La complaisance des interculturalistes est criminelle. Après les attentats de Paris, il est grand temps d’abroger toute disposition juridique offrant une reconnaissance quelconque à l’islam, principal obstacle au vivre-ensemble. À part une frange de l’extrême-gauche et quelques autres marginaux, il y a un large consensus en Europe pour combattre l’ »islamisme« . Les facteurs d’accroissement des tensions se multiplient de plus en plus à son encontre. Les opinions publiques évoluent à une vitesse accélérée par le terrorisme musulman. Quand elles auront compris que le problème qualifié d »islamisme » est, en réalité, l’islam, viendra aussitôt l’heure de la grande confrontation. Car, en conséquence de cette découverte, ce consensus visera alors directement l’islam tout court.
LE PRÉCÉDENT DE LA DÉNAZIFICATION
L’espace juridique est à reconsidérer en profondeur. L’islam charrie trop de barbarie. Il appartient aux démocrates de s’y opposer avec la plus grande fermeté. Élie BARNAVI a très judicieusement soulevé le problème : « Ce que les démocrates n’auront pas fait, les fascistes le feront« . Le moment est venu d’assainir l’Europe. « L’islam, cette théologie absurde d’un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies. » ; dixit Mustafa KEMAL, l’Atatürk.
En un mot comme en cent, il faut éradiquer l’islam de notre territoire. Les Allemands de 40-45 ont été contraints à renoncer au nazisme ; un exemple à suivre par les adeptes de la secte de Mahomet. À défaut, la légitime exaspération des Peuples d’Europe se muera en soulèvement populaire. Alors, il sera trop tard pour les traîtres et les colonies musulmanes installées sur notre territoire où elles prétendent instaurer leurs règles.
Cela implique naturellement de protéger les apostats.
REMIGRATION SPONTANÉE
Les Européens sont venus à bout du nazisme et du communisme. L’islam rejoindra ces totalitarismes dans les poubelles de l’Histoire. Quant aux musulmans, les mieux avisés devraient songer dès maintenant à la remigration spontanée ; les réveils européens sont sanglants. Et le rejet de l’islam est inéluctable. La guerre en ex-Yougoslavie a auguré du conflit qui se profile. Les attentats musulmans le confirment.
Le slogan « Pas d’amalgame » est un échec : il a rapidement été tourné en dérision. Cet échec s’étend aux autres poncifs interculturalistes : la théorie des exceptions extrémistes, la thèse du déséquilibré ou l’imputation du pire aux seuls salafistes, tout cela est devenu ridicule. Le déni de réalité est total. C’est après coup que les faits sont revus et maquillés par la propagande. Le même musulman est qualifié de modéré vivant puis requalifié islamiste ou salafiste après avoir été abattu, tout comme le cochon renommé porc au sortir de l’abattoir. Tout cela pour essayer de faire croire que ceux qui passent à l’acte ne sont pas des musulmans, et ménager ainsi l’électorat des partis traditionnels. C’est du clientélisme particulièrement indigne.
Leurs protégés en viennent à ressentir la peur d’être des cibles à leur tour. L’omerta musulmane rend ceux-ci responsables de l’amalgame qu’ils déplorent. S’étant solidarisés des pires, de quoi s’étonnent-ils ? La classe politico-mediatique commence à les lâcher grâce aux partis patriotes qui déstabilisent le microcosme par leur croissance. La Presse subsidiée ne se vend plus ; elle est déjà vendue. Le politiquement correct est désormais dépourvu de crédibilité. Bref, les interculturalistes ont perdu la bataille des valeurs.
CARNAGE ET CLIENTÈLE ÉLECTORALE
C’est en diffusant eux-mêmes la propagande des imams, au refrain lénifiant de « religion comme les autres« , qu’ils ont cru en finir en janvier dernier. Ils se prenaient pour des héros de la démocratie. Or, ils osaient à peine exprimer leur peur de défendre la liberté de force, par les armes. Le défilé du 11 janvier 2015 a montré que l’Élysée se gargarisait de mots et allait persister à soutenir les mosquées. Très mauvais signal, et l’adversaire l’a évidemment perçu. Face à une idéologie totalitaire politico-religieuse, la pusillanimité est contre-productive ; surtout lorsqu’il s’agit de tels sauvages.
