d’images de caméras de surveillance et de photographies postées sur les réseaux sociaux, le suspect a été interpellé lors d’une autre manifestation, jeudi 12 mai à Nantes. Ce jour-là, il est encore accusé d’avoir lancé des pierres contre des gendarmes, et d’avoir contribué à la mise à sac d’une enseigne mutualiste. Faits qu’il réfute catégoriquement.

    Lors de sa garde à vue, il a nié toute participation à l’agression du policier le 3 mai avant de reconnaître avoir provoqué sa chute « en effectuant une balayette ». « Dans un SMS envoyé à sa petite amie, il a dit que s’il avait été chopé, il aurait été dans le caca, pour reprendre ses termes exacts », relève la procureure. Sur les réseaux sociaux, des amis indiquent aussi que le suspect était « bien chaud ».

    https://www.youtube.com/watch?v=ATU6eMVsook

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