VIDÉO | Jonathan Sturel : «Le public de Dieudonné a cessé de détester la France»

Dans cette vidéo, l’activiste Jonathan Sturel s’intéresse aux raisons qui poussent l’oligarchie à sévir contre Dieudonné et à tenter de décourager ses défenseurs en diabolisant l’humoriste. “Le public de Dieudonné a cessé de détester la France. (…) Maintenant, on ne déteste plus la France, on déteste les élites françaises. On a compris que ce sont les élites françaises”, explique-t-il. “Les élites qui, jusque là, participaient à cette grande récréation festive de détestation de la France, aux côtés de ces populations, se retrouvent maintenant montrées du doigt par ces populations-là”. La faute, notamment, à Dieudonné et Alain Soral. On comprend mieux que l’oligarchie tente par tous les moyens (pour l’instant légaux) de les faire taire…

Via EetR.

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286 Comments

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  • la Mésange , 20 décembre 2013 @ 19 h 55 min

    Précision : les juifs sont les responsables HISTORIQUES de la Crucifixion. Comme tel, le peuple juif est bien déicide (au même sens que chaque homme est entaché du péché originel par l’héritage d’Adam et Eve) et ce même si ce ne sont évidemment pas les juifs du 20ème siècle qui ont historiquement tué NS.

    En revanche, chaque pécheur a également le sang du Christ sur les mains, non dans un sens “historique” à proprement parler, mais dans un sens MYSTIQUE.

    Concernant votre remarque sur le sens de sémitique, vous n’avez pas compris la question. C’est une question de “implique” ou “équivalent”, de la logique mathématique pure.

    Je vais essayer d’expliquer plus simplement : tout juif est un sémite, mais tout sémite n’est pas forcément juif.
    Donc “être juif” implique “être sémite”, mais “être sémite” n’implique pas “être juif”. On dit alors que “être sémite” et “être juif” ne sont pas des propositions équivalentes.

    Par conséquent, “être antisémite” ne signifie absolument pas “être hostile aux juifs” ! C’est pourquoi le mot antisémite ne veut absolument rien dire !
    Il est d’ailleurs d’invention récente.

    Pour bien dire correctement les choses, il faudrait distinguer plusieurs types d'”hostilite” ou de réprobation :
    – l’anti-judaïsme
    – l’anti-talmudisme
    – l’anti-sionisme
    …et il est possible que j’en oublie !

    J’espère vous avoir éclairé sur ce point de logique.

  • la Mésange , 20 décembre 2013 @ 19 h 58 min

    Vous n’étiez pas au courant ? C’est assez connu pourtant dans nos milieux. Vous pouvez faire une recherche sur google, en tapant quelquechose comme “islam création juive”, il y a des dizaines de choses intéressantes à lire.

    Sinon, un blog ami de mon site a écrit ça, qui est pas mal du tout niveau explications :
    http://bibliothequedecombat.wordpress.com/2013/02/03/les-origines-talmudiques-de-lislam/

  • la Mésange , 20 décembre 2013 @ 20 h 05 min

    Le problème n’est pas tant qu’on nous force à être ceci ou cela, le problème est l’identité d’une nation. La France est catholique, et ne peut exister qu’en tant que telle.

    Comme j’ai dit une fois, mettez un kg de pommes dans un clafoutis et le clafoutis devient… une tarte aux pommes.
    Qu’il y ait quelques juifs, quelques boudhistes, et quelques mahométans en France, d’accord, mais tt est une question de proportions, vous voyez ?

    De plus vous aurez beau dire, talmudistes et mahométans ne peuvent nier que leur but est d’éradiquer les “‘infidèles”, par la conversion ou par l’épée. Cela est proclamé à toutes les pages aussi bien du talmud que du coran ! Il faut assumer, un peu.

  • la Mésange , 20 décembre 2013 @ 20 h 07 min

    Antisémite est un mot qui n’a pas de sens, Marie.
    Le vrai terme est anti-judaïque, ou bien anti-talmudique, selon les cas.

  • mariedefrance , 20 décembre 2013 @ 20 h 18 min

    anti-judaïsme en effet est plus exact.
    vous avez raison La Mésange.
    Mais nous savons bien de quoi nous parlions…

    J’ai mal.
    Je quitte le débat.

    Merci à vous pour votre tempérance.

  • josepha , 20 décembre 2013 @ 20 h 26 min

    je ne sais pas si ce que vous rapportez sur Cremieux est vrai car les antisemites n’en seraient pas à leur coup d’essai de calomnies. Cependant etudions le contexte sans quoi une déclaration est incompréhensible. Par exemple ceci; lu sur wikipedia:
    “Développement historique

    L’impossibilité imposée aux Juifs d’engager un procès contre un chrétien, remonte à l’empereur byzantin Justinien, qui déclarait que ni les Juifs, ni les hérétiques ne sont autorisés à témoigner contre des Chrétiens….