Résultat, moins d’un an plus tard, c’est le carnage ; à nouveau généré par l’islam, la prétendue « religion comme les autres« . L’occupant de l’Élysée, la voix chevrotante, s’est vu contraint d’avouer le constat d’un « acte de guerre« . Tentant péniblement une posture martiale, il a mollement dit que « la France« , pas lui, « sera impitoyable » à l’encontre de Daech seulement. Et il en profite pour décréter l’état d’urgence jusqu’au-delà du scrutin régional où le PS s’attend à une raclée électorale. Une simple coïncidence ?
L’affligeant occupant de l’Élysée craint la perte de son électorat et le soulèvement des mosquées. Elles ont vocation de centres de mobilisation belliqueuse, des casernes en quelque sorte comme le revendique ERDOGAN. S’y sont trouvées des caches d’armes ou des lieux de harangue hostile. Or, il s’obstine à leur complaire : le « vrai islam« , ce n’est pas le terrorisme, à croire la doxa interculturaliste. Combien de fois faudra-t-il l’anonner ? D’ailleurs, l’on peut tendre l’oreille, et avec beaucoup d’imagination, se persuader d’entendre les foules musulmanes condamner leurs frères djihadistes. Pourtant, on ne les entend pas. Aucun son provenant du concert sublime des âmes indignées de l’islam en France. Et pour cause …
MAHOMET N’EST PAS BOUDDAH
L’islam n’est absolument pas une « religion comme les autres« , car son modèle est un personnage violent contrairement aux autres. Jésus-Christ n’appelait ni au massacre ni au génocide et incitait quiconque était frappé à la joue droite, à tendre la joue gauche. Le grand architecte maçonnique n’est pas non plus un modèle belliqueux. Le rite judaïque ne génère pas d’attentats en Europe. Bouddha renvoie à la méditation en perspective de nirvāna, pas à la violence.
À l’inverse de tous, Mahomet était un chef de guerre, un potentat sanguinaire de son vivant, l’auteur de multiples crimes, y compris ce que nous qualifierions actuellement de crimes contre l’humanité. Confondrait-on Mahomet et Bouddha ? Quand Mahomet parlait de paix ou de tolérance, c’était uniquement sous son joug et en dhimmitude sinon il tuait. Le régime mahométan préfigurait le 3° Reich ; l’un et l’autre ayant d’ailleurs aussi en commun la haine du Juif et la dimension raciste. Adolf HITLER parlait aussi de paix : la sienne ; l’enfer pour autrui.
L’ISLAM EST GÉNOCIDAIRE
L’islam en Inde a causé un génocide, l’Hindi Kouch, de quatre-vingt millions de victimes : treize fois la Shoah. La traite dite orientale, c-à-d. arabo-musulmane, avait une dimension génocidaire : esclaves systématiquement castrés pour empêcher toute descendance. Plus de dix-sept millions d’Africains ont péri de la sorte : trois fois la Shoah. S’y ajoutent les autres traites musulmanes d’êtres humains au préjudice, notamment, d’Européens. Ségrégation, racisme et génocide sont consubstantiels à l’islam. La sympathie d’Adolf HITLER pour l’islam est celle d’un spécialiste du genre.
La rage musulmane envers Israël n’est pas le fruit du hasard. Il est de bon ton de l’expliquer par un sentiment d’injustice et de solidarité en faveur des Palestiniens. L’on observera cependant que cette animosité récurrente ne s’est jamais manifestée lorsque les Palestiniens avaient à se plaindre d’autres arabes. L’on soulignera également que ce sont les Juifs que visait le potentat qui leur fait office de prophète, Mahomet, bien avant la constitution de l’État moderne d’Israël. Et il est avéré que la résurgence de l’antisémitisme en Europe correspondait à l’expansion de l’islam via l’immigration. Mein Kampf est un best-seller dans les États islamiques.Tout cela est concordant et significatif.
