Les dons de sperme en baisse à cause des revendications LGBT

66 Comments

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  Auditeur Libre , 20 septembre 2013 @ 0 h 10 min

  Les “donneurs” ne sont que des branleurs auto-cocus par fantasme immature. Cette effrayante entreprise de dé-responsabilisation a commencé en 1973 en France, le 40e anniversaire du 1er CECOS aurait dû susciter une manifestation sous ses congélateurs dans un pays autre que de “veaux élevés sous la mère” …
  L’excellent film canadien (du Québec) STARBUCK, très mal distribué en 2012 par censure rampante en France, illustre bien la calamité anthropologique que constitue cet avilissement quasi-vétérinaire de la puissance procréatrice masculine, sous la forme d’un conte philosophique touchant et convaincant.
  L’ADN démontre la bio-parité voulue soit par le dieu du croyant, soit par l’être suprême du maçon athée, soit par le hasard fécond selon l’agnostique. A cette aune un utérus ne vaut pas plus qu’un testicule, surtout quand la médecine et la technique et le droit social ont presque compensé à 100% les risques naturels liés à la grossesse et la parturition. La hiérarchie psycho-politico-juridique entre F et M a disparu des mentalités, mais la bio-complémentarité de F et de M reste un invariant à la légitimité absolue. La prêtresse de la famille décomposée et du faux-père dit beau-père, Irène Théry, pour tenter de justifier les quérulences psychopathologiques du lobbyscule LGBT+P, veut fustiger la “complémentarité hiérarchique des sexes” pour forcer à amalgamer les deux termes complémentarité et hiérarchie : c’est un procédé de manipulation mentale digne de Moscou car se débarrasser du préjugé hiérarchique comme le fut l’inéquation M>F n’implique absolument pas ipso facto de renoncer à la Belle Complémentarité !
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  Daniel , 20 septembre 2013 @ 2 h 31 min

  Tout à fait !

  Le branleur-donneur donnait auparavant son sperme car il savait que cela allait vers des couples hétéro, donc, pas trop de risques.

  Mais vu que cela va servir des couples homosexuels, le gamin va tout de suite comprendre qu’il lui manque son père biologique

  Le gamin pourra se retourner vers son père biologique , ce qui signifie, qu’il pourra :
  demander une aide financière s’il est mineur au titre alimentaire
  exiger une reconnaissance en filiation. cela signifie que les branleurs donneurs, si ces derniers ont construit une famille quelques années plus tard, vont se retrouver avec un gosse à gérer, alors question stabilité familliale…
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  Dōseikekkon , 20 septembre 2013 @ 2 h 58 min

  Le recours aux gamètes
  d’un même donneur ne peut
  délibérément conduire à la
  naissance de plus de dix
  enfants.

  (Art. L1244-4 du code de la santé publique.)
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  Dōseikekkon , 20 septembre 2013 @ 3 h 00 min

  monhugo : « Je reviendrai
  (peut-être) sur ce que vous voudriez (…) »

  Caramels, bonbons & chocolats…
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  Dōseikekkon , 20 septembre 2013 @ 3 h 22 min

  Daniel : « faire un gosse et
  aller se planquer derrière
  l’anonymat, ceci juste pour
  quelques billets de banque. »

  Vous délirez.
  « Aucune rémunération ne peut
  être allouée à celui qui se
  prête à une expérimentation
  sur sa personne, au
  prélèvement d’éléments de
  son corps ou à la collecte de
  produits de celui-ci. »
  (Code civil, art. 16-6)

  « Aucun paiement, quelle qu’en
  soit la forme, ne peut être
  alloué à celui qui se prête
  au prélèvement d’éléments de
  son corps ou à la collecte de
  ses produits.
  Les frais afférents au
  prélèvement ou à la collecte
  sont intégralement pris en
  charge par l’établissement de
  santé chargé d’effectuer le
  prélèvement ou la
  collecte. (…) »

  (Code de la santé, art. L1211-4)
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  Dōseikekkon , 20 septembre 2013 @ 3 h 44 min

  Auditeur Libre :
  « Irène Théry (…) veut
  fustiger la “complémentarité
  hiérarchique des sexes” pour
  forcer à amalgamer les deux
  termes complémentarité et
  hiérarchie »

  Pour ce que j’en ai lu, I. Théry n’a employé cette expression que pour sa description du mariage dans l’histoire, du temps où homme & femme avaient des rôles et des droits fortement dissymétriques.

  Par exemple, à propos du mariage civil institué par le Code Napoléon au début du XIXe :
  « (…)
  le mariage lui-même était
  organisé selon un principe de
  complémentarité hiérarchique
  des sexes, au sens que
  l’anthropologue Louis Dumont a
  donné à la notion de
  hiérarchie pour la distinguer
  de l’inégalité : englobement
  de la valeur contraire.
  Seul l’époux représentait le
  couple et même la famille
  conjugale dans son entier (c’est
  pourquoi l’homme avait seul le
  droit de vote). Il devait à son
  épouse “protection”, elle lui
  devait “obéissance”. L’homme
  était l’unique chef de la
  famille, à travers le double
  mécanisme de la puissance
  maritale et de la puissance
  paternelle.
  En un mot, le mariage civil
  institué par le Code Napoléon,
  premier code civil des
  Français, était l’institution
  sociale majeure organisant la
  complémentarité hiérarchique
  des sexes.
  (…) »

  (Dans Mariage des personnes de même sexe et filiation, le projet de loi au prisme des sciences sociales publié par l’EHESS en janvier 2013.)

  C’est limpide comme de l’eau de roche.
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  CHARLET ANNE , 20 septembre 2013 @ 9 h 11 min

  conséquences naturelles des actes…

  Je connais des donneurs qui ont cessé de l’être….

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