Dans Libé, le sans-couille parle aux sans-dents :
Débarrassé des obligations de chef de parti, il s’autorise quelques timides autocritiques. Il regrette d’avoir choisi d’illustrer l’emprise des « voyous qui prétextent la religion pour installer une violence au quotidien » avec sa fameuse parabole du pain au chocolat arraché des mains d’un collégien un jour de ramadan. Parce qu’elle était « trop simple et trop affective », l’anecdote, sortie de son contexte, « rendait possible une sortie de route ». Contre le mariage homo, il regrette aussi d’avoir défendu une position qui n’était pas la sienne. En tant que chef de parti, il avait conclu que l’opposition radicale à la loi Taubira était nécessaire pour contrer le FN et rassembler l’UMP. Si c’était à refaire, il ne le referait pas.
Copé, le retour, une suite encore plus gauche que le premier opus Copé à l’UMP.
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