Le relativiste lambda, prisonnier de ses automatismes dogmatiques, rétorquera que toutes les religions, même le bouddhisme, ont connu leurs heures sombres. Néanmoins, s’agissant de l’islam, c’est une constante historique. La radicalisation apparue ces dernières années aux Occidentaux, existait auparavant. Mahomet était un djihadiste, un radical : c’est en semant la terreur qu’il répandait l’islam. Et l’islam était son instrument idéologique de colonisation sous couvert de religion. Les Kabyles, par exemple, sont maintenant encore colonisés de cette façon.
Inutile d’escompter promouvoir le vivre-ensemble en propageant l’islam dit « modéré« . Cette mystification est entretenue par l’obsession de ne stigmatiser personne. Les apprentis-sorciers humanistes entretiennent la cinquième colonne musulmane en Europe. Invoquant le droit d’asile à tort et à travers, ils accueillent, au mépris des frontières, des cohortes de « migrants » chaque jour plus nombreux. À ce degré d’inconséquence, la candeur confine à la haute trahison.
L’ISLAM MODÉRÉ, FICTION TACTIQUE
L’ »islamisme » est un concept occidental relativement récent. Il a pour corollaire la notion d’ »islam modéré« , pure invention faisant florès depuis les attentats du 11 septembre 2001. L’expression « mahométisme modéré » apparaît, pour la première fois en 1927 sous la plume de l’historien André Maurois qui rapporte que Napoléon avait conçu une approche analogue. Une invention occidentale de nature tactique, l’on est loin du modèle fondamentaliste incarné par Mahomet et qui, lui, demeure « le plus beau modèle« , selon l’expression consacrée, aux yeux de toutes les obédiences musulmanes.
Les critiques émanant de milieux musulmans sont significatives. Pour l’essentiel, c’est le monde à l’envers : en dépit de crimes avérés, pratiquement jamais d’opposition envers les auteurs musulmans de violences visant les « koufars » (terme arabe désignant les non-musulmans) tandis que fusent les reproches à autrui s’avisant de critiquer l’islam. Il y a très nettement plus de musulmans s’exprimant contre des caricatures que contre le djihad. La moindre des choses est d’en tirer les conséquences. Lutter contre la radicalisation en qualifiant l’islam de modéré, autant pisser dans un violon.
Quant aux critiques islamiques officielles, elles sont diplomatiques ou d’opportunité. Des États islamiques sont menacés par le djihad d’autres musulmans, et le condamnent ; ce qui ne signifie pas qu’ils s’opposent au jihad quand c’est à leur avantage. Al Azhar, par exemple, lance parfois des réprobations. Le candide interculturaliste croit y voir la marque d’un islam pacifique. C’est ignorer qu’Al Azhar était fondamentaliste avant sa reprise en main par le Président MOUBARAK. Il avait contraint le recteur de cette université à s’adjoindre, au titre de vice-recteur… le Procureur de la République. Celui-ci avait mission de contrôler toute velléité en ce sens. Et il n’est pas surprenant que sous l’autorité du Général SISSI, Al Azhar fustige des djihadistes à l’occasion des attentats de Paris. Il traite avec fermeté de semblables énergumènes en Égypte.
La même observation vaut pour l’indignation du Hesbollah, mouvement terroriste, à propos de l’État islamique. C’est l’hôpital qui se moque de la charité. Faut-il être naïf pour y voir de la modération ? En réalité, il s’agit de la sempiternelle rivalité chiites/sunnites. Le Hezbollah n’est autre que la version chiite de l’État islamique sunnite.
