Les dons de sperme en baisse à cause des revendications LGBT

Il n’y a plus que 200 donneurs de sperme en France contre le double en 2009. Le Pr Jean-François Guérin, responsable du Cecos de Lyon, explique disposer de son côté d’une dizaine de donneurs contre une vingtaine il y a trois ans, pour 200 à 300 demandes de couples chaque année. Autant dire que la liste d’attente ne cesse de s’allonger. La faute au débat sur le maintien de l’anonymat du donneur, mais pas seulement. « L’ouverture de la question du don accessible aux couples de même sexe a pu gêner les donneurs”, explique Jean-François Guérin. “Un petit nombre nous a écrit pour dire qu’ils ne souhaitaient pas que leurs gamètes soient utilisés pour des couples homosexuels. Et d’autres appellent pour nous faire part de leurs interrogations.”

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66 Comments

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  • Yaki , 21 septembre 2013 @ 22 h 42 min

    Forcément, quand on défend des idées différentes des vôtres, on est un propagandiste rémunéré !

    Et vous devriez lire ce qu’écrive les gens, au lieu de tourner en rond: l’anonymat est certes un problème, mais je n’ai pas vu grand monde bouger tant que le don était réservé à des couples hétéros. Il y a eu quelques émois, mais minimes et qui n’ont pas duré très longtemps. Pas de manifs dans les rues pendants des mois.

    Ensuite vous partez dans des délires qui ne ne méritent même pas d’être relevés.

  • Yaki , 21 septembre 2013 @ 22 h 48 min

    Et presque à chaque fois, si on remet la phrase dans son contexte, avec les autres éléments du discours, les propos qui paraissent durs sont expliqués et deviennent normaux.
    Encore faut-il faire cet effort intellectuel. Mais on parle parle de quelqu’un comme d’une “pourriture”, pas facile d’être honnête intellectuellement sur ce qui se rapporte à cette personne.

  • Daniel , 22 septembre 2013 @ 11 h 37 min

    “Forcément, quand on défend des idées différentes des vôtres, on est un propagandiste rémunéré !”

    Vous vous perdez dans vos amalgames et préjugés.

    Que nous ayons des approches et sensibilités politiques, est un fait, mais vous abusez de ce constat de fait pour essayer de nous faire croire que le problème de l’anonymat n’en serait pas un, ou serait infiniment minime, et qu’il ne prendrait de l’importance qu’en raison de la confrontation autour du mariage pour les homosexuels

    Vous vous y perdez tellement que quand bien même j’exclurais de toute argumentation la question du mariage homo et ne focaliserait que sur celle de l’anonymat, VOUS vous efforceriez de revenir à la dialectique “pour ou contre” le mariage homosexuel quand bien même le sujet principal serait la question de l’anonymat. Le mélange des genres ne plaît qu’à celles et ceux qui veulent entretenir la confusion ,faute de trouver les idées plaidant en leur faveur.

    La question de l’anonymat prend une ampleur vigoureuse, certes, avec la question du mariage homo, pour un fait des plus simples.

    Si un enfant se trouve en face de ses parents biologiques, cet individu ne pourra jamais contester, la filiation naturelle – biologique – qu’il y a entre lui et ses parents, comme issu du patrimoine génétique de ces deux personnes. Cet enfant pourrait être en mauvais terme ou mauvaise relation avec ses parents naturels, il n’empêche que l’enfant sait qu’il s’agit de ses parents.

    A l’inverse, un enfant élevé par des parents virtuels, même s’ils considèrent, dans le meilleurs des cas leur parents virtuels comme leurs propres parents (et des plus improbables, car vous ne connaissez pas ces enfants; car vous en parlez sans les connaître, c’est dramatique de voir des gens parler au nom de ces enfants sans les connaître, cela fausse déjà toute légitimité de parler en leur nom) , ces enfants savent que leurs parents biologiques restent leur véritables parents, ils savent que c’est la réalité dont ils sont issus.

    Je dis bien dans le meilleur des cas, c’est à dire à peine 3%. L’immense majorité d’entre eux ne reconnaissent pas leurs parents virtuels comme leur propre parent. Ouvrez vous un peu sur le monde, et rencontrez en . Vous verrez et comprendrez ce qu’endure des enfants qui ne connaissent pas leur mère, ni leur père, ou à qui la vérité fut cachée. La plupart d’entre eux subissent aussi des pressions d’ordre sociales, familiales, et psychologiques, de la part de leur famille virtuelle, pour que ces derniers n’entreprennent pas la moindre démarche pour recouvrir à leur véritable filiation naturelle.

