“Si je n’étais pas venue en Afrique du Sud, je n’aurais jamais pensé qu’on pouvait considérer comme étranger un frère avec la même couleur de peau (noire, ndlr) !”

10 Comments

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  maginet , 21 avril 2015 @ 13 h 08 min

  L’ancien ministre de l’Écologie a présenté, , devant un parterre de personnalités, son plan pour l’énergie en Afrique. L’ex-homme politique, passionné par le continent africain, déplore que celui-ci ne soit électrifié qu’à 25 %.

  “Le Parisien” le surnomme “Borloo l’Africain”. À juste titre. L’ancien ministre de l’Écologie est un grand amoureux de l’Afrique – continent où il se rend régulièrement et où l’avenir économique de l’Europe va se jouer, estime-t-il. Et preuve de son engagement envers le continent, “Borloo l’Africain” souhaite l’électrifier à 100 %.

  Force est de reconnaître que le constat énergétique du continent est alarmiste. Seuls 25 % de l’immense territoire a accès à l’électricité, ce qui signifie qu’environ 600 millions d’Africains n’ont accès ni à l’eau courante, ni aux moyens de s’éclairer la nuit.

  Face à cette réalité “intenable”, Jean-Louis Borloo a présenté, mardi 3 mars à l’Hôtel Marigny – en présence des présidents de l’Assemblée, du Sénat, et du Medef – son colossal projet : une fondation pour l’énergie en Afrique. Le but de cette agence : investir 200 milliards d’euros sur les dix prochaines années pour électrifier tout le continent d’ici à 2025. Et il est optimiste.

  En plus l’électricité, ne faudrait-il pas prévoir, un plan anti-natalité, Pilule pour les mineurs, ou ligature des trompes pour les femmes ayant déjà 2 enfants, , ou interdiction faire goulou goulou sans protection, ou alors en cas de non observation stérilité obligée. Je suis certainement un peu dure dans mes commentaires, mais les chinois ont réglé ainsi leur problème de surpopulation. A MEDITER sérieusement
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  Vautrin , 21 avril 2015 @ 14 h 12 min

  C’est bien de vouloir les électrifier (“le communisme, c’est les soviets et l’électrification” selon Lénine, et Borloo-le-clown n’en est pas très loin). Mais deux gros problèmes :
  1) la production et la distribution d’électricité font appel à une main-d’oeuvre technicienne très formée et très rigoureuse. Donc pour le moment étrangère.
  2) les délires écolos interdisent la construction de centrales “polluantes” au charbon ou pétrole (l’énergie nucléaire, trop pointue à maîtriser, étant exclue et, de toute façon, pas politiquement correcte). Si l’on s’imagine que les éoliennes et le photovoltaïque pourraient faire l’affaire, vu les rendements, les Borloo-le-clown se mettent le doigt dans l’œil. L’écologie politique est un frein puissant au développement de l’Afrique, autant que l’ignorance.
  Quant à la démographie : oui, elle doit être limitée; mais j’entends déjà les glapissements de la caste bobolitique ! Ces gens-là n’aiment pas Malthus, c’est clair.
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  itou , 21 avril 2015 @ 17 h 43 min

  En Afrique du sud, en plus des affrontements entre ethnies noires, il y a aussi des affrontements très violents entre les noirs et un fort peuplement indien. Ces derniers sont industrieux et s’enrichissent par leur travail, ce qui leur vaut d’être jalousés par les noirs qui les accusent de s’enrichir à leurs dépends.

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