    Cependant, il existait toujours de vieilles lois qui prescrivaient certaines pratiques, dans l’unique but de se moquer des Juifs devant la cour. Les exemples ci-dessous illustrent le type d’humiliations qui accompagnaient le serment :

    Empire byzantin, Xe siècle : le Juif doit prêter serment avec une couronne d’épine autour de ses reins, se tenir dans l’eau et jurer par Barase Baraa (Bereshit Bara), de façon que s’il ne dit pas la vérité, il soit avalé par la terre juste comme Dathan et Abiron dans le Livre des Nombres, chapitre 15-17, nombres 16:1-27 ;
    Arles (vers 1150) : une guirlande d’épines est enfilée autour du cou du jureur, tandis que d’autres branches d’épines entourent ses genoux et qu’une branche de cinq aunes de long est placée entre ses reins, pendant qu’il jure et qu’il appelle sur lui-même toutes les malédictions de la Torah ;
    Souabe (XIIIe siècle) : le Juif doit prêter serment en se tenant debout sur une peau de truie ou d’agneau ensanglantée ;
    Silésie (1422) : Le Juif doit se tenir debout sur un tabouret à trois pieds et payer une amende à chaque fois qu’il tombe. S’il tombe quatre fois, il perd son procès ;
    Dortmund : le Juif paye une amende à chaque fois qu’il s’arrête en répétant le serment ;
    Verbo, Hongrie (1517) : le Juif doit se tenir debout, pieds nus et jurer sa face tournée vers l’est, en tenant le Pentateuque dans les mains ;
    Breslau (désormais Wrocław) (vers 1455) : le Juif doit se tenir tête nue et prononcer le nom de Yahweh. Cette obligation est contraire à la loi juive, qui impose de porter en permanence un couvre-chef et de ne jamais prononcer le nom de Dieu.

    Exemple : le serment à Francfort

    Les formules suivantes, rédigées originellement en moyen-haut allemand, étaient utilisées à Francfort-sur-le-Main vers l’année 1392 en cas d’accusation de vol1 :

    « Le Juif doit se tenir debout sur la peau d’une truie, et les cinq livres de Maître Moïse doivent être posés devant lui, et, sa main droite jusqu’au poignet posée sur le livre, il doit répéter après celui qui préside, le serment des Juifs.

    Le serment comme entrave pour les Juifs

    Un changement particulièrement agressif a lieu en 1555, lorsqu’une procédure de la cour fédérale allemande (Reichskammergerichtsordnung) prescrit une forme de serment qui avec quelques altérations, servira pour les législations suivantes. Les termes sont horribles, celui qui prête serment doit appeler sur lui-même toutes les malédictions du Lévitique et du Deutéronome, les dix plaies d’Égypte, la lèpre de Naaman et de Guéhazi (voir Deuxième livre des Rois 5), le sort de Dathan et d’Abiron, etc.

    Au XVIIIe siècle, le grand philosophe juif allemand Moses Mendelssohn de l’âge des lumières narre dans Gesammelte Schriften (Écrits rassemblés), comment il réussit à persuader le gouvernement prussien de modérer les termes du serment. Les petits états allemands allaient alors graduellement supprimer les termes les plus inadmissibles du serment : Hesse-Cassel, en 1828 ; Oldenbourg en 1829 ; Wurtemberg en 1832 ; Saxe en 1839 et pour cette occasion, le rabbin Zecharias Frankel publia son fameux Die Eidesleistung (prestation de serment) ; Schaumbourg-Lippe et Anhalt-Bernbourg en 1842 ; Hesse-Homburg en 1865.

    La Prusse garda les formules odieuses jusqu’au 15 mars 1869, les Pays-Bas modifièrent le serment en 1818, la Russie en 1838 et 1860.

    La Roumanie ne supprima ce serment controversé que très tardivement, en 1902.
    Le serment judiciaire pour les Juifs en France

    Sous l’Ancien-Régime, dans les procédures judiciaires, les personnes appelées à témoigner devaient prêter serment de dire la vérité devant un crucifix qui était présent sur les murs de tous les auditoires. Pour les témoins de confession juive, ce serment se faisait avec la même formule, mais la tête couverte et sur une bible hébraïque.

    Sous la Révolution, le serment sur le crucifix ou sur la bible a été transféré vers l’Être Suprême, puis complètement supprimé lorsque l’athéisme est devenu religion officielle, puis à nouveau rétabli par Napoléon sous le Premier-Empire, à la suite de la restauration de l’autorisation de pratiquer les cultes religieux traditionnels (signature du Concordat et lois instituant les consistoires israélite et protestant).

    L’avocat juif Adolphe Crémieux acquit une grande renommée en obtenant à nouveau l’abolition du serment en France, en conséquence d’un procès tenu au tribunal de Nîmes en 1827.

  • josepha , 20 décembre 2013 @ 20 h 37 min

    mariedefrance: ça fait plaisr que la France intelligente et tolerante se manifeste parfois.Mais internet rime trop souvent avec idées pas très nettes.
    Enfin! faut faire avec, à defaut de faire sans.MAis le pb est qu’eux veulent faire sang.
    je me retire aussi. ml

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