    Qu’est ce qui est plus violent sentimentalement parlant , La reconnaissance en paternité naturelle ou la contestation de la paternité virtuelle ? (notamment dans le cadre de ces hommes qui reconnaissent faussement la paternité sur des enfants qui ne sont pas les siens juste pour avoir le droit de se marier avec leur nouvelle compagne, où on se retrouve avec des gamins à qui ont a imposé un patronyme qui n’est pas le leur, à qui ont les a privé de pouvoir être reconnu par leur véritable parent… )

    Y a pas photo. Quand un individu, ayant fini ses études, ayant trouvé un travail, celui – ci peut prendre sa vie en main. Celui – ci peut commencer à dire merde à sa famille virtuelle car il devient indépendant, financièrement parlant. Et quand l’individu effectue une procédure en contestation en paternité, ce n’est pas l’enfant qui souffre, mais bien les parents virtuels et encore plus la famille virtuelle qui rentre en état de guerre contre l’individu. La crise, elle est dans la famille virtuelle, tout avait été faussé dès le début dans la mesure où l’individu fut l’objet d’une fausse reconnaissance, de la même manière qu’on conclut des accords contractuels avant un mariage/

    Cette procédure est une libération pour l’individu, qui avait fait l’objet d’une fausse déclaration pour les intérêts de parents virtuels irresponsables. Il faut compter quelques années et des milliers d’ euros de procédure de contestation. La reconnaisse s’est faite rapidement en mairie.

    Et vous osez prétendre que cela ne dérange personne ?

    Alors oui, après réflexion, pourquoi peut on également être opposé au mariage homo ?

    Considérant que ce problème est déjà un grave problème, rien que pour les familles hétéro, il est évident qu’on ne peut être opposé à l’égard de tout fait de société qui risque encore plus de l’aggraver. Le mariage homo en fait parti, l’accouchement sous X aussi.

    J’irais même jusqu’à dire qu’il faut prélever l’ADN de tout le monde et constituer une gigantesque base de donnée universelle : comme cela aucun parent ne pourra échapper à sa filiation naturelle. La science nous permet de nous sortir du moyen age suite aux relations adultérines, libertines ou de compagnonage, mais elle va également nous permettre de sortir face à la déchéance des moeurs et des unions issues du délire de l’esprit humain (mariage homo, trans, …)

    Et c’est bien ce qui se produira un jour : une base ADN universelle, un droit de filiation naturelle universel sans délais de prescription.

    C’est vous qui êtes en retard, c’est vous qui êtes au Moyen Âge. moi, je suis chrétien et bien plus progressiste que vous.

  • Dōseikekkon , 22 septembre 2013 @ 12 h 34 min

    Daniel :
    « “Rappel : ces contestations, de
    manière générale, ne sont pas
    possibles en cas de filiation
    établie par adoption.”
    Un rappel que vous pouvez toujours
    vous envoyez sous forme de
    quenelle, un rappel d’autant plus
    risible et illusoire qu’il
    démontre que vous ne connaissez
    rien à la pratique du droit. »

    Puisqu’il est élégamment question de quenelle…
    Les articles du code civil qui réglementent les contestations de la filiation font l’objet des articles 310 à 337.

    Or, l’art. 6-1 s’énonce ainsi :
     Le mariage et la filiation
    adoptive emportent les mêmes
    effets, droits et obligations
    reconnus par les lois, à
    l’exclusion de ceux prévus au
    titre VII du livre Ier du présent
    code, que les époux ou les
    parents soient de sexe différent
    ou de même sexe.

    à l’exclusion de ceux prévus au titre VII du livre Ier du présent code, c’est-à-dire, exactement… les articles 310 à 337.

    Daniel (bis) : « Votre
    raisonnement consiste à dire que
    si ce problème n’agissait pas dans
    la question du mariage homo, ce
    problème serait supportable pour
    la société. »

    Non.
    En fait de raisonnement il s’agit d’abord d’un fait d’observation : depuis des décennies les rues de France & de Navarre sont – peu ou prou – calmes ; en tout cas on n’y voit pas défiler tous les 3 mois des centaines de milliers de personnes pour que cesse enfin cette horreur de la dissimilation des origines pour les enfants adoptés, nés sous X, etc.
    En revanche, depuis 1 an environ que cette question du mariage des couples de même sexe fait l’actualité, on voit ces centaines de milliers d’ex-baillonnés défiler et rugir à qui mieux-mieux que cette loi mettra les enfants en grand péril, etc.
    Nous sommes donc nombreux à nous étonner que, pour ces braves âmes emplies de sollicitude à l’endroit des plus faibles, la protection de ceux-ci n’ait pas auparavant mérité les tapage & actions incessantes dont ces derniers mois nous ont fourni le spectacle.
    Avouez tout de même que la tentation est grande, qui pousse à imaginer que ce qui a fait sortir de leurs gonds toutes ces troupes – officiellement : la défense des innocents – avait peut-être des motivations moins avouables.
    Enfin, je dis ça… Je ne demande qu’à être détrompé.