MAHOMET, CRIMINEL VÉNÉRÉ
En Europe, le moins que l’on puisse dire est que les imams montrent peu d’empressement à condamner le djihad. Les rares prises de position en ce sens tendent surtout à disculper leurs ouailles. Or, par ailleurs, celles-ci ne font pas mystère de leurs velléités communautaristes et de ce qu’elles impliquent de sectarisme en faveur de la charia. Qui plus est, les sondages se succèdent et révèlent, dans tous les pays européens, que sont très nombreux les musulmans qui reconnaissent vouloir l’instauration de la charia. À l’indignation générale des citoyens correspond enfin une légère augmentation de telles postures de circonstances. Certains imams escomptent ainsi donner le change.
Jamais, en temps normal, l’on observe une activité générale des mosquées exigeant des musulmans qu’ils se démarquent du djihad. L’on ne connaît pas non plus à cette échelle de prise de distance, ne serait-ce qu’un recul historique, vis-à-vis des crimes commis par Mahomet. Au contraire, ils le vénèrent fanatiquement.
VERNIS RELIGIEUX, PROJET TOTALITAIRE
La réalité des pays infestés d’islam est démontrée par le printemps arabe. Les régimes autoritaires étaient à peine renversés que l’on a vu resurgir la bête immonde, le fascisme vert se référant au modèle mahométan. L’islam, pas « l’islamisme« , c’est ce phénomène de prise de pouvoir. Le vernis religieux masque le projet totalitaire théocratique.
Ce que les djihadistes ne peuvent réussir, ceux qui prétendent s’opposer à eux s’emploient paradoxalement à l’obtenir. Dans le cadre de programmes de déradicalisation, il se dit que les départs en Syrie ou en Irak traduiraient des frustrations de jeunes désœuvrés. Selon cette thèse, mieux vaudrait revoir la politique étrangère afin de ne plus déplaire aux musulmans solidaires de leurs frères. Autrement dit, en substance, ceux qui passent pour modérés suggèrent de céder à ceux qui usent de violences en s’alignant sur leurs revendications. Est-il judicieux de se prêter à de telles manœuvres ? Poser la question, c’est y répondre.
La thèse inadmissible des jeunes désœuvrés trouve écho dans le secteur des ONG affecté par l’entrisme de musulmans. Très souvent, le discours associatif consiste, en substance, à affirmer qu’il ne faudrait pas tenir pour responsables les communautés musulmanes. Et d’ajouter qu’il faudrait comprendre leur désenchantement, leur mal-vivre et leur offrir ce qu’elles attendent : emplois, logements, installations sportives, etc. ; le tout aux frais du contribuable. C’est donc un prolongement de la logique des djihadistes tout comme leurs chargés de déradicalisation : quel que soit le cas de figure, il s’agit de satisfaire les attentes musulmanes plutôt qu’autrui. Nul ne sait pour quel motif ces gens qui se prévalent de l’islam devraient être privilégiés par rapport aux autres immigrés. L’on ne voit pas non plus à quel titre ils pourraient s’exonérer d’avoir à assumer personnellement leur avenir au lieu de se vautrer dans l’assistanat.
Là où l’islam est devenu prédominant, les États se sont qualifiés d’islamiques ; négligeant de la sorte les autres composantes de la population. L’expérience des 57 États islamiques révèle à suffisance que cela aboutit à des sociétés fermées, sclérosées, la plupart moyen-ageuses et de pratiques barbares ; rien à voir avec le vivre-ensemble dont rêve l’ interculturaliste européen.
Il est grand temps que les angelots relativistes et interculturalistes comprennent qu’avoir un modèle belliqueux signifie une foi en la violence et la guerre. L’islam est un culte foncièrement morbide instauré par un criminel, Mahomet. C’est d’une tout autre nature que les autres religions.
COLLUSIONS MERCANTILES
Extrême-gauche et lobbies proches de grandes entreprises oeuvrent au grand remplacement de populations par vagues successives de migrations largement musulmanes.
