Voulant par tous les moyens faire accepter l’islam et toujours plus de musulmans aux Français, Plenel ose tout.
En 1896, en pleine affaire Dreyfus, Zola publiait un texte « Pour les juifs », quelque temps avant son inoubliable « J’accuse ». Notre Plenel ne pouvait pas faire moins, et sort ce jour « Pour les musulmans ». Pour justifier sa défense de l’islam et de ceux qu’il estime les boucs émissaires de la société française, il nous fait, entre autres, le coup des juifs et celui de l’Algérie.
Le premier parallèle est sordide. Plenel ose comparer le sort des juifs, sous Vichy, à celui réservé aujourd’hui aux musulmans dans notre pays et en Occident. C’est une relativisation de la barbarie nazie, et signifie que, finalement, Hitler et ses complices n’ont pas été bien méchants. C’est occulter, d’autre part, le fait que c’est au nom de l’islam que se perpétue, ce jour, la haine des juifs, comme on l’a vu récemment à Barbès ou à Sarcelles. Et, n’en déplaise à l’enfumeur de Médiapart, dans nombre de pays musulmans, Mein Kampf demeure le livre le plus vendu. En France, « l’intégralité » des agressions antisémites ne vient pas des militants du FN (quel dommage, n’est-ce pas, Edwy ?), mais de jeunes Maghrébins, comme a dû le reconnaître, les larmes aux yeux, le président de la Licra, au lendemain des crimes de Merah.
Faut-il rappeler à l’ancien rédacteur en chef du Monde que les juifs, dans les années 1930, n’organisaient pas d’attentats aveugles, et qu’ils n’étaient pas majoritaires dans nos prisons ?
Mais voulant par tous les moyens faire accepter l’islam et toujours plus de musulmans aux Français, Plenel ose tout. « Pour la France, être le premier pays musulman d’Europe est une chance », glapit-il sur RMC, invité par Bourdin. Donc, de plus en plus de voiles islamiques, de mosquées, de halal, de ramadan, de communautarisme et de violences musulmanes (Kelkal-Fofana-Merah-Nemmouche…), c’est une chance pour nos compatriotes ! On se demande pourquoi 74 % d’entre eux jugent cette « chance » incompatible avec les valeurs de notre pays. Sans doute des racistes endoctrinés par Finkielkrault ! Et il ose ajouter : « La présence des musulmans en France est le résultat de notre projection, car nous nous sommes invités chez eux sans demander l’autorisation. »
Toute l’idéologie de Plenel est résumée par cette phrase crapuleuse, où il relaie sans vergogne la propagande mensongère du FLN et de ses complices français. Rien sur la fin de l’esclavage des chrétiens par les musulmans, grâce à l’arrivée de l’armée française en 1830. Rien sur l’apport du colonialisme, sur la barbarie du FLN contre nos soldats, nos compatriotes et nombre d’Algériens, dont les harkis en 1962.
Pour le patron de Médiapart, la France doit faire repentance de Vichy, de l’Algérie et sur tout. Elle doit demander pardon d’avoir été un pays admiré dans le monde entier. La France qu’il aime, et qu’il appelle de ses vœux, c’est une France SOS Racisme métissée, où les Français d’origine sont devenus miroritaires, voire ont disparu.
Cet homme est le fils d’un vice-recteur qui soutenait une poignée d’indépendantistes martiniquais. Il fait partie d’une génération qui, depuis mai 1968, détruit méthodiquement la France, en sapant ses édifices, en lui imposant, outre une inversion permanente des valeurs, une immigration de masse qui prépare un remplacement de population et un changement de civilisation. Il est l’héritier de ceux qui se vantent d’avoir été des porteurs de valises du FLN en Algérie.
Hostiles à l’Algérie française, ils réclamaient l’Algérie algérienne. Cela fut fait, avec le résultat que chacun constate. Cinquante ans plus tard, le camarade Plenel milite ouvertement pour une France musulmane.
Bref, il poursuit une guerre d’Algérie puissance dix, sur le territoire français, et se comporte pour cela en porteur de valises de l’islam.
Lu sur Boulevard Voltaire