    Daniel (ter) : « l’enfant élevé
    par un couple saura tout de suite
    qu’il lui manque l’un de ses
    véritables parents biologiques, à
    la différences des enfants élevés
    dans des couples hétéro, où la
    vérité est caché et renseignée
    bien des années plus tard. »

    Vous postulez de façon fort péremptoire que les enfants adoptés souffrent d’un manque de connaissance de leurs parents biologiques. Cela arrive parfois mais n’est pas la règle. Il arrive aussi que les parents adoptifs encouragent le maintien de liens avec les parents biologiques quand ceux-ci sont encore vivants, et il arrive aussi que l’enfant refuse d’avoir quelque contact que ce soit avec ceux qui l’ont engendré.
    Il arrive aussi parfois que des enfants, quoiqu’élevés par leurs géniteurs, maudissent l’univers de leur avoir des parents de merde (mais c’est une autre histoire).
    Quant à ce qui fait souffrir ces enfants adoptés, il me semble que c’est davantage le secret dont on a entouré leur arrivée, la fiction qui leur fut imposée – par facilité – que leurs parents adoptifs les avaient engendrés, et dont la découverte tardive est vécue comme un mensonge. Clairement, un enfant adopté par un couple de même sexe ne sera jamais exposé à cette tromperie pathogène.

    Pour le reste (les têtes au bout de piques, les familles ensanglantées, les fusils de chasse et les tabassages de grands-parents), ainsi que l’observe Yaki, vous sombrez dans le délire, et on ne saurait trop vous conseiller de mettre un bémol sur vos lectures du Nouveau Détective et sur l’intégrale en DVD de Faites entrer l’accusé.
    Et, au lieu de vous monter le bourrichon sur des spéculations bien hasardeuses, prenez donc la peine de savoir à quoi ils ressemblent les enfants élevés par des couples de même sexe :
    http://www.youtube.com/watch?v=l5xYVi1_cBs

  • Dōseikekkon , 22 septembre 2013 @ 13 h 01 min

    Daniel : « Le droit à l’enfant de connaître ses origines est un droit sacré, toute personne s’y opposant mérite la peine de mort. »

    Vous êtes encore trop bon !
    Je propose qu’on leur crève d’abord les yeux et qu’on leur arrache la langue, avant de les précipiter sur le bûcher.
    Histoire de leur apprendre à vivre !
    Nooon mais…

  • Dōseikekkon , 22 septembre 2013 @ 13 h 04 min

    DN : « son sperme pour pouvoir manger ? »

    Bon appétit !

  • Daniel , 22 septembre 2013 @ 19 h 21 min

    Primo : sur le droit : vous confirmez donc que vous ne connaissez rien à la pratique du droit.

    Maîtriser le droit ne se résumer pas à compiler les règles de droit, ni à savoir les appliquer suivant une stratégie déterminée. La pratique du droit veut aussi qu’une décision judiciaire soit jugée, en 1ère instance et en appel, sur le fait et sur le droit, c’est le magistrat qui décide.

    Et dans le droit, il n’y a pas que les règles légales (la loi), mais aussi les principes juridiques, la doctrine, et pas mal d’autres éléments.

    Un magistrat statue entre les bien des individus ( ici l’enfant ) et celui des familles.

    Si la situation de fait en arrive qu’il n’existe aucune vie familiale, que l’enfant s’est toujours comporté de manière à rejeter sa famille virtuelle, le magistrat verra que l’intérêt de l’enfant prime sur celui d’une famille qui n’en a jamais été une.

    Après, on peut aller en cassation et ne juger que sur le droit. Mais, généralement, des parents virtuels n’iront jamais en appel ou en cassation pour imposer à un enfant qui les rejette leur propre filiation. Généralement, par la procédure de contestation, les parents sont assez déchirés sur le plan psychologique, qu’ils ne seront sur en mesure de faire quoi que ce soit.