Pourquoi musulmanes surtout ? Parce que leur inclination à l’obéissance fanatique est une aubaine pour le contrôle des masses. L’islam est un code dont la charia est la traduction ; son endoctrinement débute au berceau. Orwell avait vu juste : la dérive réduit les citoyens à des consommateurs dociles.
Les imams décrètent halal tout commerce pourvu qu’ils en soient payés ; ils s’accommodent parfaitement du pouvoir totalitaire. Et des réseaux commerciaux, trahissant le citoyen, distribuent des produits halal aux consommateurs occidentaux ; enrichissant au passage des réseaux islamiques via la rétribution qu’obtiennent les imams délivrant le label halal. Le tout alimente l’hostilité visant les Européens en finançant ainsi l’ »islamisme« . Si c’est ça le vivre-ensemble …
L’islam est l’instrument de ce putsch évolutif. Peu à peu, les libertés individuelles régressent tandis que la logique financière guide les gouvernements au détriment des Peuples d’Europe. La social-démocratie a d’ores et déjà été confisquée par l’oligarchie.
LE DJIHAD, C’EST LA GUERRE
Les attentats de novembre à Paris ont provoqué un choc collectif. Trop de gens se bornent cependant au compassionnel, de crainte d’être traités de racistes en fustigeant l’islam. Or, ce n’est pas du racisme de dénoncer un obstacle majeur au vivre-ensemble. En tout état de cause, critiquer une idéologie ou une religion est un droit.
Progressivement la parole se libère ; l’indignation citoyenne également. À tout le moins, le constat est partagé par une large majorité d’Européens : le fameux esprit du 11 janvier s’est avéré vain, futile, et l’autorité publique doit agir davantage.
Soudain, le microcosme s’agite. C’est à qui se montrera le plus ferme jusqu’au ridicule. Le Président SARKOZY fustige le manque de moyens alors qu’il est responsable de la suppression de milliers de postes de militaires et de policiers. JUPPÉ chante à l’unisson, aux côtés de Tarek OBROU (Frères musulmans). Le Président HOLLANDE et consorts en appellent à l’unité nationale, histoire d’éluder la critique, mais gageons qu’il n’y aura pas de gouvernement d’union nationale. Verba volens.
Laurent WAUQUIEZ, secrétaire général des RÉPUBLICAINS, propose que « les 4000 personnes vivant sur le territoire français, fichées pour terrorisme » soient « placées dans des centres d’internement anti-terroristes spécifiquement dédiés« . C’est une piste intéressante quoiqu’elle soulève certaines questions juridiques. Elle a déjà été mise en œuvre par une démocratie, les États-Unis. En décembre 1941, après Pearl Harbour, tous les citoyens américains d’origine japonaise avaient été préventivement internés dans dix camps au nom de la nécessité militaire. La loi martiale avait été établie. Cela s’est avéré efficace. L’arsenal juridique actuel doit être révisé, car le djihad, c’est la guerre.
LE SÉJOUR DE FACTO ASSURÉ
Tout un chacun est responsable des conséquences de ce qu’il a voulu. Les djihadistes ont pu perpétrer leurs crimes en s’appuyant sur des normes juridiques leur offrant le champ libre.
L’assouplissement du contrôle à l’immigration, sous prétexte de droit d’asile, a favorisé les flux de « migrants« . Les accords de Schengen doublés d’une insuffisance majeure de contrôle des frontières extérieures de l’Union européenne, cela transforme notre territoire en libre-parcours pour djihadistes.
La culture de l’excuse si répandue au sein de la magistrature lorsqu’il s’agit d’allochtones, c’est l’impunité assurée à de nombreux délinquants, souvent récidivistes, recrutés ensuite pour le djihad. La France a battu un record avec un délinquant réunissant … 177 condamnations. C’est dire qu’il se moquait de ses juges.
