Décadents et fiers de l’être : en Allemagne, une quarantaine d’hôtels interdits aux enfants

Parmi eux un hôtel cinq étoiles, situé à Dierhagen au bord de la mer Baltique, garantit la tranquillité à ses clients en interdisant l’accès de l’établissement aux enfants. L’agence anti-discrimination dénonce cette pratique commerciale proposée par une quarantaine d’établissements en Allemagne qui a toutefois le mérite de montrer comment le manque d’éducation conduit les générations à ne plus se supporter les unes les autres :

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19 Comments

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  • Thierry , 20 avril 2016 @ 14 h 14 min

    Qu’y a t-il de “décadent” à vouloir être au calme, sans avoir à supporter la progéniture bruyante des autres? Quand je cherche un lieu de villégiature, moi aussi je cherche un lieu sans mômes.

  • Retraitée , 20 avril 2016 @ 21 h 05 min

    A quand des croisières aussi sans ces gamins ……impossible d’aller quelque part sans êetre dérangés par ces griots pas éduqués ….heureusement il me reste plus que quelques années à vivre cloîtrée chez moi pour avoir la paix

  • le gaulois 6 , 21 avril 2016 @ 7 h 29 min

    C’est pas faux, Marie france…. vous savez souvent lancer la fléchette dans le mile
    En outre,si les enfants étaient bien élevés ce serait un plaisir de les avoir comme voisins …;hélas !

  • alienor , 21 avril 2016 @ 9 h 03 min

    tout à fait d’accord, mes nouveaux voisins ont 2 fillettes absolument ignobles !

  • citoyen de france , 21 avril 2016 @ 9 h 38 min

    bravo mr Trucker
    l’ALLEMAGNE DE MERKEL est inquiétante dans beaucoup de domaines en particulier pour son alliance de fait avec Erdogan

  • Eric Martin , 21 avril 2016 @ 9 h 45 min

    Les “mômes”, comme vous les appelez, sont ceux qui payeront votre retraite un jour.

  • Henri Peter , 21 avril 2016 @ 10 h 40 min

    Bien sûr qu’ils sont décadents, ces Allemands . . Effarés par certains commentaires. Sûr que les enfants sont parfois insupportable, même les miens ou mes petits enfants si je n’y prend garde.
    Alors où est le problème.? Il faut réagir; avec calme douceur, mais autorité , d’abord vis à vis de ses propres enfants et vérifier quand , par exemple, on les laisse un peu seuls qu’ils laissent tranquille les adultes, tout le monde a compris, ensuite réagir, oui réagir , cela demande un peu de courage, avec les enfants des autres quand ils passent les bornes, devant les parents. Là aussi avec doigté, bienveillance, indulgence, sans être des rabats-joie, mais aussi fermeté quand cela dérape et cela dérape et c’est bien parfois insupportable et c’est rendre service à l”enfant de lui donner le repère et pallier à la démission de fait de certains parents
    Maintenant croire qu’on achète sa tranquillité, est aussi absurde de croire qu’on achète une place au ciel . En fait c’est l’enfer aseptisé qu’ils achètent ces touristes, le refus de la vie, qui est confrontation, et de la civilisation qui est apprentissage à faire. .
    Un vieux souvenir de plus de trente ans: En vacances seul avec mon fils et sa sœur que j’avais pour les vacances, dans un manoir délabré de Vendée où nous bénéficions des communs, un jour je disais un peu confus à mon très jeune fils d’arrêter de pleurnicher ou crier devant le château. Mais la vieille dame, femme de mon hôte regardait avec un sourire plein de bienveillance ces criailleries et se disait toute heureuse, elle, qui était soignée toute l’année pour dépression, de voir un peu de vie. s’offrir à elle.
    La nécessité de civiliser ces têtes “diverse,” (blondes, brunes ou noires ) ne doit jamais nous priver de la joie d’accueillir une vie qui sourd, qui ne demande qu’à s’exprimer et qui réchauffe nos vieux os. Quelle joie d’avoir nos petits-enfants , très jeunes, que notre fille nous confie souvent, quelle tristesse pour certains grands- parents privés de cette joie par leurs enfants trop maniaques.
    Nous vivons de ce nous transmettons et de ce qu’on nous a transmis. Ce n’est pas au nom de la discrimination qu’il faut dénoncer ce genre d’hôtels, assez d’idéologie envahissante, c’est au nom du refus de la vie, de ce cadeau qui nous est donné et que nous avons à partager jusqu’à notre dernier souffle.
    Finalement, refus des enfants, refus des vieux malades, et refus des enfants avant leur naissance, tout cela est bien lié, c’est le refus de la vie et de ce qu’elle peut à chaque instant nous offrir: un instant de grâce, un monde d’une richesse insoupçonnée.

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