    Et même si en droit on impose une filiation légitime non naturelle à des gamins, que feront les parents si :
    – l’enfant change d’adresse, ne donne plus de nouvelles , et précise , en cas de recherche, qu’il ne veut plus être contacté
    – l’enfant fonde lui même une famille, a lui même des enfants, mais interdit les grands parents de connaître les petits enfants
    – l’enfant part dans un autre pays où la législation est différente et change de patronyme, fait établir une autre filiation
    – plus rigolo : on fait 5 ans à la légion étrangère, et après on peut demander à faire changer notre état civil ( nouvelle identité, nouvelle filiation, nouvelle nationalité … )

    Vous vous IMPOSER une filiation à des gosses qui le rejette ?
    Bien, il existe des milliers de possibilités de pourrir la vie des parents virtuels.
    Est ce donc la malheur des gens qui vous intéresse ?
    Le magistrat cherchant la stabilité sociale, il y a aucune raison d’imposer à un gamin des parents qui ne sont pas les siens.

    Daniel (bis) :

    “Nous sommes donc nombreux à nous étonner que, pour ces braves âmes emplies de sollicitude à l’endroit des plus faibles, la protection de ceux-ci n’ait pas auparavant mérité les tapage & actions incessantes dont ces derniers mois nous ont fourni le spectacle.”

    Oui, mais dans le lot, il y avait déjà des gens qui étaient révoltés contre ce que vous nommez “cette horreur de la dissimilation des origines pour les enfants adoptés, nés sous X, etc.”
    Que cet argument ai été repris par les opposants au mariage homo, est une chose, et peut être qu’en raison de cette dérive, et bien cette question antérieure pourra aussi être traitée.

    Daniel (ter) : “Vous postulez de façon fort péremptoire que les enfants adoptés souffrent d’un manque de connaissance de leurs parents biologiques. Cela arrive parfois mais n’est pas la règle”

    C’est bizarre , ce n’est pas le cas de tout ceux que je connais.
    Vous avancez encire sur du vide.
    Ce n’est pas Parfois, mais Tout le temps
    Toutes celles et ceux que j’ai rencontré sur ce sujet disaient la même chose.
    Vous, vous en connaissez ? Non.

    “Quant à ce qui fait souffrir ces enfants adoptés, il me semble que c’est davantage le secret dont on a entouré leur arrivée, la fiction qui leur fut imposée Clairement, un enfant adopté par un couple de même sexe ne sera jamais exposé à cette tromperie pathogène”

    C’est un élément supplémentaire.

    Généralement, un enfant va plutôt se poser une immensité de questions sur les raisons qui ont contribué à faire en sorte que son propre parent biologique ne l’ai pas élevé. Un mélange de frustrations, de haines, de révoltes, parfois menant à la dépression, voir des tentatives de suicide ou parfois même des formes de tentatives de suicide social, un manque d’intégration, sans compter tout ce que l’imaginaire peut faire naître, en se disant que tel ou telle inconnu(e) rencontré(e) dans la rue pourrait être un parent biologique, qu’il se peut qu’on ai des soeurs ou des freres.

    Les cabinets de psychologues sont remplis d’affaires de ce genre, et faut dire que le chiffre d’affaire est aussi fondé sur ce type de problèmes.

    “vous sombrez dans le délire, et on ne saurait trop vous conseiller de mettre un bémol sur vos lectures du Nouveau Détective et sur l’intégrale en DVD de Faites entrer l’accusé.”

    De quel délire parlez ? De celui dans lequel l’adolescent a été placé en garde à vue, car la police a du intervenir , pour protéger la famille virtuelle ? Comment pouvez vous m’insulter en qualifiant cela de délire ? Sur quelle preuve et élément tangible vous vous fondez ? Ce n’est pas un délire qu’à l’age de 16 ans , dans un cas d’un individu qui existe, et d’une preuve que j’ai , là, sous la main, concrêtement, cet individu a du habiter dans une résidence universitaire, sous ordre d’un magistrat, que cet individu a travaillé dès l’âge de 16 ans tout en réussissant son bac et par la suite à financer ses études.

    Ce n’est pas de l’ebrouffe ni du bleuf consistant à faire peur.

    Allez vous ouvrir sur le vrai monde :

    Pour les nés sous X http://adonx.free.fr/fichnesx.php

    Pour les victimes des fausses reconnaissance en paternité, allez lire des témoignages :
    https://www.google.fr/#q=contestation%20paternit%C3%A9%20d%C3%A9lai

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