“C’est une perruque ?”, demande Beth Ditto. Dans la chambre d’hôtel où elle vous reçoit, l’ex-chanteuse du groupe Gossip examine très minutieusement la photo de Brigitte Macron sur la couverture du n° 2742 de “l’Obs”. Ne serait-ce que par patriotisme, vous détrompez l’artiste. “Si, si, elle porte une perruque, répète la ronde superstar dans sa robe-tunique de satin brillante et bigarrée. Ce n’est pas de problème”, poursuit-elle dans un approximatif et adorable français, avant d’ajouter en anglais : “J’adore les perruques…”(Source L’Obs)
Vous apprécierez la conception du patriotisme de Fabrice Pliskin, journaliste de L’Obs: taire, nier, (dé)tromper d’une évidence… Et c’est bien la même que pratiquent tous les médias quant à des sujets beaucoup plus importants, en dénigrant de plus la France et Les Français!
Toutefois, ce monsieur, aurait pu, à l’instar de ses consoeurs des magazines féminins qui ne cessent de s’extasier devant l’icône de mode Macronella, ses sacs, ses lunettes, ses chaussures, ses poils de tête… sans jamais oser la moindre allusion au fait que ses cheveux sont chinois ou indiens mais surtout pas d’origine.
Parce qu’il est le patron de la start up France et qu’il l’a promue Première dame, lui octroyant une charte assortie, il nous faut, en plus de les entretenir somptueusement et de le salarier grassement; les trouver beaux et séduisants, alors qu’ils ne sont ni l’un ni l’autre.
C’est très dangereux de trop plagier les Ceaussescu!