En ce moment les gouvernements du monde se déchirent à la Conférence sur le Statut de la Femme (CSW) à New York, à propos d’une expression apparemment très simple : comprehensive sexuality education (CSE) l’éducation sexuelle inclusive, en français. Il s’agit d’une véritable attaque contre les enfants.
CSE est l’outil principal avec lequel sont imposé l’avortement et les « droits sexuels » des enfants. Par exemple IPAS le plus gros fabricant de kit avortement, sponsorise un évènement pendant la CSW « sans avortement, pas d’éducation sexuelle inclusive ». Il existe même un document qui prouve que l’UNICEF essaie d’abolir les droits des parents concernant la « santé reproductive » de leurs enfants (la santé reproductive est un euphémisme pour avortement, contraception, thérapies hormonales et opérations chirurgicales transgenres). Pour plus d’informations consulter le site en anglais : StopCSE.org.
La CSE est soutenue par plusieurs agences de l’ONU en partenariat avec le Planning familial. Or la CSE est utilisée pour saper les droits des parents et promouvoir l’avortement, la promiscuité et l’idéologie transgenre. Saviez-vous qu’en 1999 l’UNICEF a publié un manuel intitulé « la santé reproductive et sexuelle » indiquant aux adolescents comment atteindre le plaisir sexuel avec des animaux ou des personnes non consentantes ? C’est difficile à croire, mais ce document existe.
L’UNICEF est l’agence de l’ONU responsable de la protection des enfants du monde, mais dans l’ombre elle a un autre programme, qu’il faut absolument dénoncer et arrêter. Est-ce que cela veut dire que tout le personnel de l’UNICEF est mauvais et dangereux ? Non évidemment. Est-ce que l’UNICEF aide des enfants dans le monde ? Oui, bien sûr, mais ce n’est pas une excuse pour blesser les enfants avec une sexualité précoce. Cette politique doit être supprimée ou bien il faut arrêter de soutenir l’UNICEF et financer d’autres organisations qui ne font pas de mal aux enfants.
L’UNICEF n’est pas la seule agence de l’ONU qui s’efforce de sexualiser les enfants. Il y a aussi UNFPA, UN Women, UN AIDS, et l’OMS. Ces agences sont partenaires du Planning Familial qui fait la promotion de ces programmes dangereux.
Femina Europa soutient cette action.