Et c’est avec raison que le Procureur Général BILGER avait invité quiconque souhaitait s’informer, à se rendre aux audiences dès juridictions correctionnelles afin d’y constater que la faune qui s’y trouve provient, à une écrasante majorité, de l’immigration musulmane. Une minorité dont sont issus tant d’individus hostiles qu’ils constituent la majorité des prisons, outre ceux qui bénéficient de sursis ou d’aménagements de peines, c’est indéniablement l’indice d’une inadaptation au vivre-ensemble.
La multiplication des recours en matière d’immigration, de surcroît aux frais du contribuable via l’assistance judiciaire, permet à celui qui franchit la frontière, même illégalement, de rester sur le territoire. La durée des procédures successives lui donne prétexte à prétendre ensuite qu’il s’est installé entre-temps, et obtenir ainsi le titre de séjour qui ne pouvait obtenir autrement. Quand il échoue en cela, il sait que rares sont les reconduites à la frontière.
LAXISME FAVORABLE AUX ACTIVISTES
De plus, lorsqu’il y a de telles reconduites, elles sont sans effet réel. Reconduite à la frontière, cela ne signifie pas retour au pays d’origine. En réalité, la France reconduit l’indésirable à la frontière belge, par exemple, tout comme la Belgique le reconduit à la frontière française. Ensuite, ce dernier n’a plus qu’à la franchir à nouveau dès que les forces de l’ordre ont le dos tourné. Summum de l’inefficacité, les reconduites se font à des frontières internes qui, comme telles, n’en sont plus pratiquement par l’application des accords de Schengen.
Au quotidien, l’autorité publique est laxiste sinon effacée et les règles sont dévoyées, à commencer par les dispositions de la Convention européenne des Droits de l’Homme. C’est au nom de la liberté religieuse que des activistes musulmans obtiennent la ségrégation dans des piscines, notamment. Or, c’est prohibé par la Convention européenne des Droits de l’Homme. Non seulement elle interdit la ségrégation comme toute forme de discrimination, mais elle exclut de son champ d’application quiconque poursuit un objectif contraire aux libertés fondamentales. Son article 17 est très clair à cet égard.
Tout ceci n’est qu’un modeste relevé non-exhaustif de l’ensemble des inepties de l’actuel système juridique en vigueur en Europe. Pas étonnant qu’il y ait problème. En toile de fond, il y a un profond problème de volonté politique. Au minimum, il faudrait traquer et réprimer systématiquement les activistes musulmans : ceux qui passent à l’acte et ceux qui y incitent. En réalité, leurs réseaux s’étendent ; bénéficiant de la complicité objective des partis traditionnels qui, de droite ou de gauche si tant est que cette étiquette ait encore un sens, sont tous interculturalistes. Après avoir concocté des lois attribuant droit de vote ou nationalité à leurs clientèles immigrées, ils s’ingénient à leur complaire. C’est naturellement de la haute trahison en ce que cela porte atteinte au fondement de l’État : le Peuple.
Maintenant, les courants de partis patriotes se développent dans toute l’Europe. Au sein des partis traditionnels, la nouvelle garde comprend mieux ce phénomène que les barons du microcosme. Chez LES RÉPUBLICAINS, par exemple, Laurent WAUQUIEZ propose l’internement des activistes repérés (fiche s) tandis qu’Alain JUPPÉ en est encore à s’acoquiner à Tareq OUBROU (des Frères musulmans). Le moment est venu pour eux de prendre la mesure du vent qui tourne. Tant pis pour les has been. Il faut impérativement traiter la question de l’islam en tout domaine par des mesures effectives renforcées par la répression nécessaire.
MESURES DE SÛRETÉ
L’urgence est d’abroger, dans les différents États européens, les actes de reconnaissance de l’islam au titre de religion. Il faut un signal clair aux communautés musulmanes. Rappelons que la charia n’est pas un accessoire extérieur à leur culte. C’est une partie intégrante de l’islam. Ce sont ses règles d’application. Pas de charia ; pas d’islam. Le port du voile ou l’alimentation halal, c’est de la charia. Et la Cour européenne de Strasbourg a dit pour droit que la charia était incompatible avec la Convention européenne des Droits de l’Homme.
La proposition de Laurent WAUQUIEZ a peu de chances, du moins à ce stade, d’être reprise par le microcosme. Elle n’est pourtant pas impossible à concevoir juridiquement. Le précédent américain visait des hommes au motif de leur origine japonaise ; une caractéristique indépendante de leur volonté. En l’espèce, il s’agit d’interner des personnes en raison d’actes qui relèvent doublement de leur volonté. D’une part, il y a leur adhésion à l’islam, comportement délibéré car la loi civile fonde la liberté de changer de religion ou de n’en avoir aucune de sorte que naître musulman n’impose pas de le rester. D’autre part, il y a les actes qui leur sont imputables et qui leur valent d’être inscrits en fiches s.
Sans doute est-il inhabituel d’interner sur base de soupçons et non d’un jugement, mais l’enjeu ici se compte en vies humaines. L’actuel système aboutit à des assassinats d’innocents commis par des suspects non inquiétés. N’est-ce pas davantage inadmissible de les condamner de facto à mort en laissant des activistes se mouvoir comme ils le veulent, et préparer leurs crimes à leur aise ? 129 tués à Paris, outre 352 blessés ; combien de victimes la prochaine fois qu’une fiche s ressortira ? Les donneurs de leçons en appelant aveuglement à la cohésion sociale feraient mieux d’y réfléchir.
Une alternative à de tels internements, proposée ces jours-ci, serait le port du bracelet électronique. Il ne suffit pas en ce qui concerne les condamnés de droit commun. Comment pourrait-il répondre efficacement aux besoins en matière de terrorisme musulman ? À l’évidence, ce n’est pas un bracelet qui gênera l’exalté désireux de se faire sauter.
RÉFLEXION JURIQUE PRAGMATIQUE
En tout état de cause, il importe de recruter militaires et policiers. Rappelons que ceux qui se targuent maintenant de vouloir agir en ce sens sont aussi ceux qui, Président SARKOZY en tête, ont réduit drastiquement les effectifs militaires et policiers.
L’art.15 de la Convention européenne des Droits de l’Homme autorise tout État à la suspendre pour ce qui le concerne en cas de « danger public menaçant la vie de la Nation« . Chaque État signataire peut ainsi s’affranchir de ce traité et agir comme il l’entend, souverainement. Si le Président HOLLANDE, entre autres, a évoqué des « actes de guerre » tandis que le Premier Ministre VALLS affirmait expressément l’existence de la « guerre« , c’est dire que l’article 15 trouve à s’appliquer. Et l’instauration de l’état d’urgence le confirme. Par conséquent, accroissons les mécanismes répressifs en vertu de l’art.15 de la Convention européenne des Droits de l’Homme.
Les agressions en perspective d’islamisation constituent un tel danger public dès lors qu’il s’agit de remise en cause de la Nation au profit d’une autre, l’oumma, la nation des musulmans. La superficialité incline le relativiste à n’y voir que la version musulmane de l’Eglise; c’est inexact: l’oumma sous-tend une exigence d’appartenance par priorité à toute autre, y compris l’État quand il n’est pas islamique. La prétention à la dominance est consubstantielle à l’islam, cette idéologie qui exige la soumission de tous à ses prescrits archaïques.
Indéniablement, il faut rapidement mener une réflexion pragmatique au sujet des mesures à prendre pour tenir en échec les velléités d’islamisation. Cela inclut le réexamen, la suspension ou la remise en cause de traités internationaux qui entraveraient cela. Mais ignorer que c’est l’islam la cause première, et inventer l’ »islamisme » pour l’éluder, cela revient à éteindre les flammes tout en entretenant la braise. Tôt ou tard, l’incendie reprendra. Nécessairement, il y a lieu d’éradiquer l’islam.
Les Européens n’ont que faire des croyances bédouines.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Philippe Chansay Wilmotte, Avocat au Barreau de Bruxelles, président de Valeurs Libérales Citoyennes, pour Dreuz.info.